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Degustation et aliment tabou

L’alimentation émotionnelle Trouver le réconfort par l'alimentation
09 juin 2012 à 14h

 

Bonjour,
 
J'ai commencé le programme il y a 2 semaines et demi et j'ai l'impression que ça fait bien plus d'un mois ! Je pense que j'intègre pas mal les informations et que suis en bonne voie. Il y a quelques jours j'ai acheté un pot de nutella. Je dois en acheter au maximum une fois par an car c'est typiquement un aliment tabou : quand il est dans le placard, il m'obsède jusqu'à ce qu'il soit fini, ce qui va généralement très, trop vite... chaque bouchée avalée emprunte de culpabilité, bien évidement. 
 
Bien que n'en étant encore pas là du tout dans le programme, je ressens le besoin de faire l'expérience, tout simplement parce que je suis depuis longtemps en période de contrôle relativement restrictif et que je sens que si je ne me fais pas sérieusement plaisir, les barrages risquent de céder. J'ai l'impression que si j'arrive à manger et profiter d'un de mes anciens aliments tabous, j'aurais moins peur de lâcher le contrôle et je pourrais encore mieux écouter ce que mon corps a à dire. 
 
Bref, après quelques jours j'ai décidé de tenter l'expérience, me sentant prête, et ce midi j'ai mangé une tartine. J’avais déjà mangé un peu, j’avais encore faim mais pas trop, juste assez je pense. J'ai tenté de déguster chaque bouchée, presser le nutella contre le palais, croquer dans les graines du pain (tout céréales, j’adore)… ce fut vraiment TRES bon et agréable. J’ai réellement gouté et ressenti l’aliment, j’ai mangé toute la tartine sans avoir trop mangé (au total) et j’ai vraiment l’impression d’avoir aussi assez mangé.
Mais en même temps j’ai ressenti quelque chose que j’aimerai comprendre, d’où ce poste. J’ai ressenti un énorme « besoin de plus ». Comme si j’avais eu besoin d’une bouchée tellement grande que ma bouche et ma gorge devaient être remplies, jusqu’au nez ! Besoin de remplir un vide ? De « devenir » le nutella ? Comme submergée par une pulsion plus forte que moi. De l’écrire me fait le revivre et me porte les larmes aux yeux. Je ne comprends pas. Cette sensation est bien sûr la même qui m’a poussée tant de fois à manger en quantité astronomique et je sais que ce vide est un puits sans fond, je ne peux pas satisfaire cette pulsion en mangeant même tout le pot… D’où ça vient ? Est- ce l’essence même de l’aliment tabou ? Cette sensation à la limite de l’intolérable ?
Je suis convaincue que LC va m’aider à faire la paix avec ces sensations dévastatrices, je m’investit dans la rpc pleine d’espoir (à mon rythme quand même ;-) ), et il faut que je me laisse du temps pour assimiler chaque étape mais Oh ! Que c’est difficile !  Ce que je voudrais aussi c’est comprendre. Y a-t-il une explication chimique ou est-ce que c’est qu’entre les oreilles ? J’ai beaucoup d’anecdotes de mon enfance autours du chocolat et du nutella, elles sont teintées de culpabilité, de colère (la mienne mais aussi et surtout celle de ma mère), de tristesse, de dissimulations… Est-ce que d’explorer cette voie, d’écrire ces choses peut m’aider ? Ou est-ce simplement remuer des souvenirs difficiles sans pour autant arriver à une solution, une libération ? 
Bonjour,
 
J'ai commencé le programme il y a 2 semaines et demi et j'ai l'impression que ça fait bien plus d'un mois ! Je pense que j'intègre pas mal les informations et que suis en bonne voie. Il y a quelques jours j'ai acheté un pot de nutella. Je dois en acheter au maximum une fois par an car c'est typiquement un aliment tabou : quand il est dans le placard, il m'obsède jusqu'à ce qu'il soit fini, ce qui va généralement très, trop vite... chaque bouchée avalée emprunte de culpabilité, bien évidement. 
 
Bien que n'en étant encore pas là du tout dans le programme, je ressens le besoin de faire l'expérience, tout simplement parce que je suis depuis longtemps en période de contrôle relativement restrictif et que je sens que si je ne me fais pas sérieusement plaisir, les barrages risquent de céder. J'ai l'impression que si j'arrive à manger et profiter d'un de mes anciens aliments tabous, j'aurais moins peur de lâcher le contrôle et je pourrais encore mieux écouter ce que mon corps a à dire. 
 
