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Dégustation des repas pendant 10 jours

Se réconcilier avec ses sensations alimentaires Dégustation
11 déc 2015 à 21h

Bonjour, Je viens par ici car j'éprouve de grosses difficultés avec cette étape. Je ne sais pas  pourquoi, mais je n'éprouve pas de plaisir à la dégustation de mes repas. J'ai toujours l'impression de ne pas avoir assez porté d'attention aux aliments, les pensées prennent le dessus très rapidement et du coup j'ai l'impression de mal faire.  Je crois ne pas avoir compris ce que je dois faire en fait.  Déguster mes repas pendant 10 jours ? Ça veut dire quoi ? Plonger le doigt dans ma soupe pour sentir sa texture ? Ne pas macher de suite les aliments,  à chaque bouchée ? Je n'ai pas du saisir la dégustation de repas entiers. Vous pouvez m'éclairer svp ? Parce que le tout se solde pyr de grosses Eme :(

Merci beaucoup pour votre aide !

 

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64 commentaires
22/09/2017 - 14:51

Bonne nouvelleyes

Quelques précisions :  angle

- Toujours pas de sentiment de culpabilité.
- Pas faim jusqu'au soir, où j'ai ressenti une miniscule petite faim. J'ai pris un yaourt bien frais.
- Par contre à  23 heures , j'ai ressenti une bonne faim... Pour ne pas dire une grande faim, vu les sensations.

Un petit pain au lait et sous la couette pour une bonne nuit.cool

Hier midi, nouvel exercice de dégustation... Piqûre de rappel...
Autour d'une bonne petite raclette maison !
Exercice périllieux... Aliment réputé pour être bien calorique et ne rien avoir à faire dans le cadre d'un régime... wink

Un bon morceau de raclette Richemonts sorti du frigo un bon moment avant le repas pour qu'il soit à température ambiante. L'odeur du fromage commence déjà à nous chatouiller le nez... Odeur persistante, prenante... Les pommes de terre à l'eau finissent de cuire, une petite assiette de jambon cru et jambon cuit viendront complèter le tout... Des petits cornichons biens croquants et acides pour réveiller les papilles et mieux ressentir le goût de la raclette... Une bonne carafe d'eau fraîche pour accompagner le repas.

Et nous voilà bientôt réunis dans la cuisine autour de notre appareil à raclette... Il fait bon, il fait chaud...
Chacun son poêlon, sa raclette en bois... Belle table campagnarde qui appelle à la convivialité.

Je dépose délicatement ma tranche de fromage dans mon poêlon... le fromage colle un peu au doigt... A chaque tranche que l'on prend l'odeur du fromage s'intensifie... Il commence à fondre lentement...

Pendant ce temps là , j'organise mon assiette : j'ôte la peau de mes morceaux de pomme de terre grossièrement coupés... 
Je commence à couper de petits morceaux de jambon pour en profiter plus longtemps. Qu'est-ce que ça sent bon !

ça y est ! le fromage est fondant, coulant à souhait... Et hop, je renverse mon poêlon sur mes pommes de terre... 

Le fromage est venu habiller la pomme de terre d'une robe jaune bien épaisse, brillante, chaude... J'ajoute un morceau de jambon cru. Le salé du jambon rompt le côté un peu sucré de la pomme de terre. Hum ! Et un petit morceau de fromage tout seul pour voir... Et un morceau de pomme de terre, et un morceau de jambon...
Et tout ensemble !

Je savoure lentement chaque bouchée... L'alliance du fromage fruité, fondant et onctueux et de la pomme de terre est parfait. La pomme de terre fini de fondre lentement dans la bouche... Les cornichons viennent de temps en temps réveiller les papilles et permettent de mieux ressentir le goût de la raclette...

Du fait de la dégustation et sans doute des cornichons, ça nous a semblé peu gras et pas bourratif.

