Quels sont vos aliments tabous ?
Je suis entrain de réfléchir aux miens mais je pense que j'en oublie... Je me dis que je ne dois pas être la seule.Alors si nous listions nos aliments cela nous permettrait sûrement de prendre conscience de certains de nos tabous qui le sont tellement devenus que nous les avons oubliés.
Je commence :
- nutella : j'en ai jamais sinon je tombe dedans
- viennoiserie : pareil
- frites : là je ne sais pas trop si c'est tabou ou non. Je peux en manger chez moi mais pas à la cantine car je n'arrive pas à évaluer la quantité
- gâteaux de boulangerie : pareil je ne sais pas. Je n'en achète pas car ils ne m'attirent pas. Pareil je n'en prend pas à la cantine pour la même raison. Mais si j'en ai un dans l'assiette là c'est autre chose.
Et vous ????
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@babydols : moi, c'est un peu pareil mais je trouve tout de même ça très écoeurant à la longue et donc, je me maîtrise mieux. Par exemple, j'en ai un pot moyen qui traîne dans un placard depuis les crêpes de cet été et j'ai demandé (ordonné !) à mes fils de le terminer parce qu'il séchait !
Mais j'en ai acheté un tout neuf pour faire ma dégustation aujourd'hui. C'est sûr, je ne le jetterai pas à la fin (j'ai horreur du gâchis, même pour la symbolique du geste) mais je n'ai pas peur, je ne pense pas avoir envie de le terminer à la cuillère, ce genre d'envies m'étant passé depuis quelques mois... 
Comme Ingalill, l'envie de terminer le pot de nutella à la cuiller m'est passée depuis quelques mois (merci qui???).
En fait, je me suis guérie du nutella. Je mange tous les matins 2 solides tartines au nutella, parce que j'adore ça et que je l'accepte. Le pot dure 3 semaines et je ne culpabilise même plus de ne pas manger les confitures de ma maman dont je n'ai pas envie.
Grâce à la méthode (que je connais depuis très longtemps) et linecoaching, je dois dire que je n'ai plus vraiment d'aliment tabou. Ce que je considérerais comme aliments "connotés tabous" seraient les aliments sur lesquels je suis susceptible de craquer en cas d'EME, même si je les consomme régulièrement en relative tranquillité:
- chocolat au lait
- petits gâteaux (spécialement au chocolat et très sucrés)
- chips (quoi que je commence à trouver cet aliment carrément dégueu...)
ouah vous me faites réver les filles là !!!! déjà manger des tartines de nutella ,c'est un truc que j'ai jamais fais !!
nutella = crise
donc pour le moment c'est mon pire ennemi et je me sens pas du tout capable d'en avoir chez moi !!!
mais bon j'espere y arriver d'ici quelques temps, si ça a marché sur vous, y'a pas de raison !!!!
merci en tout cas, c'est encourageant !!!! 
je viens d'acheter une superglace cremeuse , c'est la première fois depuis bien longtemps que je me le permets !
les aliments tabous se démasquent petit à petit, et j arrive à m autoriser sans ( trop ) craindre de tout manger d'un coup
plutot chouette comme impression!
Je n'ai pas (plus ? plus pour le moment ?) d'aliments tabous à proprement parler (des aliments que je m'interdis sous peine de compulser dessus). Mais il y a parfois des aliments qui me posent problème ponctuellement, pour lesquels j'ai encore du mal à m'arrêter, même quand je sens le rassasiement spécifique dans la bouche. Quelques jours/semaines plus tard, ça va. Et plus tard, un autre apparaît.
- tout au début du programme, la crème de marrons. Fin août, je me suis inscrite, et le lendemain, j'achetais mon premier lot de petites crèmes de marron depuis longtemps ! Et en fait, le fait de pouvoir en remanger quand je voulais, de découvrir que je n'avais pas aussi faim que je croyais, ça a fait passer très vite l'envie dévorante. J'ai appris à filmer et mettre au frigo pour le lendemain. Il me reste même un petit pot du deuxième achat.
- A Nöel, les chocolats au praliné. J'avais prévu de refaire l'expérience du rassasiement spécifique sur une boîte de chocolats, et puis finalement, rien que d'écrire sur le forum que j'avais cette difficulté, d'envisager de refaire l'expérience, ça m'a fait prendre du recul, et l'envie dévorante d'en dévorer a disparu.
