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Repas de fête en pleine conscience

Linecoaching au quotidien Mon vécu du programme
Animatrice forum En or (1004) Très actif (30)
20 déc 2013 à 09h

J'ai envie d'ouvrir un fil pour que l'on puisse échanger sur les repas de fête.....

Je sais que certains les redoutent,  ce n'est pas mon cas puisque j'ai pris le large depuis longtemps de cette effervescence et je fais la fête à ma façon

ceci dit, j'aurais quand même au moins un repas ou deux de famille  (un calme, un agité)

 

Donc j'ai envie d'ouvrir un fil,   pour qu'on puisse partager nos expériences   sur la pleine conscience pendant les repas de fête

- si on a réussit à vivre le moment présent

- si on a réussit à déguster

- si on a réussit à accueillir les sentiments qui s'invitent en nous....    peur, excitation, rejet, jugement ou autre........

 

Pouvoir vivre au présent dans un moment de fête est quelque chose que j'ai rarement vécu pour ma part,   à cause de la sur-stimulation sur tous les plans, et l'excitation

cette année, j'ai envie de relever le défi, à petite dose bien sûr.....

et le vivre en pleine conscience

 

je me suis dit que ça pourrait être motivant de tenter cette pleine conscience des repas de fête ensemble

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58 commentaires

Coucou Flowerbomb,

je t'ai envoyé un message en MP.

Bisous.

Bon, j'arrive un peu après les fêtes ...Cedit dit,  janvier n'est pas encore terminé et il reste encore des chocolats dans les chaumières  et puis la galette des rois qui s'invite dans les réunions familiales et de travail....wink

Et pour la grande accro au chocolat et au sucré d'une manière générale que je suis , c'est pas rien tout ça..;

J'irai même jusqu'à dire que j'ai outrepassé en pleine conscience ma faim pour pouvoir manger  quelques chocolats. encore maintenant  C'est dire......

Ceci dit, il me faut relativiser, tout n'est pas parfait mais pas nul non plus  !

Oui, Je ne vide pas les boîtes d'un coup d'un seul et même sans faim, j'arrive à déguster (les manger très lentement). Du coup quand il n'y a plus de plaisir du tout je m'arrête.

 

Merci Marieal de nous rappeler l'info du Dr Zermati, à savoir qu'en période de Noël on grossit. C'est ce qui s'est passé pour moi. Enfin je pense, à me regarder dans le miroir et à voir mes habits un plus remplis...je ne veux pas me peser .

Je suis juste redevenue un peu plus raisonnable depuis 10 jours, c'est à dire qu'aussi il y a beaucoup moins de tentations notamment de champagne (je craque pour les bonnes bulles!) ....Je reste confiante et je me dis que le poids pris, finira bien par repartir. En attendant, je suis très heureuse d'avoir su revenir à mes sensations sans me noyer dans la culpabilité....Je n'ai pas cédé au "foutu pour foutu" et ça c'est une grande victoire.

Juste pour finir, et parce que je l'ai ressenti très fort cette année, tous mes moments de repas de fête (il y en a eu 6 entre tout) ont été des moments de présence aux et avec les Autres, forts en sérénité et en toute simplicité ...Y compris dans ma famille...Tout cela m'a bien nourrit aussi, mon coeur affectif et émotionnel s'est gonflé. Est ce ça pèse sur la balance ?wink

 

Oui, Flowerbomb, nous n'avons pas besoin de régime juste de nous ré écouter...Bon courage à toi, à moi, à nous toutes qui avons un peu ou beaucoup "glissé"....

J'ai beaucoup glissé aussi mais je ne culpabilise pas trop et je ne me pèse pas encore. Encore qq jours d'alimentation "normale" avant de monter sur la balance. Bon courage flowerbomb. Sois douce avec toi-même, on ne peut pas réussir sur tous les tableaux en même temps. La régulation va faire son job, laisse à ton corps un peu de temps.