Une bonne raclette dégustée en étant à l'écoute de ses sensations, de sa faim et de sa satiété, ça change tout.
En plus, pas de sentiments de culpabilité, que du plaisir ! yes

Pour clôre le repas, une petite clémentine tout droit venue d'Espagne bien acide, légérement sucré qui explose dans la bouche. Une petite merveille. La première clémentine de l'hiver. Elle n'en est que meilleure.smiley

Moment de partage en famille, chaleureux... à refaire !

Bonjour, J'ai repris pour la seconde fois le prpgramme Linecoaching en septembre dernier (je n'étais pas allée jusqu'au bout la première fois), et j'en suis a cette étape de dégustation des repas pendant 10 jours. J'ai de grosses difficultés d'une part a penser a deguster avant chaque repas (le speed de l'emploi du temps, boulot, transports, enfants,...), et aussi je m'adapte trop au rythme de mes proches au détriment du mien (donc paz toujours faim ni disponible pour deguster lorsque je me mets a table). J'ai enfin pris le temps de prendre du temps pour moi sans culpabiliser ce matin et pris le temps d'aller sur le forum et j'ai trouvé ce theme et fil de discussion, ce qui m'a fait énormément de bien ! Notamment prendre conscience, au regard de certains temoignages, que je me mettais trop la pression sur la manière de deguster ; et aussi deculpabiliser de ne pas arriver a deguster avec des aliments ordinaires qui n'attisent pas mon plaisir gustatif. J'en suis a 5 jours de compte rendu et mon echelle de degustation a toujours été dans la moyenne basse...je vais desormais essayer pour les 5 jours qui restent (et après) de choisir des aliments qui me font plaisir et aussi de simplement déjà essayer de prêter une attention particulière au goût, sans m'imposer de devoir faire l'exercice de manière "parfaite" ... comme certaines l'ont dit, l'esprit de Linecoaching c'est aussi ça, ne pas s'imposer la perfection... merci a toutes J'espère arriver a culpabiliser de moins en moins ne serait ce que de prendre le temps de venir échanger sur les forums :)

Superrrrrrr!!!!!

Ce midi, exercice de dégustation...  smiley

Avec l'arrivée des premiers frimas, un plat de "boeuf carottes pommes de terre". A deux, on en a au moins pour trois fois.

Après avoir laissé mijoter une bonne heure, place à la dégustation !
Les senteurs, les arômes emplissent la cuisine. Quel plaisir un bon plat chaud par ces températures !

Lorsque je soulève le couvercle, la vapeur s'échappe du plat. Une vapeur parfumée, douce, chaude, pleine de promesses.
Pas la peine mettre le nez dans le plat. Les odeurs viennent à moi. Un belle mosaïque de couleur s'offre à mes yeux : des morceaux de légumes jaunes oranges, des petits morceaux de viande marron... Parsemée de persil.

Le goût sucré des pommes de terre et des carottes dominent et accompagne avec bonheur la viande bien tendre. Tour à tour une pomme de terre, puis une carotte, puis de la viande... Les trois ensemble...Mélange parfait. Je laisse le tout fondre lentement dans la bouche. Je déguste lentement.... J'ai l'impression de ne jamais avoir rien mangé d'aussi bon.
Le tout en pleine conscience.

Quel plaisir, quel régal ! A refaire...  cool


NB : je ne passe pas 8 mn sur chaque bouchée, mais la dégustation du plat prend un bon moment.wink

 

 

j'ai sans doute dû mal m'exprimer:

mon but etant de déguster des aliments que jaime, il est évident que je ne vais pas deguster les aliments qui me dégoutent!: mais justement, le problème, cette angoisse c'est de découvrir comme en 2012, que finalement l'aliment que j'aime n'est pas bon!!!!! 

j'ai donc essayé pour cette première expérience de suivre vraiment les indications de LC: ils préconisent de déguster ces aliments d'abord... et biensûr d'autres ensuite. ET j'ai aussi voulu déguster sur toute la durée de l'enregistrement... ben en suivant leurs indications, tous les aliments je les trouve dégueu!