Bref, après quelques jours j'ai décidé de tenter l'expérience, me sentant prête, et ce midi j'ai mangé une tartine. J’avais déjà mangé un peu, j’avais encore faim mais pas trop, juste assez je pense. J'ai tenté de déguster chaque bouchée, presser le nutella contre le palais, croquer dans les graines du pain (tout céréales, j’adore)… ce fut vraiment TRES bon et agréable. J’ai réellement gouté et ressenti l’aliment, j’ai mangé toute la tartine sans avoir trop mangé (au total) et j’ai vraiment l’impression d’avoir aussi assez mangé.
Mais en même temps j’ai ressenti quelque chose que j’aimerai comprendre, d’où ce poste. J’ai ressenti un énorme « besoin de plus ». Comme si j’avais eu besoin d’une bouchée tellement grande que ma bouche et ma gorge devaient être remplies, jusqu’au nez ! Besoin de remplir un vide ? De « devenir » le nutella ? Comme submergée par une pulsion plus forte que moi. De l’écrire me fait le revivre et me porte les larmes aux yeux. Je ne comprends pas. Cette sensation est bien sûr la même qui m’a poussée tant de fois à manger en quantité astronomique et je sais que ce vide est un puits sans fond, je ne peux pas satisfaire cette pulsion en mangeant même tout le pot… D’où ça vient ? Est- ce l’essence même de l’aliment tabou ? Cette sensation à la limite de l’intolérable ?
Je suis convaincue que LC va m’aider à faire la paix avec ces sensations dévastatrices, je m’investit dans la rpc pleine d’espoir (à mon rythme quand même ;-) ), et il faut que je me laisse du temps pour assimiler chaque étape mais Oh ! Que c’est difficile !  Ce que je voudrais aussi c’est comprendre. Y a-t-il une explication chimique ou est-ce que c’est qu’entre les oreilles ? J’ai beaucoup d’anecdotes de mon enfance autours du chocolat et du nutella, elles sont teintées de culpabilité, de colère (la mienne mais aussi et surtout celle de ma mère), de tristesse, de dissimulations… Est-ce que d’explorer cette voie, d’écrire ces choses peut m’aider ? Ou est-ce simplement remuer des souvenirs difficiles sans pour autant arriver à une solution, une libération ? 
Bonjour,
J'ai commencé le programme il y a 2 semaines et demi et j'ai l'impression que ça fait bien plus d'un mois ! Je pense que j'intègre pas mal les informations et que suis en bonne voie. Il y a quelques jours j'ai acheté un pot de nutella. Je dois en acheter au maximum une fois par an car c'est typiquement un aliment tabou : quand il est dans le placard, il m'obsède jusqu'à ce qu'il soit fini, ce qui va généralement très, trop vite... chaque bouchée avalée emprunte de culpabilité, bien évidement. 
Bien que n'en étant encore pas là du tout dans le programme, je ressens le besoin de faire l'expérience, tout simplement parce que je suis depuis longtemps en période de contrôle relativement restrictif et que je sens que si je ne me fais pas sérieusement plaisir, les barrages risquent de céder. J'ai l'impression que si j'arrive à manger et profiter d'un de mes anciens aliments tabous, j'aurais moins peur de lâcher le contrôle et je pourrais encore mieux écouter ce que mon corps a à dire. 
Bref, après quelques jours j'ai décidé de tenter l'expérience, me sentant prête, et ce midi j'ai mangé une tartine. J’avais déjà mangé un peu, j’avais encore faim mais pas trop, juste assez je pense. J'ai tenté de déguster chaque bouchée, presser le nutella contre le palais, croquer dans les graines du pain (tout céréales, j’adore)… ce fut vraiment TRES bon et agréable. J’ai réellement gouté et ressenti l’aliment, j’ai mangé toute la tartine sans avoir trop mangé (au total) et j’ai vraiment l’impression d’avoir aussi assez mangé.
Mais en même temps j’ai ressenti quelque chose que j’aimerai comprendre, d’où ce poste. J’ai ressenti un énorme « besoin de plus ». Comme si j’avais eu besoin d’une bouchée tellement grande que ma bouche et ma gorge devaient être remplies, jusqu’au nez ! Besoin de remplir un vide ? De « devenir » le nutella ? Comme submergée par une pulsion plus forte que moi. De l’écrire me fait le revivre et me porte les larmes aux yeux. Je ne comprends pas. Cette sensation est bien sûr la même qui m’a poussée tant de fois à manger en quantité astronomique et je sais que ce vide est un puits sans fond, je ne peux pas satisfaire cette pulsion en mangeant même tout le pot… D’où ça vient ? Est- ce l’essence même de l’aliment tabou ? Cette sensation à la limite de l’intolérable ?
Je suis convaincue que LC va m’aider à faire la paix avec ces sensations dévastatrices, je m’investit dans la rpc pleine d’espoir (à mon rythme quand même ;-) ), et il faut que je me laisse du temps pour assimiler chaque étape mais Oh ! Que c’est difficile !  Ce que je voudrais aussi c’est comprendre. Y a-t-il une explication chimique ou est-ce que c’est qu’entre les oreilles ? J’ai beaucoup d’anecdotes de mon enfance autours du chocolat et du nutella, elles sont teintées de culpabilité, de colère (la mienne mais aussi et surtout celle de ma mère), de tristesse, de dissimulations… Est-ce que d’explorer cette voie, d’écrire ces choses peut m’aider ? Ou est-ce simplement remuer des souvenirs difficiles sans pour autant arriver à une solution, une libération ? 
Bonjour,
 
