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Une Bypassée en quête de paix

Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
31 jan 2013 à 15h

Bonjour à tous,

 

Je viens tout juste de m'inscrire au programme LC. Il y a déjà plusieurs années que je connais les principes de ce site. Avant, je fréquentais des forums de size-acceptance, qui m'avaient amené à consulter gros.org notamment.

Aujourd'hui, après une perte de 72 kilos grâce à un by-pass, je pousse la porte de cette méthode car je me retrouve bien dépourvue. L'euphorie de la perte de poids, la lune de miel avec mon opération, est finie. Et malheureusement, les vieux démons sont toujours là et la reprise de poids se fait malgré tout. Mais avant d'en venir là, commençons par le commencement (merci à ceux qui auront le courage de tout lire ^^) et voilà un petit bout de mon histoire.

 

J'étais obèse depuis l'enfance. A l'âge de quatre ans mes parents m'ont fait faire mon premier régime restrictif. Il faut dire que je faisais 40 kilos... Un médecin, aujourd'hui très connu, avait mis au point ce régime hypocalorique.


Comment est-ce que j'ai pu atteindre un tel poids si jeune ?


On a eu la réponse que récemment, même si elle paraît évidente. Les tests pratiqués à l'hôpital avant de me faire opérer ont montré que j'éliminais moins de calories au repos que la moyenne des gens.
Aussi simple que cela certes...mais résumer mes problèmes de poids à une chose aussi banale finalement ce ne serait pas rendre hommage à la psyché. L'obésité est multifactorielle.


Je vous laisse imaginer les effets dévastateurs des régimes à répétition pendant toute mon enfance (car ils ont été nombreux vu que je reprenais à chaque fois), de la piètre image de moi que cela a occasionné, sans compter la domination d'un père tyrannique qui n'hésitait pas à fracasser les balances contre les murs quand je prenais 10 grammes de pain en trop.

En 2001, juin pour être exacte, j'étais arrivée à peser 120 kilos. La rébellion de l'adolescence et les compulsions alimentaires ayant eu raison de toute autorité et tentative de me mettre à la diète.
C'est à cette période que j'ai entendu parler de l'anneau. Ni une ni deux, je vois là ma dernière chance de sauvetage. Je me fais opérer dans une clinique privée de Paris. Et là surprise, ça fonctionne. Je perds 30 kilos en 6 mois et je suis ravie...ma famille sûrement encore plus que moi. 
La seule chose c'est que, bien que n'ayant plus autant de compulsions alimentaires, mon alimentation n'avait pas changé. Et 6 mois plus tard j'ai dû affronter le décès de mon père.

Là, tout a été très vite. J'ai géré le décès de mon père tout en apprenant à tricher avec l'anneau (quoi de plus facile...). A côté de ça, j'ai repris mes études, je me suis confrontée au monde que j'évitais. J'ai repris 40 kilos en une année, avec l'anneau.


Puis pendant 6 ans, ça a continué d'augmenter petit à petit jusqu'à ce qu'un jour j'ai le déclic. Cet anneau ne me servait à rien. J'aurais pu l'avoir avant, certes...mais bizarrement j'avais l'impression d'avoir un garde-fou...quelque chose qui m'empêchait de briser toute limite avec mon poids.


2007, Août...je suis arrivée à 136 kilos. Je décide de me faire enlever l'anneau tout en ayant la peur terrible de grossir encore plus après.
Et là surprise. Comme si c'était la délivrance d'un passé...pendant 2 ans, mon poids ne bougera pas. Mes compulsions alimentaires disparaîtront totalement petit à petit et grâce à un travail psy (commencé fin 2008) je perdrais 11 kilos avant l'opération du by-pass.

Puis l'opération en elle même me fera perdre totalement tout surplus de poids. Jusqu'à aujourdhui. Les compulsions sont revenues et plus que la reprise de 9 kilos sur les 6 derniers mois, c'est surtout mon attitude avec la nourriture qui me tourmente. J'angoisse tellement de reprendre tout le poids perdu, d'avoir fait cette opération pour rien à long terme.

