Présentation
Bonjour aux marraines et parrains !
Je vous propose, pour celles et ceux qui sont d'accord, de nous présenter un peu plus que les quelques lignes que nous avons postées dans notre profil, et donc je commence :
Kaylee / Michèle : j'habite à Nîmes, j'ai 65 ans, je suis à la retraite depuis avril 2015, je vis seule, j'ai un fils de bientôt 30 ans qui vit et travaille (depuis seulement 1 an) à Paris, après de longues, coûteuses et fructueuses études. Divorcée du père de mon fils (légionnaire) depuis 18 ans, je l'ai donc élevée pratiquement toute seule. Il y a dans ma vie un "homme à distance" qui habite en Région Parisienne et que je ne vois qu'environ tous les 5/6 mois au prétexte qu' "il n'est pas bien dans sa tête", ce qui me désole car je me sens rejetée. Mais "j'apprends à accepter les choses que je ne peux changer".
Grâce à LC j'ai repris goût à la nourriture, j'ai perdu 3 tailles de vêtements et la perte de cms est pour moi beaucoup plus intéressante que la perte de kgs sur la balance. Ne pas être serrée, boudinée mais relativement à l'aise dans mes vêtements est important. LC a vraiment changé ma vie, je suis devenue presque sereine, beaucoup mieux dans mon corps et dans ma tête car toutes ces années de restrictions ont vraiment empoisonné mon quotidien. Même si je suis loin d'avoir atteint le poids que j'espérais perdre, je me sens enfin apaisée face à la nourriture.
Secrétaire de direction de formation, assez passionnée d'informatique, j'ai travaillé et séjourné dans divers pays (Allemagne, Italie, Roumanie, Pays Bas, Guyane, Tahiti, entre autres).
Je lis énormément, je me suis acheté une liseuse Kindle qui me permet de lire ce que je veux partout, je passe beaucoup de temps derrière mon ordinateur, je note mes états d'âme quasi quotidiennement, fais de beaux tableaux Excel pour mon budget, ma perte de poids ou reprise, bref, je vis seule mais ne m'ennuie nullement. J'apprécie pleinement de ne plus me lever à 5 h 57 tous les matins pour parcourir les 80 kms quotidiens pour aller travailler et m'enfermer dans un espace bruyant en open space avec cantine intégrée dans l'établissement et pointage pour tout déplacement.
Je vais à la piscine régulièrement, je marche beaucoup car il est difficile de stationner en ville à Nîmes donc je me déplace à pied, j'habite un appartement HLM en duplex donc je monte et descends les escaliers à longeur de journée, et j'ai un tout petit jardin de 50m² que je désherbe à la main.
Voici une photo, toute récente, lors de mes vacances en Corse le mois dernier :
Voilà ! Bon week-end !
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Bon, alors je me lance...
Je m'appelle Francisco, Paco pour les amis et la famille, Paquito est le nom qu'on donne aux Francisco en Espagne lorsqu'ils sont enfants.
Vous l'aurez compris, je suis d'origine espagnole. Je suis né à Valencia il y a 53 ans. J'ai grandi à Saint-Etienne, et depuis l'âge adulte, je vis à Saint-Hippolyte, petite bourgade en Franche-Comté, entre Besançon et Montbéliard.
Je suis marié, j'ai deux enfants : une grande fille de 26 ans, professeure des écoles, qui va dans dans quelques semaines faire de moi un grand-père, et un garçon adolescent de 14 ans, tous deux adorables.
Mes enfants ont partagé équitablement les gênes alimentaires : ma fille se débat avec des problèmes de poids, tandis que mon fils, à l'instar de sa mère, est parfaitement régulé.
Je suis, de formation, éducateur spécialisé. J'ai longtemps travaillé avec des ados en difficulté, et depuis une dizaine d'années, je travaille dans un foyer de la petite enfance, avec des enfants de 0 à 6 ans. Jusqu'à l'année dernière, j'avais des horaires irréguliers (week-end, jours fériés, soirées, nuits) avant de prendre un poste de responsable éducatif, ce qui me permet, outre de ne plus être sur le terrain, de bénéficier d'horaires réguliers.