J'ai commencé le programme il y a 2 semaines et demi et j'ai l'impression que ça fait bien plus d'un mois ! Je pense que j'intègre pas mal les informations et que suis en bonne voie. Il y a quelques jours j'ai acheté un pot de nutella. Je dois en acheter au maximum une fois par an car c'est typiquement un aliment tabou : quand il est dans le placard, il m'obsède jusqu'à ce qu'il soit fini, ce qui va généralement très, trop vite... chaque bouchée avalée emprunte de culpabilité, bien évidement. 
 
Bien que n'en étant encore pas là du tout dans le programme, je ressens le besoin de faire l'expérience, tout simplement parce que je suis depuis longtemps en période de contrôle relativement restrictif et que je sens que si je ne me fais pas sérieusement plaisir, les barrages risquent de céder. J'ai l'impression que si j'arrive à manger et profiter d'un de mes anciens aliments tabous, j'aurais moins peur de lâcher le contrôle et je pourrais encore mieux écouter ce que mon corps a à dire. 
 
Bref, après quelques jours j'ai décidé de tenter l'expérience, me sentant prête, et ce midi j'ai mangé une tartine. J’avais déjà mangé un peu, j’avais encore faim mais pas trop, juste assez je pense. J'ai tenté de déguster chaque bouchée, presser le nutella contre le palais, croquer dans les graines du pain (tout céréales, j’adore)… ce fut vraiment TRES bon et agréable. J’ai réellement gouté et ressenti l’aliment, j’ai mangé toute la tartine sans avoir trop mangé (au total) et j’ai vraiment l’impression d’avoir aussi assez mangé.
 
Mais en même temps j’ai ressenti quelque chose que j’aimerai comprendre, d’où ce poste. J’ai ressenti un énorme « besoin de plus ». Comme si j’avais eu besoin d’une bouchée tellement grande que ma bouche et ma gorge devaient être remplies, jusqu’au nez ! Besoin de remplir un vide ? De « devenir » le nutella ? Comme submergée par une pulsion plus forte que moi. De l’écrire me fait le revivre et me porte les larmes aux yeux. Je ne comprends pas. Cette sensation est bien sûr la même qui m’a poussée tant de fois à manger en quantité astronomique et je sais que ce vide est un puits sans fond, je ne peux pas satisfaire cette pulsion en mangeant même tout le pot… D’où ça vient ? Est- ce l’essence même de l’aliment tabou ? Cette sensation à la limite de l’intolérable ?
 
Je suis convaincue que LC va m’aider à faire la paix avec ces sensations dévastatrices, je m’investit dans la rpc pleine d’espoir (à mon rythme quand même ;-) ), et il faut que je me laisse du temps pour assimiler chaque étape mais Oh ! Que c’est difficile !  Ce que je voudrais aussi c’est comprendre. Y a-t-il une explication chimique ou est-ce que c’est qu’entre les oreilles ? J’ai beaucoup d’anecdotes de mon enfance autours du chocolat et du nutella, elles sont teintées de culpabilité, de colère (la mienne mais aussi et surtout celle de ma mère), de tristesse, de dissimulations… Est-ce que d’explorer cette voie, d’écrire ces choses peut m’aider ? Ou est-ce simplement remuer des souvenirs difficiles sans pour autant arriver à une solution, une libération ? 
 