Là où j'ai eu un éléctrochoc c'est le jour où ma belle-mère m'a fait remarquer que lorsque je faisais les courses en hypermarché, j'étais comme prise d'une frénésie, que j'achetais tout ce qui me faisait envie et dans des quantités toujours trop importantes. Là je me suis dit que j'étais sur la mauvaise pente. Puis j'ai essayé de me restreindre, de me mettre un peu à la diète mais en parlant de rééquilibrage alimentaire...c'est plus diplomatique envers soi-même...sauf que mon cerveau n'est pas un idiot et pour un jour de restriction c'était une semaine de baffrage...

 

Voilà, j'ai eu une coach au téléphone avant de m'inscrire qui m'a dit que ce programme pouvait m'aider, malgré mon opération qui m'a fait perdre la motilité de mon estomac...et qui me réclame à manger toutes les deux heures (peu importe si deux heures avant j'ai fait un gros ou un petit repas, même tarif.) Est-ce vraiment possible ? Et je fais ce qu'on appelle de l'hypoglycémie réactionnelle...en fait après un repas trop riche je subis le fameux dumping syndrôme...puis une heure ou plus après j'ai ma glycémie dans les choux...Avec la faim douloureuse etc... Est-ce que vous pensez qu'il est vraiment possible pour moi de gérer tous ces paramètres en suivant votre méthode ?

Pour moi le principal c'est d'arriver à avoir une relation sereine face à la nourriture, et qu'elle ne génère plus d'angoisses chez moi. Possible ?

 

Merci de m'avoir lue,

 

Ambre

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34 commentaires

Bonjour Ambre,

Ton témoignage me touche plus que tu ne pourrais le penser. Non pas en tant que  by-passée car je ne le suis pas mais en tant que soignante.

Aujourd'hui, tu décris ce que vivent beaucoup de personnes opérées comme toi mais qui ont été livrées à elle-même après cette intervention miraculeuse qui certes leur a sauvé la vie, leur a fait perdre du poids mais qui ne leur a rien appris de leur comportement alimentaire. Les études américaines que j'ai pu lire récemment démontre que l'échec de cette intervention à moyen terme est de 20 à 25 %. Quelle désolation de constater qu'une fois de plus, on laisse les patients face à leurs démons et leurs souffrances. Quelle catastrophe de constater qu'encore une fois de plus, malgré cette opération mutilante et contraignante on laisse croire au patient qu'il suffit d'un "petit effort" pour maintenir ce nouveau corps à flot et que maintenant que le chirurgien lui a redonné la vie, la balle est dans son camp et que le patient sera le seul responsable si échec il y a.

Comme tu le dis toi-même, c'est trop réducteur et trop simple d'imaginer que ces hisotires d'obésité ,ne sont que de simples histoires de tuyauterie que l'on coupe, que l'on raboute. L'euphorie de cette chriurgie commence à s'estomper et l'on se rend compte que les patients qui sont compulsifs avant l'intervention, le demeure après et la reprise de poids en est la conséquence majeure.Si pour temaintenir à ton poids d'équilibre que tu as retrouvé grace à la chirurgie tu dois être en restriction cognitive, tu te retrouves dans une situation déjà connue puisque tu dis avoir été au régime depuis l'âge de 4 ans.

Je ne sais pas si ta seule inscription sur le site suffira à te faire sortir de ce mode compulsif mais une chose est sûre c'est qu'ici tu vas travaillé sur tes émotions, celles te poussent à manger, tu vas apprendre à t'observer, à t'écouter. Tu vas apprendre à ne plus avoir de rapport conflictuel avec la nourriture. soit patiente et avec l'aide des docteurs  et Z., de ta coatch, des outils mis à ta disposition sur le site tu vas acquérir un autre mode de fonctionnement et elui-là ne sera plus basé sur la volonté et se fera à terme de façon automatique.