J'ai longtemps eu une autre activité, j'étais écrivain pour la jeunesse. J'ai eu mon petit succès, j'ai publié une vingtaine de textes chez différents éditeurs. Je n'écris plus depuis deux ou trois ans, à la suite de mésaventures avec mon dernier éditeur (Nathan), et d'un épuisement moral lié à cette activité.
Je suis aussi musicien. J'ai fait le conservatoire en guitare classique, je joue aussi du piano, du saxo, du ukulele, du tres cubano.
Tout ce tableau fait de moi une personnalité artistique, et donc hyper sensible. J'ai toujours eu des relations compliquées avec mes semblables, peu d'amis et un comportement solitaire. La nourriture est clairement pour moi une protection. Un rempart de graisse contre le monde.
Je me suis inscrit à LC il y a 4 ans, en fait dès l'ouverture du site, j'ai été l'un des premiers à adhérer au programme. J'ai suivi le programme en m'appliquant, je me suis intéressé à tout, j'ai même été promu parrain. Et puis j'ai fini le programme, j'ai poursuivi en solo, et peu à peu, les anciennes habitudes sont revenues. J'ai alors repris tout le poids perdu, avec un bonus. Exactement comme lors d'un régime. Et de fait, je pense que j'avais suivi le programme comme un régime...
Depuis l'été, j'ai décidé de tout reprendre. Le programme depuis le début, et j'ai souscrit au pack téléphonique. Ces conversations avec ma coach m'aident bien. Et j'ai pris les choses un peu autrement. Je pratique la médiation quotidiennement, et je ne me pèse plus du tout. J'ai enfin compris que la balance constituait un stresseur tel qu'il m'empêchait de travailler sur mon comportement alimentaire.
Pour autant, je reste circonspect. Je ne sais pas si un jour, je serai capable de manger sans tension, sans réflexion, sans analyse, avec sérénité. Je n'en suis pas là.
Pendant ces années, je n'ai plus participé aux forums, je ne me sentais pas légitime, au vu de mon parcours.
Voici une photo prise lors d'un salon du livre, où je dédicaçais.
A bientôt,
Francisco
[quote=Paquito]
Pour autant, je reste circonspect. Je ne sais pas si un jour, je serai capable de manger sans tension, sans réflexion, sans analyse, avec sérénité. Je n'en suis pas là.
[/quote]
Merci Francisco 
Tes propos que je surligne font écho : je me suis parfois dit que faire attention à respecter sa satiété, attendre que la faim revienne, déguster, est-ce que ce n'étaient pas des diktats qui cachent leur nom ? Je suis très loin d'être capable de manger sereinement, j'observe, je guette pratiquement tout le temps ma satiété et lorsque je me suis empiffrée car ça m'arrive, je me surprends dans le contrôle à attendre que la faim revienne.
Bon quoi dire... Je m'appelle Frédérique, j'ai 42 ans, mariée, 3 enfants: 2 garçons de 7 et 10 ans et une petite fille de 1 an depuis samedi ! J'habite dans le Val-de-Marne où je suis professeur des écoles et mon mari est directeur d'école élémentaire.
J'ai toujours eu des problèmes avec la nourriture et me suis toujours pensée trop grosse. Ľ histoire familiale avec la nourriture est complexe. Quand j'etais petite il n'y avait pas grand chose de bon ni dans les placards, ni dans le frigo ! Mon père, médecin avait du cholestérol il n'y avait donc même pas de beurre mais une espèce de margarine immonde. Il nous a fait une prise de sang, à ma soeur et à moi et il a découvert qu'on avait nous aussi un peu de cholestérol. A partir de ce moment là, on ne pouvait plus rien manger ou alors en culpabilisant. Je crois que c'est pour ça que j'adore le fromage.