 

Concenrnant MA PART, oui effectivement c'est un véritable problème... et ce ancré depuis mon enfance: ma mère a toujours tout compter, au nombre de pates près! pour une question d'égalité! chacun en a droit autant!!!!

ET du coup, maintenant encore, si je prépare un bon plat, j'ai le besoin d'y gouter, d'avoir une portion, pas forcément équitable à celle de mes filles, mais tout de même, il faut que j'en mange! 

Voilà, mais depuis 2 jours, j'ai terminé la première étape, et miracle, j'ai faim à chaque prise alimentaire et avant de manger, je pratique un instant de respiration, et je déguste au moins le début de chaque plat... mais sans enregistrement, ce qui fait que au moins je déguste, même si je ne reste pas 8 min sur une bouchée... ce n'est pas grave, au contraire, je ne veux pas perdre le plaisir de manger de bonnes choses, (qui le sont moins si je les garde en bouche 8 min!, en tout cas en ce qui mem concerne!)

A te lire, on dirait que tu vas vraiment livrer bataille : "MA PART", des fois qu'on te la prenne ou que tes filles ne te laissent rien. et que tu viennes à manquer. smiley

C'est tout l'intérêt d'expérimenter la dégustation sur la petit faim. On mange moins.

Et en pleine conscience, c'est encore mieux.wink

Pour le déjeûner, je ne sais pas si j'vais faim ou pas... sensation diffuse, J'ai mangé avec les filles, pour avoir MA PART sans doute, mais du coup j'ai dégusté... un peu... faut pas exagérer tout de même et aller trop vite!!!! loooool

J'avais préparé un assimilé de tartiflette: pomme de terre, lardons et raclette et beaufort fondu. Il fallait biensûr que j'ai moi aussi une assiette.

De très bonnes odeurs émanaient de l'assiette... En bouche, c'était plutôt crémeux, pateux... des arômes très forts... Le sel ne venait que des lardons et du fromage... les pommes de terre etaient cuites juste ce qu'il faut. 

Du coup j'ai rempli ma dégustation du dernier aliment et je passe donc à la prochaine activité: déguster les 3 premières bouchées de chaque plat en conscience.

ET LA, JE LIS CE QUI JE PENSE ME REPOUSSE....

je vous colle les 2 encarts qui m'ont percutée dans les conseils du protocole:

 

SI VOSU AVEZ DES DIFFICULTES A DEGUSTER

Vos difficultés à goûter longuement peuvent traduire votre anxiété ou votre culpabilité à manger. Ces sentiments proviennent de la longue lutte que vous avez menée et qui vous a conduit à vivre les repas comme des moments de lutte. Les aliments sont bons par nature, car nourrissants. Quelle joie de les déguster comme ils le méritent!Lorsqu'on a suffisamment faim, et qu'on n'est pas encore arrivé au rassasiement, bien entendu!

 

JOUBLIE QUE JE DOIS D2GUSTER:

Cet exercice sur la dégustation peut révéler une anxiété face à ce que vous ressentez et pensez lorsque vous mangez. Sans doute cela provient-il du fait que manger a cessé d’être un plaisir pour vous et est devenu un problème.

Manger est une expérience de vie passionnante: on ressent des sensations extraordinaires, parfois merveilleuses, et parfois déplaisantes, selon ce qu'on mange et selon son état nutritionnel. Et cette expérience de vie, nous la vivons plusieurs fois par jour! Enfin, nous la vivons si nous ne la fuyons pas, si nous acceptons d'examiner aussi les pensées qui nous viennent dans ces moments-là. Quelles pensées? Des pensées de culpabilité comme "je n'ai pas le droit de manger ça"? Des pensées comme "je vais grossir, je suis trop grosse, je ne m'en sortirai jamais"? A vous d'aller voir. Examinez vos sensations, vos pensées, vos émotions en pleine conscience, lorsque l'aliment est dans votre bouche.

