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Aperitif

Linecoaching au quotidien Mes débuts sur Linecoaching
26 nov 2012 à 10h
Je suis depuis le 17/11, je rencontre des difficultés a me contrôler lors des apéritifs, je prends l apero le week end avec mon mari le soir pour nous détendre, c est également souvent un moment de convivialité avec nos enfants, ce n est pas trop sur l alcool que je rencontre des difficultes mais sur la nourriture, la je ne sais plus m arrêter, c est tomate sur tomate, pistache sur pistache, fromage si il y a, tout ce qui sera presente a ce moment la je me jete littéralement dessus et après je culpabilise jusqu au lendemain sans m empêcher de recommencer le soir même quand le moment arrive! J arrive a me contrôler a table au repas, en journée je gere, mais ca je n y arrive pas et j aime tellement ce moment que je ne vois pas comment faire, ca vous arrive a vous aussi et que vous a t on conseille? Dans l attente de vos conseils Nath

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16 commentaires

Bonjour Nath ! 

Je te remercie pour ce sujet, car je viens de commencer LC (depuis 3 jours), et moi aussi j'ai souvent des apéros le week-end.

Et ce week-end par exemple, j'ai fait fort : pour mon deuxième jour ça a été repas en famille (une dizaine) le midi avec apéro à ralonge et repas très copieux, et repas chez des amis le soir, avec un apéro aussi.

Je n'ai pas de conseil pour l'instant à te donner, parce que moi aussi je me suis jetée sur la nourriture... Le changement c'est que j'en ai eu pleine conscience, alors qu'avant j'avais presque l'impression de me contenir et de ne pas manger tant que ça...

Dans le cours de l'après midi, j'étais même à deux doigts de dire à mon copain tant pis on trouve une excuse et on décommande ce soir... mais je me suis dis que justement, c'était un comportement d'évitement qui n'allait pas dans le bon sens. Et d'ailleurs, j'ai été beaucoup plus raisonnable le soir, car l'envie m'était passée peut-être, je ne sais pas, je n'arrive pas encore à tout bien analyser...

Et puis surtout, j'ai eu la surprise du lendemain, car en écoutant mon corps, je n'ai au faim que sur les coups de 14h30, alors que d'habitude il m'est difficilement concevable de me lever et de ne pas déjeuner tout de suite, surtout le week-end.

ça m'a permis d'abord de réguler une partie de ce que j'avais ingurgité, mais surtout de moins culpabiliser...

Je pense que c'est quand même aussi normal d'avoir des moments où il est plus difficile de "lâcher prise" sans "se laisser aller", et qu'il faut surtout apprendre à être indulgentes avec nous et à ne pas trop culpabiliser...

Alors les "anciennes", si vous avez la solution miracle, on est tout à l'écoute !!! ;)

 

Coucou Mayo et tout le monde

Mayo, tu écris : "Je pense que c'est quand même aussi normal d'avoir des moments où il est plus difficile de "lâcher prise" sans "se laisser aller", et qu'il faut surtout apprendre à être indulgentes avec nous et à ne pas trop culpabiliser...

Alors les "anciennes", si vous avez la solution miracle, on est tout à l'écoute !!! ;)"

 

Tout à fait....Aux moments de fête/conviviaux  on mange tjs plus et c'est normal...On attend d'avoir à nouveau faim pou remanger, c'est tout. T'as su le faire, bravo !

Là où ça peut se compliquer c'est lorsque les repas de fête sont nombreux et très réguliers, il faut alors revoir sa copie...car c'est l'exceptionnel qui alors devient habituel

Il y a une vidéo de et avec Gérarg A.  ds les outils émotionnels relative aux repas conviviaux. Peut être son accès est-il encore grisé pour toi, et donc impossible pour l'instant...mais ça viendra!

Il n'y a aucune solution miracle, absolument aucune ! angry J'aimerai !

Des trucs : manger en pleine conscience, doucement, respirer entre chaque bouchée, avoir des petits moments de respiration, se lever de table ou s'éloigner du buffet, même les cacahuètes je les mange une par une et pas par poignée, être dans la pleine conscience et ne pas partir en pilote automatique parceque tu papotes à tout va  tout en mangeant . Régulièrement, se questionner : "où en suis je de ma faim, de mon envie," " peut être que je peux surtout -alterner- manger les tomates cerise" -moins gras et sucré- (il ne faut pas que ça me frustre cependant ), ne pas se rendre à un apéro affamée.....