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9 commentaires

bonjour tulipe

Tu as en effet peut etre un peu bruler els étapes. Ce n'est pas grave du tout en soi mais cela te fait remonter une frustration que tu n'as pas tous les moyens et outils pour controler.

la grande idée derrière la disparition des ingrédients tabous c'est 1- il y en aura toujours donc pourquoi se gaver et en prendre sans faim alors que c'est tellement meilleur avec faim, 2- tu pourras en reprendre dès que tu auras faim et envie

il y a deux expériences que j'ai trouver super intéressante sur ce thème :

La première consiste à manger un même ingrédient (pour moi une part de gateau de type "trianon") en ayant faim d'abord puis pas faim ... le premier je l'ai mangé avec délectation ... le deuxième, je me suis arrêter à la deuxième bouchée : aucun goût dans la bouche, juste une impression un peu pateuse, grasse te lourde, pas de plaisir ...

la deuxième c'est l'étape des aliments tabous salé (je crois qu'il y a également tabous sucré mais je n'y suis pas encore) Pendant 4 jours à midi tu te prépares uniquement un aliment tabou, en quantité fixe (100g) .. tu en manges tant que tu en as envie et faim ... et si tu as encore faim tu as le droit de remanger la même chose ou autre chose 1h après avoir fini...

J'avais choisi les cacahuètes : 4 jours de suite à DEVOIR manger des cacahuètes à midi  Voilà mon résultat

1. le premier jour j'ai fini les 100g que j'avais préparé (et j'aurais limite pu continuer). 

2. le deuxième  jour j'ai dû prendre environ les 3/4 avant d'avoir l'impression de manger du platre, que ça me collait au palais et dans les dents et...

3. le troisième jour je n'avais pas vraiment envie de manger des cacahuètes .. franchement, mais j'avais très faim donc j'ai du en prendre 20% juste histoire d'apaiser un peu ma faim et de pouvoir attendre 1h de plus histoire de vraiment manger

4. Le dernier jour je n'ai même pas pu en manger 10% malgré ma grande faim : ça me paraissait pateux, gras, quasi sans gout, j'avais l'impression d'en avoir plein les dents et la bouche.. à la limite du gavage d'oie... on m'aurait présenté n'importe quoi à coté je crois que j'aurais préféré le prendre. 

Et alors qu'il m'en restait plein à la maison (j'avais prévu plus de 3 paquets de 150g pour pouvoir faire toute l'expérience .. il m'en restait plus de la moitié)  je 'nai pas eu envie d'y toucher pendant au moins 3 semaines. Aucune envie .. il y a deux semained j'ai ouvert le placard où elles étaient rangées et dis : tiens c'est vrai ya des cacahuètes .. ce sera pratique pour le prochain apéro. Et un soir, j'avais très faim et une préparation un peu longue en cuisine .. j'en ai pris un petit peu en attendant (equivalent d'une cuillère à soupe je pense), refermé la boite et laisser dans son coin sans aucun problème : je sais qu'il y en a, si j'en ai envie je pourrais en prendre mais là franchement ça me suffisait pour apaiser légèrement ma faim et je n'en avait pas besoin de plus.

mon conseil : attend d'avoir progresser dans la méthode pour avoir ces deux expériences dans un contexte favorable .. c'est vraiment très très intéressant et cela t'apprends beaucoup! tu pourras ensuite reprendre du nutella sans aucune culpabilité et avec un vrai plaisir

bon courage

nikaia

Nikaia, qu'est-ce que tu es douée ! Moi j'avais choisi les chips, et les quatre jours, j'ai mangé la totalité des 100G de chips parce que j'avais faim, tout simplement. Je n'ai perçu aucune diminution du plaisir gustatif, pas la moindre. Je sais bien que c'est ça mon problème N°1. Le bilan m'a dit qu'il y a 2 raisons de manger : la faim ou une EME, donc que j'avais forcément tout mangé par EME. Pourquoi n'envisage-t-ils même pas la possibilité que j'aie pu manger tout par faim?

je ne sais pas si je suis douée .. mais en tout cas je pense que j'avais bien compris l'exercice.