- lors de mes dernières règles, les pommes. J'avais l'impression que ça allait me prendre la place des aliments gras sucrés réconfortants. J'en avais envie, mais je rechignais à en manger, parce que bon, le chocolat, c'est meilleur, non ? Là aussi, l'écrire dans le forum m'a aidée à prendre du recul, et du coup j'en ai fait mes délices pendant quelques repas, pour le dessert. Un aliment diététiquement correct comme aliment tabou, je ne m'y attendais pas !
- en ce moment (en fait, depuis peu après mon inscription !), ce sont les desserts (industriels) en portions individuelles qu'on trouve au rayon frais, à côté des yaourts. Il en existe une énorme variété, et ça a toujours été des aliments interdits ou déconseillés (les faits-maison n'ont jamais été aussi stigmatisé dans ma tête, ce sont des desserts de réunion familiale ou amicale, des desserts d'exception. Mais l'industriel, c'est le tabou longtemps désiré !). Même quand j'étais entre deux régimes, en plein lâchage, je n'en achetais pas. Déjà, ce n'est pas donné. En plus, les portions sont toutes petites, c'est du vol ! Et puis ça fait des calories. (A la place, je mangeais les glaces de mon mari !). Là, ça y est, la porte est ouverte sur le monde des merveilles ! J'ai enfin pu goûter les crèmes que mon neveu de 4 ans mange sans que je m'autorise à y goûter : Nesquik (j'aime), les "P'tits filous" (je n'aime pas, lui il adore). Et puis les trucs "d'adultes" : cheesecake au citron, aux fruits rouges, au caramel, dessert Gû (alors ça... mais alors ça... qu'est-ce que c'est bon !), mousse au chocolat noir, au chocolat au lait (bof), à la vanille (bof), à la pistache (bof), semoule aux grains de raisin, riz-au-lait, tiramisu, et j'en passe.
Je les mange en dessert, je veille à garder de l'appétit pour en profiter. J'en mange parfois pendant mon EME du soir, mais c'est moins bon, nettement, donc quand je n'arrive pas à m'en passer, je n'en mange qu'un seul. J'arrive à m'en passer de plus en plus, parce que je sais que je pourrais en profiter le lendemain, et le surlendemain. J'aime l'idée que ça soit un aliment de mon nouveau comportement alimentaire, pas de l'ancien, mais c'est encore difficile.
Même mangés avec faim, je ne m'arrête pas quand j'ai les signaux du rassasiement spécifique dans la bouche. Ca a beau ne plus avoir goût qu'au sucre et au gras, je continue. Si je m'arrêtais, il en resterait entre la moitié et un quart. Moi qui trouvais avant que les pots étaient trop petits, je les trouve maintenant trop grands !
Après le premier carnet de stabilisation du comportement, un des exercices était de jeter des objets inutiles, et c'était drôlement bien ciblé ! J'ai encore beaucoup à faire à ce niveau !
Le bon côté, c'est qu'après un premier round de plusieurs semaines de "WOW, toutes ces bonnes choses !", j'ai eu une soudaine envie de yaourt (au lait entier, quand même, hein !), pendant plusieurs semaines, envie de moins de sucre et de moins de gras, de moins de complication gustative.
Le "mauvais" côté, c'est qu'hier, ça a recommencé. Mais aujourd'hui, après deux desserts de ce style hier midi et hier soir, j'ai eu envie d'acidité. J'ai renoncé au Gû à midi, et j'ai opté pour une "chantilly-rhubarbe" que j'ai trouvé jouissive, et j'ai même trouvé que la chantilly était un peu trop lourde (alors qu'en principe, je la mange à part, pour en avoir tout le goût). J'aurais pu opter pour un pamplemousse rose. Après tout, je m'en suis régalé hier et j'en ai encore envie. Mais j'ai l'impression de DEVOIR profiter de mes desserts "TANT QUE C'EST POSSIBLE", comme si demain un homme style Men in black allait venir m'obliger à faire un régime au nom de la Loi Diététique (je l'imagine bien, visage impassible, costume cravate, lunettes noires et compteur de calories dans le holster).
Ca m'agace un peu, mais au final, je me laisse porter. Je pense que j'ai besoin d'en tester autant que je veux, d'en manger et d'en remanger (j'attends la faim suivante, voilà tout), dessert après dessert, faim après faim, pour mieux connaître cet aliment longtemps tabou, et voir que non, aucun agent de la Loi Diététique ne débarque chez moi au petit matin pour me mettre au régime. Et petit à petit, je me dis que ça deviendra un plaisir plus familier, puis pas plus désirable que les autres aliments.