"tout le monde grossit pendant les fêtes"( Dr Z)...et bien, je n'ai pas echappé à la règle, me voilà repartie à mon point de départ!

bon la bonne nouvelle c'est que j'ai attendu ce matin pour me peser au lieu de me jeter compulsivement sur ma balance dès le 02 janvier....

mais il n'y a pas à dire, l'alccol et la pleine conscience ne font pas bon ménage....car à posteriori, j'ai abusé au cours des repas du 31 des canapés appéros qui n'avaient rien d'exceptionnel, alors que le suite du repas étaient bien meilleure...du coup, je suis sortie moins sure de ces deux jours que des fêtes de Noël...

 

Le repas du 31 décembre a été un peu compliqué pour moi. C'était de l'inédit depuis mes débuts sur Linecoaching : je n'avais pas faim et j'ai mangé quand même. Ca m'arrive parfois au travail, mais je mange peu, dans ces cas-là.

A midi, nous étions passés au Quick, et j'avais pris une salade et des petits beignets. Or les beignets, ça ne fait pas partie de mon répertoire alimentaire habituel. Je pensais que vu l'heure tardive du repas, la faim reviendrait, puisque je n'avais pas mangé très au-delà de ma faim, pas plus que lors du midi avant le réveillon de Noël. Sauf que non, le beignet met vraiment vraiment beaucoup de temps avant que l'énergie puisse être absorbée. Maintenant, je le saurai ! Avant le réveillon de Noël, j'avais mangé des pâtes, et ça, je connais davantage les effets.

Donc voilà, pas faim. J'ai eu du mal à me décider à manger. J'ai finalement pris très peu de tout ce que je souhaitais goûter. Au début, c'était étrange de manger sans avoir faim, limite désagréable. Pas physiquement, mais dans la tête. Et puis en respirant, ça allait. A la fin, je n'ai pas eu l'impression d'avoir trop mangé ni d'avoir des difficultés de digestion. J'avais juste des regrets de ne pas m'être régalée comme je l'avais espéré, avec faim.

Le lendemain, la faim était au rendez-vous (pas vraiment la bonne faim, plutôt entre la petite et la moyenne). Les aliments étaient bien meilleurs, mais je me suis gardée une petite place pour les truffes au chocolat noir que mon frère avait fait et qui étaient déjà bonnes sans faim la veille. Le soir, chez moi, j'ai eu faim à nouveau vers 22h, j'ai mangé une tartine de tzatziki.

En ce moment, j'ai plus de mal à entendre mes sensations, tout est brouillé par les règles, la douleur quand elle est là, les anti-inflammatoires quand elle n'est pas là, et l'intense soulagement de la fin du syndrome pré-menstruel. Donc j'attends la faim, j'essaie d'écouter mes appétits spécifiques, et pour la satiété, ben on verra d'ici quelques jours ! La régulation se fera, de toute façon. C'est un tel bonheur d'attendre la faim pour manger, de retrouver le goût plein des aliments, au lieu de leur fantôme de goût (sans la faim, c'est comme un fantôme de goût) et d'avoir la sensation de la petite place (enfin, quand j'ai mes règles, la petite place, c'est un vrai inconfort, donc je ne la laisse pas en ce moment).

Ma conclusion : le choix des aliments du midi avant les fêtes est primordial. Il faut vraiment qu'ils ne sortent pas de mon répertoire alimentaire le plus basique possible pour que je puisse jouer avec mon appétit prévisionnel. Si ça n'avait pas été un repas de fête, je n'aurais pas mangé sans faim, parce que j'étais dans ma famille, j'aurais pu me permettre de ne pas manger (enfin, je pense qu'on peut se le permettre avec n'importe qui, mais moi, je suis débutante dans l'art de m'affirmer).

J'ai eu quelques pensées négatives automatiques, du genre "Oh mon dieu, je n'ai pas envie de légumes, c'est la catastrophe, comment vais-je faire pour réguler ???" Et puis ça s'est calmé. Ce n'est pas moi qui dois réguler, c'est mon corps. Mon seul rôle, c'est de laisser les pensées négatives tourner dans leur coin et de me recentrer sur moi et mes sensations.

bravo pattie, tu étais drolement à l'écoute de toi-même

c'est sûr que les aliments inhabituels, c'est toujours suprenant, donc pas évident pour la faim prévisionnelle

en tous cas, tu as bien géré ta frustration et tu as bien laissé tes pensées controlantes passer leur chemin, donc chapeau!!!