Alors bienvenue sur LC et j'espère que tu y trouveras la moyen de faire la paix avec toi-même, avec tes émotions, les aliments et que tu parviendras à trouver la sérénité qui te manque pour vivre plaisamment et garder ton poids stable

Merci Capuccino et Izabelle pour vos réponses.

 

C'est vrai, je l'ai souvent entendu dire. Tout est entre vos mains maintenant. Si vous perdez c'est que vous suivez bien le protocle et que vous avez réussi à rééquilibrer votre alimentation. Sinon et bien...vous avez échoué.Point à la ligne.

L'équipe qui me suit à l'hôpital utilise pourtant des discours plus modernes Les diététiciennes et les nutri du service veulent à tout prix qu'on évite la restriction cognitive car elles connaissent la suite et pourtant ils font encore des ateliers où on apprend à faire revenir des oignons à l'eau pour éviter l'huile...

Pourtant, malgré ça je le dis, je suis suivie par une super équipe, très impliquée, mais qui est victime de son succès (impossible d'avoir un rendez-vous par mois...tous les 6 mois c'est le mieux :/ ). Et qui au final ne me donne pas un moyen, une technique, à appliquer dans ma vie de tous les jours et qui ne soit pas, malgré leur effort pour faire passer ça pour de l'équilibre, de la restriction.

Et pour moi, rien que le mot rééquilibrage déclenche automatiquement la réponse baffrage lol

Par ailleurs, cette opération a pas mal brouillé les cartes sur la faim et la satiété dans mon cas. Je passe en une bouchée de la satiété au trop plein, du trop plein au dumping syndrôme (très désagréable, parfois malade jusqu'à en vomir si par exemple une prise de sucre trop rapide), du dumping à l'hypoglycémie et donc à la faim douloureuse. Il y a des journée où je ne m'en sors pas du tout et avec comme conséquence une prise alimentaire trop importante. Et donc le poids qui remonte.

 

Donc voilà, j'attends beaucoup de ce programme, trop peut être ?

En tout cas merci pour votre accueil :-)

Ah et petite anecdote "marrante". 3 mois après mon opération, j'ai recommencé la cigarette alors que j'avais arrêté depuis 5 ans...Et j'ai réussi à arrêter de nouveau il y a 3 mois, avec les 4 derniers kilos qui se sont installés sur cette courte période. Donc oui, je pense qu'il y a une partie d'évitements des émotions négatives évidente, mais en 30 ans je n'ai jamais sû comment y faire face :/

Rassure-toi Ambre, ici toutes les personnes ou presque n'ont jamais su gérer leurs émotions ou  y  faire face mais avec de la patience, des hauts, des bas, de l'euphorie, de la colère, de l'acceptation et beaucoup de Pleine conscience, un jour on se découvre toute autre (et je sais de quoi je parle). Et la paix que tu recherches tant arrive.

Tu peux enfin aller faire tes courses sans avoir peur de "craquer", sans faire de provisions comme si la 3ème guerre mondiale était déclarée. Tu peux enfin profiter de ce que tu manges, le savourer avec délectation parceque dans 2 heures, demain, dans 1 mois tu pourras en remanger si tu le souhaites. Bien que tu aies des contraintes en lien avec ton bypass, tu apprendras à déguster vraiment ce que tu manges, ce qui est différent de manger lentement et là même en quantité homéopathique tu apprécieras les saveurs des aliments et peut-être arriveras-tu à surmonter la frustration de ne pouvoir manger que quelques bouchées à la fois. Et si pour beaucoup d'entre-nous (et j'en fais partie) le plus difficile a été d'accepter un corps gros dont on ne voulais pas, l'acceptation pour toi sera peut-être dans le fait d'accepter que tes repas se résument  à quelques bouchées....

De plus ici, pas de challenge sur une perte ou un maintien du poids, pas de rythme à tenir, nous sommes justes des hommes et des femmes lassés de se battre contre eux-mêmes, usés d'avoir  maltraité notre corps et notre esprit à essayer d'atteindre le "saint poids" qui nous a tant semblé être le summum du bonheur. Nous sommes juste des hommes et des femmes qui ne savions pas...