Pattie,
J'aime bien ta conclusion car c'est ce que je mets progressivement en place.
Aujourd'hui, les aliments "tabous" ne sont pas plus désirables que d'autres. Et en cas d'EME, il m'arrive même parfois de rêver d'une blanquette de veau, d'un excellent pavé de saumon ou de clémentines juteuses comme il faut ! :-)
En te lisant, je me rends compte qu'en fait, je n'ai plus eu d'aliments tabous à partir du moment où j'ai lu qu'aucun ne me ferait plus grossir qu'un autre, à partir du moment où la faim est là.
Bon, au départ, il a quand même fallu que j'en avale un certain nombre assez goûlument, histoire de me "sevrer" !
Mais finalement, je me suis vite (enfin, tout est relatif, bien sûr ! Mais ça n'a pas été le plus difficile) débarrassée du mot "tabou".
Et je prends plaisir, comme toi, à goûter ce que j'avais ôté de mon frigo. Je prends plaisir à avoir un regard/goût critique et à en écarter certains ! Et ça, pour moi, c'est une sacrée victoire !
Alors bonne continuation dans ton aventure au pays des desserts ! ;-)
Au plaisir de te lire
Quels jolis posts, et ça fait écho...Et je vois Patience que tu es revenue 
Mon gros aliment tabou c'était le chocolat au lait ou blanc, vous savez ce chocolat qui n'a de chocolat que le nom...je les ai tous fait à mon arrivée ici : au caramel, fondant, super fondant, superhyperméga fondant, au gingembre , aux noisettes, au sésame, au citron, au doublelaitde toutes les marques..Idem, j'en ai mis au rebus , des que j'aime pas et sur lesquels "je fantasmais"
Mais c'est encore et toujours l'aliment (ou à nouveau en début de programme ça allait) dont je sens moins la sasiété ou plutôt le manque de plaisir au bout de quelques carrés.
Le chocolat me sert de dessert; les jours où je mange "un vrai dessert" bien sucré, je ne mange pas de chocolat, même pas envie....
J'aimerai baisser ma quantité ; les jours "moins" je dois être à 100g (en deux repas) . Je n'achète plus que du lait ou blanc "simple" en tablette de 100g pour limiter les calories.
Y a des jours, mais pas très nombreux, où je ne dépasse pas les 4 carrés...
Je ne veux pas forcément enlever les desserts...Peut être pourrais je me trouver des rituels genre fruit à midi et dessert sucré le soir...Peut être pourrai je essayer les dessets industriels en petits pots...Ca limiterai la quantité...Ou acheter des petites tablettes individuelles. cela fait plusieurs semaines que j'y réfléchis.
Ou encore laisser plus de place à la fin du plat salé.....Je considère que ce chocolat en fin de repas , est actuellement mon seul gros point faible....J'aimerai à défaut de le faire disparaitre l'atténuer plus systématiquement (desfois je fais de la rpc et ça marche mais pas toujours)
Ton post Pattie a attisé ma réflexion sur le sujet. Merci. Je continue...
Lorraine,
J'ai une question suite à ton post : pourquoi souhaites-tu baisser la quantité de chocolat que tu consommes au quotidien ?
Est-ce pour une question de santé ? Parce que tu finis toujours par en manger bien plus que ta faim ?...
En tout cas, je comprends ton goût pour le chocolat ! C'est un aliment que l'on a tout le temps à la maison. Pour moi, le chocolat, c'est la cerise sur le gâteau, le truc en plus sur le dessert... surtout maintenant que j'ai découvert THE chocolat qui me plaît le plus !
Quand j'en prends un carré, mon objectif est de le garder le plus longtemps possible en bouche. De mémoire, j'ai dû garder un carré une grosse 1/2h au maximum. Du coup, pleinement satisfaite, je n'ai plus forcément envie de prendre un carré supplémentaire.
Peut-être que la piste de la longue dégustation pourrait t'aider ?...
Au plaisir de te lire
Merci Patience et Izabelle de vos réponses, elles m'ont aidée à faire le point :
Je souhaite réduire la quantité parce qu'elle est importante, surtout les jours où j'atteins les 100 g...Donc beaucoup de calories et comme ce n'est que le dessert et pas le repas...et comme je ne mange pas que poisson vapeur et haricots cuits à l'eau...Alors si je me mettais à compter le nb de calories je suis au delà de mes besoins sachant que je suis plutôt sédentaire. Bref j'ai pris un kilo et je me dis je mange au delà de ma faim et j'aimerai remédier à cela.
