multiplier les EME Quand on est mal dans son corps
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Oui je crois qu'en faite que ce soit la nourriture, l'alcool tout ses "compensements" sont forcément liés à des relations difficiles et/ou comflictuelle antérieurement... je crois que pou les deux "addictions" il y a une sorte de soeuvrage à faire ( sachant que pour l'alcool il faut arrêter complètement) nous avec la nourriture on a encore cette chance de pouvoir suivre nos besoins intérieurs.
Mais je crois que la plupart des problèmes (en général) est du au passé qui sont trop difficile a surmonter et on compense par quelque chose d'autre pour combler le "vide".
Il suffit en fait de comprendre le problème et d'arriver à l'accepter sauf que c'est souvent la "LE" problème l'identifier c'est souvent vite fait mais l'accepter c'est souvent la le plus compliqué.
Au plaisir de vous lire toutes et tous...
oui titelilidu, tu as bien résumé, identifier "LE problème", petit pas en avant, certes, mais pas suffisant, le tout est de l'accepter ! il faut se dire qu'à un moment T de notre vie, on a fait un choix qui a eu des conséquences et que , si on a fait CE choix à ce moment précis ,c'est qu'il nous semblait être le meilleur ! mais desfois NOTRE problème ne dépend pas de nous ... mais quoiqu'il en soit, il faut le recenser, l' accepter pour vivre avec.
[quote=Patience]
D'une part, quand j'accueille une émotion, je lui donne de la place physiquement. Je me dis texto : "Laisse-la s'exprimer, laisse-lui sa place". Et là je prends conscience de ce qui se passe dans mon corps : oppression respiratoire, douleurs, noeud au ventre, excitation nerveuse...
D'autre part, il y a ce qui se passe dans la tête. Et là je note mes pensées en me disant un mot.
[/quote]
J'utilise aussi ta technique, Patience, en partie au moins, pour le moment. Quand tu écrivais tes inconforts, à un moment, tu détaillais les effets physiques, les pensées, les émotions. Ca m'avait marquée. Je m'inspire de ça pour réussir à me confronter à une émotion. Au lieu de vite penser à autre chose, je vais à la recherche des traces physiques qu'elle me donne, style body scan rapide, en répertoriant les endroits du corps qui se sentent mal et en mettant des mots sur les malaises physiques (oppression, joues qui brûlent, sinus qui piquent). C'est comme plonger dans de l'eau qu'on sait froide et qui, effectivement, est froide. Très très désagréable. Et puis tout d'un coup, ça devient pas si grave que ça. C'est toujours désagréable, mais je m'aperçois que c'est supportable, et puis un moment après, que les traces physiques s'estompent, se mettent en arrière-fond, même si je continue à les observer vraiment attentivement, et puis qu'elles disparaissent (et réapparaissent, mais redisparaissent).
Hier, je l'ai appliqué à un souvenir que je n'aime pas, que je repousse toujours quand il me vient. Cette fois, je ne l'ai pas repoussé. J'ai commencé à le fuir, et puis c'est comme si tout d'un coup je faisais demi-tour pour aller à sa rencontre, sans me battre, juste pour le voir, voir s'il est si terrible que ça. Ca a duré assez longtemps, mais j'ai observé chaque trace physique que ça me laissait, en pleine conscience, sans me laisser emporter par les détails du souvenir, juste sur les traces présentes, les effets du souvenir sur moi, maintenant, à sa simple évocation. A la fin, quand ça a commencé à s'estomper, j'étais fatiguée. Et plus tard, je me suis dit "Wow... j'y suis arrivée ! J'ai réussi à me confronter à ça."
Pour le moment, j'ai encore du mal à nommer les émotions pénibles, à part quelques-unes. Mais réussir à ne pas les repousser, et même à les observer au niveau manifestations physiques, c'est déjà énorme dans ma manière de fonctionner (j'ai longtemps fonctionné comme une autruche, face aux émotions difficiles, et je n'ai pas encore tout à fait sorti la tête du sable pour le moment).
Non tu nous embètent pas t'inquiète pas mais moins de pression ne sera que meilleur pour toi... crois moi le stress n'arrange pas les choses et multiplie tes EME et du coup ton inconfort sans que tu puisse le gérer aussi bien .
Voilà Bon courage...
Oui et crois moi faut arriver la le laisser au placard regarde moi j'ai même repris du poids alors que je fais les exercices correctement et pourtant je n'ai pas réinséré des aliments tabous car je ne les ai jamais supprimer du coup on en a déduit que c'étais surment la balance mon problèmes alors là je me suis peser en début de semaines je vais attendre quelques semaines avant de recommencé... Bonne journée et vois le bon côté malgrès ton stress du contrôle tu as réussi a perdre alors si tu te destresse tu repèrera mieux tes sensations et pourras mieux les gérer du coup perdre plus de poids encore et même si sa ne vas pas dans le sens que tu veux il faut se laisser le temps et avoir de la Patience.
bonne journée
Oui cette émission était tres bien faite et on s'y retrouve beaucoupdans les definitions je trouve... disons que nos problèmes sont plus ou moins comparable...bonne soirée a vous toutes...
En réponse très rapide //points communs :
L'alcool pour les personnes en relation de dépendance vient anesthésier les émotions nombreuses et très douloureuses pas toujours repérées et identifiées.
Chez les personnes avec un réel,gros et durable problème d'alcool souvent (toujours ?) on trouve des histoires d'enfant très douloureuses à base d'abandon (réel ou imaginaire), de carences affectives.
Et c'est vrai qu'au niveau émotionnel et souffrance c'est très fort avec plus ou moins de capacité/volonté/ de le regarder en face et d'y faire face.
Et, En plus, dans le problème d'alcool il y a le problème d'accoutumance physique et en plus, souvent des problèmes sociaux puisque l'alcool à un moment donné a pris tellement de place, les troubles du comportement ayant entrainé des ruptures familiales professionnelles....Cela on ne le retrouve pas dans le problème de la nourriture
En guise de soins : il y a les associations comme les Alcooliques Anonymes où on retrouve le principe de la pleine conscience avec instant après instant, jour après jour.....
Là c'était uen émission conscarée aux femmes alcooliques, sujet très tabou encore. Merci à ces femmes qui ont témoignées.