Merci pour ce récit Ambre, il est très touchant...

je n'y connais rien en by-pass et je ne saurais te conseiller par rapport à tes sensations alimentaires

mais pour la partie émotionnelle, je pense que tu as tout à y gagner....   je ne sais pas si tu manges sous le coup d'émotions ou de ressentis difficiles, mais on peut penser que c'est probable puisque le décès de ton père a provoqué cette prise de poids

dans ce cas tu pourras apprendre ici, avec le temps et les exercices notamment de pleine conscience, à répondre autrement à tes émotions : à les accepter, les laisser être....    et ne plus avoir ainsi à lutter sans fin contre ces états intérieurs qui nous semblent si compliqués voire dangereux...

peu à peu, on se rend compte qu'ils n'ont rien de dangereux, même s'ils ne sont pas agréables, et que l'on peut tolérer tout ça sans partir en lutte contre eux (avec la nourriture comme anesthésiant)

bienvenue ici en tous cas et merci pour ton témoignage enrichissant

Je suis terriblement touchée par ton témoignage et ta sincérité, et je te remercie beaucoup de parler ainsi sans tabou.

J'ai la grande chose de ne pas être en vrai surpoids, juste quelques kilos de trop, mais par contre, je me reconnais très bien dans ce que tu dis de toi faisant les courses: cette peur de manquer, cette frénésie, cette accumulation de nourriture - et puis (je ne sais pas si c'est pareil pour toi!) une fois que la nourriture est à la maison, cette tentation de la manger envers et contre tout bon sens ("Il faut bien que je finisse ces crèmes au chocolat, sinon elles ne seront plus bonnes et je devrai les jeter" - curieux comme ça me fait moins mal au coeur avec du brocoli...)

Et franchement, à ce niveau-là, lentement (je suis ici depuis 5 mois) mais sûrement, ma façon de percevoir les choses change radicalement. Si tu es à la recherche d'une réconciliation avec la nourriture (et tu en as sûrement besoin, mon pauvre chou, au régime depuis l'âge de 4 ans!), tu vas la trouver. Tu vas apprendre à te réconforter avec très peu de nourriture, mais de façon très efficace. Franchement, sur ce point-là, je suis épatée (avant, je mangeais 100 g de chocolat et je ressentais juste du dégoût et de la culpabilité; maintenant j'arrive à manger 2 carrés et à me sentir tout à fait réconfortée).

Bienvenue et bonne route, Ambre92 (Ambre, un pseudo précieux et mystérieux, chatoyant, qui sent bon l'aventure; je parie que ça en dit long sur toi!)

Pire Courtepatte, c'est mon vrai prénom. On ne peut pas faire plus transparent ;)

Je me reconnais tout à fait quand tu dis qu'une fois la nourriture à la maison il y a cette tentation de manger contre tout bon sens. C'est vrai. Perso, c'est  : "il faut que je goûte à tout". Faim ou pas.. Que je cuisine tout très vite. Tant pis si il y a des restes, ils seront finis mais il me faut de toute manière beaucoup de diversité, beaucoup de goûts, d'épices, de saveurs. Je suis extrêmement gourmande.

Ca s'explique très facilement quand on sait que lorsque j'étais enfant mes repas se composaient de poissons cuits à l'eau, de légumes vapeurs, d'une cuillère à café de vinaigrette, 30 grammes de pain, 20 grammes de fromage et une pomme. Des mois et des mois à ce même régime en remplaçant le poisson par 100g de viande grillé sans matière grasse de temps en temps.

Il était interdit d'avoir à la maison des boissons sucrées, des bonbons ou du chocolat. Et lorsque c'était le cas, c'était jour de fête et comme disait mon père on avait le droit de "déroger" à la règle.