A 18 ans, j'ai dû partir de la maison pour aller à la fac à une centaine de kilomètres de chez mes parents. J'habitais un petit studio et là j'ai découvert les tartines beurrées, aussi un de mes péchés mignon maintenant, le Mac Do,bref tout les trucs dont je n'avais pas accès chez mes parents. J'ai fait aussi mon premier régime à cette époque avec slim fast, je pesais 60 kg et je sais qu'il me sera impossible de retrouver ce poids ! J'en fait 75 aujourd'hui. Mon père m'avait bien déconseillé de faire un régime mais il avait de bien mauvais arguments. Pour lui c'est toute sa vie qu'il faut faire attention à ce que l'on mange ! Ce qu'il continue d'ailleurs de faire: pas trop gras, pas trop sucré et bio !
Ma mère très angoissée, ne voulait pas que ľon deviennent anorexiques, ma soeur et moi, ni trop grosses ! Elle n'aime pas cuisiner et fait des plats insipides et pas très consistants. Quand mon mari est venu manger chez mes parents la première, ma mère a fait des pâtes à ľ eau. Mon mari a demandé du ketchup, il n'y en avait pas, du beurre ? Pas plus. Alors du gruyère ? Toujours pas. Alors du sel ! Je crois que c'est aussi pour cela je sale beaucoup mes plats. Mais la encore attention à l'hypertension, maladie tout aussi héréditaire que le cholestérol !
Maintenant chez moi les placards et le frigo sont remplis de bonnes choses et mes enfants ne sont jamais privés de ketchup, de Nutella ni de bonbons ! J'ai peur de manquer mais je me rends compte que oui j'ai manqué de bonnes choses à manger. Et les repas n'étaient pas agréables... Maintenant j'aime manger mais pas faire à manger, cela ne m'a pas été transmis et je ne sais pas pourquoi il y a un blocage à ce niveau là.
fabienne -de Lorraine- jusqu'à mes 40 ans.
Née à la frontière allemande, ma langue maternelle et grand parentale a été le patois allemand. Maintenant je parle plutôt couramment l'allemand et desfois ça sert. Bon, quand je suis partie pour un long WE à Berlin avec ma fille et ma nièce , - je voulais voir le mur après sa chute – j'ai du dire que je ne parlais pas l'anglais car le réflexe des Berlinois est de parler en Anglais aux touristes !
Et puis à partir de mes 20 ans, j'ai travaillé et habité à la frontière luxembourgeoise (à 100 kms de chez ma famille) . J'en ai profité entre autre pour découvrir à des prix dérisoires l'opéra et la musique classique au théâtre d'Esch.
Toutes ces années, j'ai à travers mes relations affectives et professionnelles travailler à dépasser mes sentiments de ne pas « être aimable » et ne pas « être valable » et à ne pas reconduire le shéma parental...
Maintenant, j'ai 54 ans et j'habite en Midi Py peu de temps après avoir connu l'homme qui devint mon compagnon actuel et le père de ma fille qui a eu 13 ans cette année. J'étais venue en vacances chez une amie, et alors que je n'y croyais plus je le rencontrais....Ce fut une évidence. Ouf ! Je commençais à me projeter à une vie de célibataire sans enfant , travaillant à SOS village d'enfant pour satisfaire mon souhait profond de vie familiale et d'enfant « à élever »
Depuis, je suis vraiment heureuse de ma vie . Si, un petit peu la longue distance (850 kms) qui me sépare de mes amies de toujours (30 à 40 ans d'amitié avec chacune) qui me chagrine .
Mes amies ça toujours été mon ancrage affectif, mon pilier pendant toutes mes années de jeune adulte. C'est ce que je n'ai pas trouvé dans ma cellule familiale.