Bonne continuation

Lorraine

Bonjour à toutes,

 

Moi aussi j'ai ce problème du week-end qui commence le vendredi soir avec l'apéro ou l'on se pose après une semaine de travail, repos bien mérité mais c'est là le plus difficile, je suis nouvelle aussi dans ce programme, avant j'arrivais à perdre du poids la semaine 2k à 3kg puis reprendre tout le week-end et c'est justement cela que je voudrais arrêter, qui à perdre très peu en semaine et surtout ne pas tout récupérer en fin de semaine, et ce dernier week-end je me suis satisfaite de mes 600 g en plus, en espérant que dans la semaine je vais les perdre bien sur, je commence à mieux repérer la sensation de faim et surtout de manger plus lentement....

Bonsoir à toutes,

Je crois qu'effectivement Lorraine a bien répondu vos questions, mais ce post pose évidement un problèmpe crucial, celui de la convivialité!

Tout comme vous je suis régulièrement confronté à ce problème.; Pour y avoir bien réfléchi je crois que le phénomène apéro- partie pose effectivement la difficulté à gérer la nourriture dans ces moments conviviaux, mais je me demande si la difficulté n'est pas autre, et repose sur loe fait que  chez nous, en France ,on ne sait pas passer un momemnt de convivialité ailleurs qu'autour d'un verre avec tous les petits-amuse-gueule qui vont bien avec!. Et pourtant je suis sûr qu'en terme de détente suite à une bonne semaine de travail,il y a sans doute d'autre façon d'apporter à son corps et à on esprit détente et convivialité! Mais cela demande sans doute une remise en cause plus profonde, celle des us et coutumes! Bon j'arrête de philosopher,car on ne va quand même pas tout remettre en cause!

Merci a toutes pour vos reponses, Effectivement le thème le plus important est convivialité, il faudrait que nos docteurs ouvrent un petit chat la dessus pour nous expliquer comment gérer, car de la satisfaction le week end j en ai, donc je ne vois pas en cette apéro un refuge en soi, j essayerais comme le dit Lorraine d intégrer un peu de pleine consience, mais avec tout le monde autour pas évident. Bon courage a toutes et bonne journée Nath

Bonjour à toutes ;

je me retrouve beaucoup dans cette problématique de l'apéro, et de la convivialité...

de mon expérience je ferai le rapprochement avec 2 choses qui me sont propres mais p-e que cela pourra vous éclairer...

Le côté APERO avec tout plein de bonnes choses, tout nous fait envie, ça fait un peu effet "buffet"... ouhhh vite tout manger ce qui est bon avant que ça ne disparaisse... on ne sait jamais si il y a une brutale pénurie de saucisson, ou de tomates cerises... J'avais essayé de gérer les problématiques de l'apéro avec un outil qui était "gérer les buffets" ou un truc dans le genre... se dire que l'on ne va pas tout prendre cette fois ci, qu'on goutera d'autres choses la prochaine fois, qu'on aura d'autres occasions... je travaille beuaocup sur le fait de me dire que des occasions il y en aura d'autres, que finalement je vais arrêter d'écouter mon ventre et mon cerveau qui a peur de la pénurie pour essayer de plus écouter les autres... et en plus comme ça j'arrive à avoir encore un peu faim pour le repas qui va suivre... mais c'est un des cas de figure les plus difficiles pour moi...

Ensuite sur le côté repas de fête / CONVIVIALITE Lorraine atrès très bien répondu... j'ai aussi rapproché cette histoire de "manger en société" avec "fumer"... j'ai arrêté de fumer avec la méthode d'A. Carr, et une des choses importantes étaint d'arriver à briser les associations... à savoir que je me disais qu'on moment serait beaucoup moins sympa sans cigarettes (genre un méga apéro) vu que depusi toujours je les apprécie avec cigarettes... alors idem, un apéro c'est sympa avec tous ces trucs à manger, à partager !! ça prend du temps de briser des associations d'idées, mais ça se fait ! tout en changera pas en un jour, et puis des fois aussi on peut se permettre de le faire en pleine conscience, en faisant confiance à notre coorps à partir du moment ou on peut écouter sa régulation...

 

Voilà, gouter de tout (mais juste un peu !) ou alors manger ce qui nous fait le plus plaisir (et tant pis pour le reste) on va y arriver !!