 

 

DOnc prochaine étape pour moi, la pleine conscience pendant le repas pour écouter mes pensées examiner mes sensations

 
Si vous avez des difficultés à déguster 

Vos difficultés à goûter longuement peuvent traduire votre anxiété ou votre culpabilité à manger. Ces sentiments proviennent de la longue lutte que vous avez menée et qui vous a conduit à vivre les repas comme des moments de lutte. Les aliments sont bons par nature, car nourrissants. Quelle joie de les déguster comme ils le méritent!Lorsqu'on a suffisamment faim, et qu'on n'est pas encore arrivé au rassasiement, bien entendu!

 
 
J'oublie que je dois déguster 

Cet exercice sur la dégustation peut révéler une anxiété face à ce que vous ressentez et pensez lorsque vous mangez. Sans doute cela provient-il du fait que manger a cessé d’être un plaisir pour vous et est devenu un problème.

Manger est une expérience de vie passionnante: on ressent des sensations extraordinaires, parfois merveilleuses, et parfois déplaisantes, selon ce qu'on mange et selon son état nutritionnel. Et cette expérience de vie, nous la vivons plusieurs fois par jour! Enfin, nous la vivons si nous ne la fuyons pas, si nous acceptons d'examiner aussi les pensées qui nous viennent dans ces moments-là. Quelles pensées? Des pensées de culpabilité comme "je n'ai pas le droit de manger ça"? Des pensées comme "je vais grossir, je suis trop grosse, je ne m'en sortirai jamais"? A vous d'aller voir. Examinez vos sensations, vos pensées, vos émotions en pleine conscience, lorsque l'aliment est dans votre bouche.

 
Si vous avez des difficultés à déguster 

Vos difficultés à goûter longuement peuvent traduire votre anxiété ou votre culpabilité à manger. Ces sentiments proviennent de la longue lutte que vous avez menée et qui vous a conduit à vivre les repas comme des moments de lutte. Les aliments sont bons par nature, car nourrissants. Quelle joie de les déguster comme ils le méritent!Lorsqu'on a suffisamment faim, et qu'on n'est pas encore arrivé au rassasiement, bien entendu!

 
 
J'oublie que je dois déguster 

Cet exercice sur la dégustation peut révéler une anxiété face à ce que vous ressentez et pensez lorsque vous mangez. Sans doute cela provient-il du fait que manger a cessé d’être un plaisir pour vous et est devenu un problème.

Manger est une expérience de vie passionnante: on ressent des sensations extraordinaires, parfois merveilleuses, et parfois déplaisantes, selon ce qu'on mange et selon son état nutritionnel. Et cette expérience de vie, nous la vivons plusieurs fois par jour! Enfin, nous la vivons si nous ne la fuyons pas, si nous acceptons d'examiner aussi les pensées qui nous viennent dans ces moments-là. Quelles pensées? Des pensées de culpabilité comme "je n'ai pas le droit de manger ça"? Des pensées comme "je vais grossir, je suis trop grosse, je ne m'en sortirai jamais"? A vous d'aller voir. Examinez vos sensations, vos pensées, vos émotions en pleine conscience, lorsque l'aliment est dans votre bouche.

 
Si vous avez des difficultés à déguster 

Vos difficultés à goûter longuement peuvent traduire votre anxiété ou votre culpabilité à manger. Ces sentiments proviennent de la longue lutte que vous avez menée et qui vous a conduit à vivre les repas comme des moments de lutte. Les aliments sont bons par nature, car nourrissants. Quelle joie de les déguster comme ils le méritent!Lorsqu'on a suffisamment faim, et qu'on n'est pas encore arrivé au rassasiement, bien entendu!