Je pense qu'ils disent que tu as mangé par EME car, meme en ayant faim, tu aurais dû comme moi vu une diminution du plaisir gustatif car il serait etonnant que tu ais toujours aussi "faim de chips" après 4 jours

il y a ce que les dr A et Z appelle le rassasiement spécifique .. quand on a plus le gout à l'aliment qu'on mange mais encore faim ( quand on a "encore faim pour le dessert mais plus pour les épinards" ... pour reprendre une expression d'enfant .. mais la vérité sort de la bouche des enfants!)

ton EME était peut etre partielle dans le sens que tu avais vraiment faim mais que tu n'as pas voulu attendre 1h pour passer à quelque chose qui te plairait plus (ce que j'ai fait quand j'ai eu l'impression de manger du platre) .. stricto sensus j'aurais pu continuer à manger avec faim .. mais sans aucun plaisir ..

je te conseille de recommencer en te concentrant vraiment sur ton plaisir gustatif, l'aliment que tu as dans la bouche, le ressenti et pas sur ta faim/ton creux à l'estomac ... et cela à chaque nouvelle poignée de chips que tu prends. moi c'était vraiment clair .. et le deuxième jour j'en ai repris quelques unes ensuite après avoir ressenti cette impression de platre et c'était encore plus net...

bon courage

Nikaia

Oui, je sais que c'est ça mon  problème, je suis incapable d'associer "manger" et "plaisir", je n'ai aucun mal à manger absolument n'importe quoi, même que je trouve mauvais. Je n'ai jamais dit de quoi que ce soit "je n'aime pas ça". Si ça se mange, je le mange, et c'est tout... et je ne sais pas comment sortir de là.

argh en effet c'est un problème .. et la dégustation ne t'a pas aidé?

Je ne sais pas trop quoi te dire dans ce cas ... cela doit te poser de vrai problème avec LC. Peut-etre devrais tu en discuter avec ta coach...

Nikaia

je reprends ce post sur les aliments "tabou", laissé depuis 1 an je crois!  nouvelle découverte à partir d'aujourd'hui. qui est au même point?

-  Les aliments que je n'aime pas: trop gras me donne la nausée, ex foie gras, j'en ai horreur, le gras des viandes, les chips toujours trop grasse et trop salées,  le fromage cuit riche, que je ne digère carrément pas,   les pâtisseries écoeurantes à force d'être sucrées, même chose. Ce qu'on n'aime pas ne peut être tabou. Bien.

- Ce que j'évite, si possible du moins en quantité, : chocolat , c'est déjà bien amélioré depuis que je le "déguste", le sablé breton, là c'est gras, mais le beurre j'en serais folle, s'il est bien frais, demi sel, cru de préférence sur les légumes, sur des p de terre au four avec des épices...  Et les glaces, de toutes sortes, les miennes pareillement d'ailleurs!

Donc côté tabou là!

  Dans tous les cas je vais commencer par le chocolat, pas de souci, je le dégusterai d'autant mieux , à condition qu'il soit de qualité supérieure, je ne jetterai pas le reste mon époux sera ravi de terminer la chose, le carré, ou reste de moelleux...

Si quelqu'un a déjà analysé ses réactions, je la lirai avec grand plaisir.wink

Personne dans ce cas? OK!

Hier première dégustation avec le chocolat, écouté d'abord la vidéo, puis fait la démonstration, mon époux avait racheté du chocolat noir "cémoi", 72%, et sorti du L...t, j'ai senti la grosse différence gustative, c'était un régal, j'en ai laissé de côté, non pour le jeter à la poubelle, mais symboliquement à mon voisin penché sur son mot croisé. Les yeux fermés.

Je peux avoir une pulsion chocolat donc une des définitions du mot "tabou", cependant j'en ai toujours eu à la maison, mais aucune de mes 2 pulsions en 2 mois ne m'a dirigé vers cet aliment. Pas si mal!wink

Je n'ai pas de réponse à t'apporter mais peut etre devrais tu poser cette question aux docteurs qui eux, seraient plus à même de te répondre.

Merci Nadikan, j'ai hésité sur l'endroit où poster ce message, mais les questions aux docteurs sont publiques, et j'avais du mal avec ça... j'ai hésité aussi à un message privé à ma coach... 

Entre temps j'ai reçu le livre "Maigrir sans régime" (et commencé dans la foulée), et j'ai pris un peu de recule. Je pense que j'ai de toutes façons brulé les étapes. Pas forcément dans la démarche parce que j'avais envie très fort de cette tartine, que j'avais encore faim, et que je n'ai pas mangé plus que ce que je m'étais fixé. Donc je n'ai pas de sentiment de culpabilité (ouf). Mais losque j'en serais vraiment là dans le programme et que j'aurais enfin fait le cheminement nécessaire, je pense que les accès compulsifs et négatif seront absorbés par le plaisir et la sereinité. En tous cas, c'est à ça que je vise. On verra bien quand on y sera !

Pour ce qui est de toutes ces choses de mon enfance qui font que je suis qui je suis... je ne sais pas encore. Je vais mûrir tout ça encore un peu je crois... peut-être l'écrire quelque part...