nos expériences de pleine conscience

bon, ben il n'était pas encore chez club, vais un peu attendre ...

Moi,j'en sais rien. J'apprends, j'accueille, j'attends.

Liza écrit :

Peut-on se sentir réellement vivante en se déclarant, même avec humour, " ...associale..." ?

Au contact des forum de LC j'ai acheté aussi certains de ces livres.

En ce moment j'essais de faire mienne la pleine conscience à partir du pavé initial de JKZ.

J'y vois là la possibilité de faire seule quelque chose que je recherchais dans le Tay-Ji ou dans le yoga : s'éxercer à la séreinité à partir de sa propre vie en s'inspirant de notre réalité et non par soumission à des dogmes ou des croyances. je viens de me relire

Cela semble vraiment "pédant" (pour ne pas dire pis) ; Pourtant cela reflète vraiment une aspiration profonde en moi

La route est longue pour trouver sa vérité...

Je me demande si la vraie solution n'est pas plustôt dans la pratique informelle ?

A moins que ce ne soit l'alternance des deux -Théorie(lectures) - Pratique - qui soit profitable.

Qu'en pensez-vous ?

Mais qu'est ce que je te comprends liza....Je ne trouve pas que ce soit pédant....

Maintenant on ne peut pas faire tout tout seul, on ne pas grandir sans les autres, il faut bien apprendre de quelqu'un...et JKZ en matière de pleine conscience est une référence (il a ramené la pc en Occident)

Se faire sien (c'est à dire le teinter de son contexte, de sa propre expérience) le savoir reçu de l'Autre c'est l'idéal et ça peut s'appeler autonomie  , petit à petit mais ça démarre toujours par un/des apprentissage

Il ne s'agit pas de refuser toute relation de dépendance : le "moi je suis libre et je ne dépends ni de rien ni de personne" (parce que l'engagement est difficile sans même que la personne qui prononce cette phrase  sache cela) , c'est un leurre. J'ai entendu des personnes toxicomanes tenir ce discours...Tu parles d'une liberté lorsqu'on est aliéné à un produit qui nous fera peut être mourir mais sans lequel on ne peut pas vivre.

Pour pouvoir me forger mes propres opinions,  j'aime pour certains sujets lire plein de choses différentes et ne pas rester "collée" à une façon de penser...(par exemple comme écrit plus haut sur un autre de mes posts : j'ai lu, moi fan de LC, de JKZ et d'autres des livres de pleine conscience écrit par un bouddiste...)

Arriver à bien faire quelque chose (lire , écrire, manger à sa faim, faire de la rpc.........) passent  par des apprentissages plus ou moins conscients ou importants...L'idée de faire des séances formelles de rpc est aussi d' arriver à un moment donné à intégrer de manière totalement naturelle la pleine conscience dans les actes de la vie quotidienne donc de manière informelle

Voilà mon p'tit avis....

Bonne soirée

Lorraine

Bonjour Liza

J'interviens car tu parles du yoga que je connais bien.

tu dis : J'y vois là (LC) la possibilité de faire seule quelque chose que je recherchais dans le Tay-Ji ou dans le yoga : s'éxercer à la séreinité à partir de sa propre vie en s'inspirant de notre réalité et non par soumission à des dogmes ou des croyances.

je ne vois rien de yogi dans cette démarche. Ce sont tes croyances ou une croyance qui t'a été proposé dans une pratique du yoga ?  Alors je m'interroge sur les raisons qui t'ont fait croire que le yoga c'était : s'exercer à la sérénité à partir de sa propre vie en s'inspirant de notre réalité. Je m'interroge sur ta recherche et ce qui la motive

Fausse manip du coup mon message est parti. Je continue

Tu dis : la route est longue pour trouver sa vérité ? Existe t'il une vérité qui nous soit propre ? Qu'entends tu par là ?

C'est quoi une pratique informelle ? et l'alternance des deux théories ?

J'en pense que on peut avoir une démarche très intellectuelle mais que la réponse, notre réponse n'est pas que dans les livres. Elle est aussi  pour ne pas dire que sur le tapis, en se reliant à soi même

Voilà ce que m'inspire ton post

Merci pour cet échange si riche