 
 
J'oublie que je dois déguster 

Cet exercice sur la dégustation peut révéler une anxiété face à ce que vous ressentez et pensez lorsque vous mangez. Sans doute cela provient-il du fait que manger a cessé d’être un plaisir pour vous et est devenu un problème.

Manger est une expérience de vie passionnante: on ressent des sensations extraordinaires, parfois merveilleuses, et parfois déplaisantes, selon ce qu'on mange et selon son état nutritionnel. Et cette expérience de vie, nous la vivons plusieurs fois par jour! Enfin, nous la vivons si nous ne la fuyons pas, si nous acceptons d'examiner aussi les pensées qui nous viennent dans ces moments-là. Quelles pensées? Des pensées de culpabilité comme "je n'ai pas le droit de manger ça"? Des pensées comme "je vais grossir, je suis trop grosse, je ne m'en sortirai jamais"? A vous d'aller voir. Examinez vos sensations, vos pensées, vos émotions en pleine conscience, lorsque l'aliment est dans votre bouche.

Si vous avez des difficultés à déguster 

Vos difficultés à goûter longuement peuvent traduire votre anxiété ou votre culpabilité à manger. Ces sentiments proviennent de la longue lutte que vous avez menée et qui vous a conduit à vivre les repas comme des moments de lutte. Les aliments sont bons par nature, car nourrissants. Quelle joie de les déguster comme ils le méritent!Lorsqu'on a suffisamment faim, et qu'on n'est pas encore arrivé au rassasiement, bien entendu!

 
 
J'oublie que je dois déguster 

Cet exercice sur la dégustation peut révéler une anxiété face à ce que vous ressentez et pensez lorsque vous mangez. Sans doute cela provient-il du fait que manger a cessé d’être un plaisir pour vous et est devenu un problème.

Manger est une expérience de vie passionnante: on ressent des sensations extraordinaires, parfois merveilleuses, et parfois déplaisantes, selon ce qu'on mange et selon son état nutritionnel. Et cette expérience de vie, nous la vivons plusieurs fois par jour! Enfin, nous la vivons si nous ne la fuyons pas, si nous acceptons d'examiner aussi les pensées qui nous viennent dans ces moments-là. Quelles pensées? Des pensées de culpabilité comme "je n'ai pas le droit de manger ça"? Des pensées comme "je vais grossir, je suis trop grosse, je ne m'en sortirai jamais"? A vous d'aller voir. Examinez vos sensations, vos pensées, vos émotions en pleine conscience, lorsque l'aliment est dans votre bouche.

coucou je me joins à vous car je bloque sur ce point...

En effet,des souvenirs de "dégoûtation" (cf autre post de ce forum) m'inhibent un peu sur cette expérimentation.

Mais j'ai décidé de refaire tout le programme, et ce n'est pas négatif de pratiquer cette dégustation, alors pour le moement je me force aussi sur les 3 aliments à déguster.

Aujourd'hui j'ai dégusté une pomme, mais même si j'écoute la bande son pour tenter de "bien" déguster, je vous avoue, que la pomme n'a plus de goût quand je l'avale, et ça devient même dégueu!!!

Alors, je vais être moins rigide, et moins perfectionniste, vaut mieux faire un peu, que pas du tout n'est ce pas... et je vais déguster à ma manière, juste porter mon attention sur le goût sans prendre autant de temps...

Et surtout, je veux continuer à déguster quand j'ai une bonne faim.

Cela fait une semaine que je devais déguster les 3 aliments, et j'ai procrastiné peut etre aussi parce que je ne rafole pas de pomme, ou de pain décongelé! lol j'ai la flemme d'aller à la boulangerie juste pour ça, quand je vais acheter mon pain, c'est que nous en avons envie pour accompagner un bon tajin... mais du coup je ne suis pas dans l'expérience proprement dite.

Alors grâce à ce fil, je vais me forcer (pour que ça devienne automatique) de déguster tous mes repas, au moins au début.