Je sais que je n'étais pas constamment au régime de cette manière, plusieurs mois, régulièrement certes...mais peu importe puisque j'étais tout le temps surveillé. Aux noel, lors de l'apéro, il y avait des petits fours...dès que je dépassais la dose, que j'étais un peu trop goulue...j'avais une reflexion. Devant tout le monde. Il ne fallait jamais abuser, jamais...

Tout ceci est tellement ancré en moi que je l'avoue, je suis inscrite mais je reste sceptique sur ma capacité de changement, pas sur la méthode en elle-même, mais sur son efficacité pour un parcours comme le mien avec mon opération en prime.

En tout cas merci encore pour vos message, ça fait du bien de parler ;-)

[quote=Ambre92]Ca s'explique très facilement quand on sait que lorsque j'étais enfant mes repas se composaient de poissons cuits à l'eau, de légumes vapeurs, d'une cuillère à café de vinaigrette, 30 grammes de pain, 20 grammes de fromage et une pomme. Des mois et des mois à ce même régime en remplaçant le poisson par 100g de viande grillé sans matière grasse de temps en temps.

Il était interdit d'avoir à la maison des boissons sucrées, des bonbons ou du chocolat. Et lorsque c'était le cas, c'était jour de fête et comme disait mon père on avait le droit de "déroger" à la règle.

Je sais que je n'étais pas constamment au régime de cette manière, plusieurs mois, régulièrement certes...mais peu importe puisque j'étais tout le temps surveillé. Aux noel, lors de l'apéro, il y avait des petits fours...dès que je dépassais la dose, que j'étais un peu trop goulue...j'avais une reflexion. Devant tout le monde. Il ne fallait jamais abuser, jamais...[/quote]

Bonjour Ambre,

Il y a une chose qui me frappe dans votre témoignage : où est passé le plaisir de manger ? A-t-il seulement existé un jour pour vous ? Ce programme LC, à mon avis, pourra vous aider à comprendre que manger n'est pas une torture.

La bienveillance que vous trouverez sur ce site vous y aidera, j'en suis sûre. Bonne découverte !

bonjour Ambre,

je veux réagir sur ton dernier commentaire : "je reste sceptique sur ma capacité de changement".

Je n'ai pas eu le même parcours que toi mais j'ai toujours eu une mère obsédée par son poids et encore maintenant à 67ans.

A l'adolescence, je me suis rebellée en mangeant tout, n'importe quoi, n'importe comment. Puis adulte, j'ai commencé à rentrer dans une période plus apaisée avec la nourriture mais mon poids n'était pas terrible, j'ai donc tout misé sur le sport.

Mais maintenant je n'ai plus le temps d'en faire 4h30 par semaine.

J'ai fait très peu de régime restrictif, je savais qu'il ne me conviendrait pas sur le long terme.

J'aime trop manger pour me priver des bonnes choses.

Et puis j'ai découvert linecoaching et moi qui n'aurais jamais imaginé pouvoir sauter un repas, je le fais sans me poser de questions. J'en ressens seulement le besoin.

Alors j'étais sceptique aussi sur ma capacité à changer. Mais au bout de 7 mois, je t'assure que c'est possible et cela sans douleur, simplement pour se sentir bien.

Ce n'est qu'une partie des changements que j'ai pu observée chez moi mais rien que pour ça, je peux t'assurer que la méthode est bonne.

Il faut être patiente et apprendre à s'écouter, les changements viendront...

Bon courage

 

Geisha

Ambre je suis moi aussi touchée par ton témoignage. Je n'ai pas un poids qui m'ai jamais permi de penser à la chirurgie et tant mieux. Mais je dois dire que dans mon esprit je me suis toujours dit que si un jour plus rien ne marchait et que pour x ou y raison je prenais beaucoup de poids je voyais la chirurgie comme ultime solution.

Hélas ton vécu est la preuve que ce n'est pas aussi simple. J'espère que tu trouveras ici des moyens pour ne plus prendre de poids. C'est en tous cas ce que je vis. C'est déjà une grande victoire en soi. Faire la paix. 

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