Née dans un milieu ouvrier j'ai grandi dans une cité dortoir entourée de gens de plein de nationalités différentes et ça ça me plaisait bien. Ca aide pour apprendre la tolérance et ouvrir l'esprit
Un père alcoolique (mort d'une cirrhose du foie à 52 ans) et en invalidité de travail très jeune, une sœur aînée handicapée mentale, un petit frère et ma mère . Elle a fait du boulot assez correct de mère nourricière , parfaite quand on était malade et je l'étais souvent. (C'est d'ailleurs lors d'une énième angine blanche que j'ai du choper une bactérie à l'origine de mon actuelle spondylarthrite.) . Et c'est à peu près tout. J'ai vécu dans une grande angoisse perpétuelle(muette et inconnue de tous) toute mon enfance et mon adolescence, la peur au ventre que ma mère , ma sœur -vulnérable - et mon frère meurent .
J'ai fait une formation de monitrice éducatrice à 22 ans (avant petits boulots) puis d'éducatrice spécialisée. J'ai travaillé avec plein de publics différents : handicapés, toxicomanes, femmes victimes de violences conjugales , enfants en rupture familiale. Puis, j'ai fini par faire un crochet par la formation en travaillant dans des centres de travailleurs sociaux pendant quelques années. J'ai passé une licence de sciences de l'éducation (j'y ai découvert avec beaucoup de plaisir la philo) en 2003 . La transmission, j'adore ça. Je suis quand même retournée dans le travail social en 2005 au cœur des politiques sociales et c'est passionnant. Je travaille dans un centre d'hébergement avec un public issu de la très grande exclusion , comme des sortants de prisons, d'hôpital psychiatrique....
/Bureau/Lien vers photo fabiennebis.JPG/home/fabienne/Bureau/photo fabiennebis.JPGFabienne -de Lorraine-Depuis 6 ans, je suis chef de service, plus « au service d'une équipe» que chef ! . L'année prochaine, pour ma reconnaissance personnelle, je devrais passer une VAE CAFERUIS (certificat fonction d'encadrement) -à Toulouse- .
Mes grande découverte de ces dernières années a été faire connaissance avec les sensations de faim, la pleine conscience. et C'est en écoutant Christophe André avec sa voix douce qui m'enveloppait et me pénétrait, comme si j'avalais des doses de tendresse et de gentillesse pour nourrir mon enfant intérieur que j'ai compris l'importance de la bienveillance envers moi même. Pour avancer plus sereinement
Et aussi,
J'aime le cinéma, je n'y vais plus beaucoup, malheureusement, sauf pour les films de W. Allen et d'Almodovar... La bonne nouvelle c'est que ma fille aime de plus en plus le cinéma, et comme elle grandit on pourra bientôt aller voir « tous » les films ensemble. On a vu dernièrement le petit prince
J'aime cuisiner pour les gens que j'aime.
Pas sportive du tout, je ressens quand même la nécessité de bouger mon corps pour une meilleure hygiène de vie. Je marche, je nage, je m'étire mais doucement, et peu à la fois, les raideurs articulaires et la fatigue limitent les mouvements. Avant, je dansais énormément, j'adore cela (danse africaine et danse de salon) maintenant je m'y remets ponctuellement avec de la danse orientale par exemple.
J'aime l'humain. Bien que complètement athée, le « aime ton prochain comme toi même » (ça suppose bien sûr de passer par un apprentissage de la connaissance et de l'estime de soi) est une de mes valeurs .
Je me suis prise au jeu et j'étais vraiment partie pour faire une autobiographie ! Ouf ! J'ai enfin réussi à couper des morceaux dans le texte !
Photo prise par surprise cet été par ma fille. Zut ! je n'arrive pas à la mettre même aidée..A suivre...
Merci Fabienne pour cette belle présentation.
Je ne peux pas m'empêcher de noter les similitudes dans nos trajectoires : j'ai 54 ans (dans quelques jours), je suis éducateur spécialisé, et depuis deux ans, je travaille comme éducateur principal (l'équivalent du chef de service), j'ai un garçon de 14 ans, je suis athée indécrottable, j'ai aussi une passion pour Christophe André, que j'ai vu il y a peu en conférence, et ses livres tellement aidants (Imparfaits, libres et heureux, pas exemple, a changé ma vision de la vie).