Je vous souhaite plein de courage

Bonjour à tous,

je pense effectivement que vous manquez un peu de réponse à ce sujet, je viens donc en soutien.

Les apéro du week-end, les tentations, et la convivialité cela fait beaucoup à apprendre à gérer en une fois. Mais je vous donne des pistes et chacune pourra adapter à ses difficultés.

Si vous souhaitez apprendre à gérer les tentations à l'apéro ou au moment de repas festifs, sans trop de nouveauté, l'objectif est toujours de rester le plus souvent possible centré sur ses sensations. Si l'on voit la machine s'emballer, parce que l'on ne peut s'empêcher de s'arrêter de manger, alors je vous conseille de pratiquer l'EME-zen découverte. Cet outil est disponible depuis "mes outils/ émotionnels".

S'il s'agit de travailler sur la problématique de la convivialité, il faudra apprendre progressivement à partager son attention en étant un coup sur soi et un coup avec les autres au tout départ, puis petit à petit grâce à l'entraînement en pouvant suivre une conversation tout en prenant conscience de ce qui se passe dans son corps. Il s'agit finalement d'un travail en pleine conscience pendant l'ensemble de vos prises alimentaires que vous soyez seul ou accompagné. Entraînez vous au départ avec la TV, puis avec une personne, puis deux...

Ces deux apprentrissages sont un peu fastidieux au départ (mais finalement comme tout apprentissage). C'est progressivement et avec persévérance que le travail se fait.

J'espère vous avoir aidé chacune. 

Je vous souhaite une très bonne continuation,

Marie, votre coach

Merci Marie, je vais essayer de suivre tes conseils mon week end a moi commence mercredi soir nous avons ici un week end de 4 jrs avec les enfants et mon mari,, il faut que je trouve le moyen de faire mes seances de zen quand je vois que je vais deraper, je sens que je vais avoir le droit a la sempiternel question " mais pourquoi tu soupir ou t as du mal a respirer."lol Merci de nous éclairer au détour de nos conversations

Bonjour Nath

 

beaucoup de choses ont été dites : je vais juste te livrer mon astuce sur les apéros. Au démarrage, que ce soit les apéros ou les buffets pasaient pour moi dans la catégorie "ce n'est pas un repas donc ça ne compte pas"; Je mangeais donc en quantité et pas forcément avec plaisir, ce qui pouvait se présenter : saucisson, olives, feuilletés etc ... Je ne participais pas vraiment aux échanges car je repérais le dernier tapas et mon attention était concentré sur le fait de pouvoir le manger avant mon voisin. Evidemment, je n'avais plus faim pour le repas que je mangeais également sans plaisir. Dommage non?

Jusqu'au jour ou en réfléchissant à tout ça, je me suis demandé ce que je recherchais dans ces moments? Mais bien sur la convivialité, le partage enlightened ! J'ai pris conscience que ce qui me faisait vraiment plaisir c'était de pouvoir passer du temps avec mes amis / mon chéri / ma famille (au choix wink). Que je gachais ça par mon attitude, ce qui me frustrait et me poussait à manger encore plus.

Depuis le jour ou je suis arrivée à cette conclusion, voila ce que je fais : je prends le temps de choisir une boisson qui me fait vraiment plaisir (quitte à énerver un peu mon chéri quand je luisors un "je ne sais pas" parce que rien ne me fait envie; je regarde attentivement les bons petits apéros que l'on me propose et j'en choisis deux ou trois qui me font vraiment envie et je les pose devant moi (en général sur une serviette en papier ou dans mon assiette si on est à table).

Enfin, ceci fait, je profite de mon entourage. Je fais cela depuis quelques semaines; je reçois et nous sommes très souvent invités. J'y ai beaucoup gagné. Voila mon petit partage d'expérience. J'espère qu'il pourra t'être utile avec l'arrivée des fêtes de fin d'année.

 

A bientôt

Sorbet

Tu m as fait sourire dans ton commentaire sorbet car c est exactemnet ce que je ressens, j en ai honte des fois devant mes enfants car c est au premiers qui va ce jeter sur le dernier morceau et dans c est cas la je n ai pas de pitiee meme si apres je me dit tu es horrible de faire ca, tes enfants en ont plus besoins que toi. Je vais suivre tout vos conseilles lors de mes prochains apero, la pleine conscience et choisir 3 ou 4 petits fours. Je vous tiens au courant. Nath

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