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envie de fumer ou envie de manger ?

Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
19 Sep 2011 à 21h

Bonjour,

l'autre jour, après un après-midi stressant au travail et assez insatisfaisant, lorsque je suis montée dans ma voiture, une violente envie de fumer m'a envahie. Ensuite je me suis posée la question de savoir si c'était une envie de fumer réactionnelle ou une EME. C'est étrange de se poser la question aujourd'hui après plus de 20 ans de tabagie active et 4 années de sevrage. J'avais commencé à fumer par jeu et puis, dans ma quète de l'éternelle perte de poids, j'ai vite compris l'effet anorexigène du tabac que j'ai maintenu à cause de ça.

 j'ai  Toujours est-il que ces envies de fumer ou ce que je prends pour des envies de fumer réapparaissent de plus en plus souvent et de façon plus prononcées. Pouvez-vous m'aider à y voir plus clair ? Merci.

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2 commentaires

Hier, alors que j'écrivais mon message l'envie de fumer était à son paroxysme, alors j'ai fait 10 mn de RPC, enfin j'ai essayé car j'étais en état dinconfort maximal avec des impatiences dans les jambes, une quasi impossibilité à me concentrer sur ma respiration et avec une irresistible envie de passer à autre chose, enfin que je ma laisse tranquillement compulser sur la cigarette ou alors sur la bouffe, pourquoi pas...

Finalement, rien de tout ça n'est arrivé, les 3 mn de RPC correctes sur les 10 débutées ont quand même réussi à désamorcer la bombe. La drnière fois que j'ai éprouvé cette sensation, c'était après avoir passé une soirée avec des fumeurs et subi une tabagie passive.

Par contre je m'interroge encore sur les sensations ressenties : "appel du poumon", fébrilité des mains, mais aussi tiraillement dans l'estomac et hypersalivation...Mon envie de fumer a peut-être entraîné une EME réactionnelle ?

Dans un nautre post j'ai raconté avoir senti récemment cette même brutale envie d'une cigarette après plus de 10 ans de sevrage (et j'avais déjà à l'époque considérablement réduit ma consommation ! )

Personnellement je l'ai pris comme un recours désespéré de mon esprit pour échapper à l'inconfort que je lui impose (imposais) actuellement. Plus de trop-plein pour s'anesthésier, alors si on revenait à la clope ?

A vous répondre, une autre pensée me vient : pour cause de problème de planning j'ai renoncé la semaine dernière à ma séance de piscine. Si pas de bouffe, pas de clope, que des contraintes, où va se nicher le plaisir ?