Ce n'est pas directement pour la santé, je n'ai pas de diabète ou de cholestérol. Mais avec des articulations inflammées comme les miennes un poids plus bas peut aider à ce que les douleurs se calment.
Oui, c'est sûr j'en mange plus que ma faim me le dicte. 2 à 4 careaux suffisent. Donc EME. (les raisons de faire des EME ne manquent pas) Même desfois en terme de place restante dans le ventre cela pourrait être 0 chocolat .
Depuis quelques jours, je réduis, j'y arrive, je déguste plus en pleine conscience..., je repère, accueille et ressens le sentiment de frustration, oui c'est bien de cela qu'il s'agit, j'aime bien ce mot Izabelle. Pas complètement facile mais pas insurmontable, pour le moment. Ca me fait drôle aussi d'être frustrée, j'aimerai être raisonnable naturellement !
Je vais tenter la piste de garder le chocolat longuement en bouche comme tu me le conseiles Patience et essaier de ressentir que avec 1 carré on peut ressentir autant de plaisir qu'avec 4, 6 ou 8.
Pourquoi, j'ai pensé dessert en petit pot au lieu du chocolat ? Je crois que c'est pour le côté accro au chocolat qui m'agace , Mais en réflechissant, est ce bien nécessaire, pas sûr, car les rituels ont du bon. Oui, réduire la quantité (chose que je faisais très bien jusqu'à il y a quelques mois) . On va dire qu'en ce moment je surfe un peu sur les vagues, petites les vagues. Et que le mental est un chouya trop présent.
Plus que le chocolat pour le cacao c'est le côté sucré qui me plaît. C'est pour cela que le chocolat noir, c'est pas que je ne l'aime pas mais il ne m'apporte aucun plaisir. Il n'est pas assez sucré à mon gôut. Je l'aime transformé en gâteau, mousse et autres fondants. Et dans ce cas, oui pour le lindt à 70%, excellent...J'en ai d'ailleurs aussi dans le placard. C'est mon mari qui aime le chocolat noir; lui ne mange que celui là, jusqu'à 95 % de cacao, il n'aime pas le chocolat au lait ou blanc ! Et il n'aime pas les bonbons, alors que moi j'aime aussi beaucoup les bonbons !
Là, où quand même j'assure (allez, un peu de valorisation) c'est que je n'en mange jamais (ou très rarement lorsque l'on m'en propose uniquement) en dehors des repas, (de bonbons non plus ni de quoique soit d'autre) il y en a pourtant toujours à la maison et que quoiqu'il en soit je le mange assez lentement.
J'ai pensé m'entraîner à aimer le noir...J'ai même essayé une seconde ou deux...Non, et je ne veux pas tout compte fait . Il me semble que je mettrai dans une ambiance régime et que je ne me respecterai pas. Et ce n'est pas la solution. J'ai beaucoup entendu avant LC "si vous ne pouvez pas vous empêcher de manger du chocolat et bien mangez du noir !" Et j'ai vraiment réalisé avec le post de Pattie comme le chocolat au lait et le blanc étaient des aliments tabous, que je mangeais en douce avant LC. Maintenant quand même c'est devenu un ami pour le plaisir, le réconfort. juste ne pas en abuser....
C'est vrai qu'en dehors du chocolat et des desserts maison je n'ai plus vraiment de tentation pour les meringues et autres nougats. Et ça c'est quand même super.
Bon, résolution : je vais veiller à garder une vraie place pour le dessert et surtout ne pas dépasser la barre de chocolat au lait. Je continue la rpc pour accueillir les émotions, pour faciliter la pleine conscience y compris au moment des repas.
a propos du nutella :
ce weekend on était a la campagne chez mes beaux parents. Mon fils et ses cousines (tous agés de 9 ans) ont mangé du nutella au petit dejeuner.
Ma belle mere dit aux enfants : mais qu'est ce que vous aimez ça le nutella !!!!
et là mon fils repond : j'en profite parce que maman elle en achete presque jamais et quand il y en a a la maison, elle mange tout le pot et y'en a plus pour moi
la honte, je savais plus ou me mettre
Pourtant c'est la vérité !!! je n'achete du nutella que quand je fais des crepes , et j'achete le plus petit pot qui existe car je sais qu'une fois ouvert, ma main trouve une cuillere et je me l'enfile en moins de 3 jours !!!!!