Comme quoi il y a peut-être quand même des profils qui se retrouvent...
Amitiés,
Francisco
PS : Pour la photo, j'y suis parvenu en utilisant Firefox, les autres navigateurs ne fonctionnaient pas.
Merci Francisco. On aura l'occasion de reparler de tout cela, de nos points communs. Le côté éduc, je l'avais repéré et déjà évoqué C'est un point commun pas des moindres!
Décidément, on (mon chéri me prête main forte) y arrive pas à mettre cette fichue photo, c'est pas faute de s'acharner entre hier soir et maintenant. Pourtant on utilise firefox.
Sur la bôite de dialogue du site LC quand j'appuie sur lien (l'icône juste après le A -couleur arrière plan- on ne sait pas faire.
La photo est sur le bureau de l'ordi. Le copier coller ne fonctionne pas. ????
Je ne lâche pas l'affaire 
maintenant que j'ai décidé de me montrer .
Merci de votre aide technique
Merci Fabienne pour ta présentation
oui une autobiographie passionnante, je pense que tu as un don d'écriture en plus de tout le reste
pour moi je fais des copier-coller et ça marche pour les photos
oh dommage !
Merciiii 
A lire les présentations d'Isabelle et Cécile, je me rends compte que ma présentation est peut-être un peu sèche (mon côté "allemand" qui ressort). Mais bon, ayant commencé la première, ne sachant pas si je serais suivie, j'ai préféré en mettre peu que trop.
Je comprends l'impression "contrastée" de Cécile, se sentir tiraillée entre plusieurs cultures : je suis Corse pur sang, mon père est Corse, venant d'un petit village du Cap Corse où dans leurs familles il y avait plein de mariages entre cousins germains "pour être sûr que le sang reste corse". Comportement entraînant de jolies anomalies sanguines, telles que la thalassémie, dont j'ai hérité bien que mes parents ne soient pas cousins germains.
Du côté de ma mère, corse d'Ajaccio, ma grand-mère, mariée à un corse bien entendu, a fait faire un arbre généalogique il y a fort longtemps, à une époque où il n'y avait pas Internet, et cela a pris 7 ans pour vérifier que oui, nous étions bien corses, des deux côtés sur plusieurs générations, jusqu'à environ l'an 1802, date à laquelle la branche remonte vers la Russie (Napoléon et ses campagnes, sans doute ?).
Je suis née à Marseille, mais à 23 ans je suis partie toute seule vivre et travailler pendant 8 ans en Allemagne, et j'ai trouvé dans ce pays des règles et des façons de vivre et de travailler assez strictes mais qui m'ont beaucoup aidées. Ayant eu une enfance douloureuse en raison d'une mère assez particulière, j'avais sans doute besoin de ce mode de vie pour me recadrer. Un mari allemand (dont j'ai divorcé avant de rentrer en France à 31 ans) et sa mère, qui fut pour moi une belle-mère adorable, ont beaucoup contribué à me rendre un peu d'estime de moi-même.
Devenir mère à 36 ans a été la meilleure chose qui me soit arrivée, j'ai retrouvé mes marques, suis rentrée dans le rang, sauf en ce qui concerne la nourriture, c'était "tout va mal, bouffons pour oublier ça" ou "tout va bien, bouffons pour fêter ça". Je me suis raccrochée à la nourriture car elle ne m'a jamais déçue, mais j'ai eu beaucoup de mal au début de mon parcours LC pour tenter de remplacer de façon efficace le doudou que représentait la nourriture pour moi. Il y a encore des jours où je me sens très fragile de ce côté là, c'est la raison pour laquelle je ne me suis pas désinscrite de LC car j'avais besoin de ce soutien.
Bon reste de week-end !
Oui oui, je passe par là...
Je posterai également bientôt une présentation. Je trouve aussi que c'est une bonne idée.
Francisco
Je n'arrive moins non plus à mettre une photo !