moi ce fut completement raté au niveau contrôle le 31 et le 1er au soir ( où j'ai été manger des lentilles chez des amis, il parait que ça promet des pepetes toutes l'année!) : le fait de boire du champagne et du vin fausse completement mes sensations et je n'arrive pas à faire de la rpc...

bon je n'ai pas culpabilisé du tout, j'ai profité , peut être un peu trop quand même, genre foutu pour foutu..., mais je me suis rattrapé les deux jours qui suivaient, attendant que ma faim revienne pour manger mes premières bouchées ( soit à 14h hier et 12h15 ce matin)... je suis assez contente de ce matin surtout, j'ai été bossé sans avoir peur de ma faim sur mon lieu de travail..avant je serai partie au boulot avec un petit déjeuner complet et une sacrée nausée...

alors mardi soir....   très bon repas (fait par moi),   plutôt bien niveau pleine conscience

je m'étais gardée des tonnes d'appétit et du coup, ben je me suis fait plaisir.....

le mercredi matin, pas mangé, déjeuner tard, repas de fête fait par moi pour une quarantaine de personnes

j'ai bien senti la satiété!!!   et j'ai pu m'arrêter sans difficulté

 

donc plutôt contente......   d'une façon générale je vois que j'arrive mieux à être en pleine conscience quand je maitrise le menu moi-même, à savoir quand je fais la cuisine

généralement je fais comme j'aime, donc du coup mes papilles sont très satisfaites....

Tout d'abord, je vous souhaite à toutes une très bonne et heureuse année!!!!

De mon côté, le 31 au soir, on était invités... Dur dur!!! ;-)

J'avais plutot faim à l'apéro, mais j'ai pu constater deux choses:

- d'abord les petits toats apéritifs n'étaient pas vraiment à mon gout, mais j'avais faim, alors j'ai mangé.... Sauf que gustativement, ça ne me satisfaisait pas du tout...

- ensuite, le champagne coulait à flot, et j'ai remarqué combien il était difficile de savoir à quel moment ma faim a été comblée. En effet, j'ai remarqué que le liquide (genre soda ou alcool) me "nourrissait" également, mais c'est difficile de faire la différence avec le côté "remplissage et gonflement de l'estomac par du liquide".

Evidemment, après l'apéro, fini, je n'avais plus faim du tout....

J'ai quand même tenté une dégustation d'un foie gras mi-cuit, et là... je ne l'ai pas du tout apprécié: trop gras et trop "pas cuit" pour moi. Le côté étonnant, c'est que plus j'ai mangé des mets qui ne satisfaisaient pas mes papilles, plus mon envie de sucré se renforçait....

Bref, le 1er, mon corps tout entier réclamait.... du CHOCOLAT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ;-)

bravo marieal d'avoir attendu ta faim......   et n'oublie pas que le contrôle c'est toujours la porte ouverte à l'inverse : la perte de contrôle...

c'est bien mieux d'avoir conscience de ce que tu vis,  et je crois que c'est ce que tu as fait!

et se remettre dans le moment présent, ça c'est une clé fondamentale  (pas évident en repas de fête en définitive)

 

Violette, très bonne année à toi aussi

comme je te comprends!!!  

le liquide est en effet plus dur que la nourriture au niveau de la satiété

pour ma part, comme je suis vite "pompette" (et que je n'aime pas ça,  control freaaakkkk), je bois peu, automatiquement......

 

tu m'étonnes que tu n'aies pas aimé le fois gras si tu n'avais plus faim......    et quel dommage pour tes hotes  de couper l'appétit des invités avec des toasts moyens    pour ensuite leur servir un plat  qui, a priori, devait être meilleur....

je pense que si tu avais eu faim à ce moment là, tu l'aurais peut-être trouvé meilleur

 

moi pour le 31 j'ai fait un apéro ultra léger et j'ai zappé l'entrée pour passer directement au plat qui était assez riche....   et tout le monde avait encore faim pour le dessert !!!!

c'est tellement plus agréable......

 

comme toi Violette, la satisfaction de mes papilles est la meilleure façon pour moi  de pouvoir m'arrêter facilement à satiété,  même si je m'entraine à pouvoir m'arrêter  MALGRE la frustration au niveau du gout