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L'acceptation de soi : comment faire ?

Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
27 mai 2013 à 07h
Bonjour matinal... Je commence à comprendre, à admettre, à ressentir même que je n'arriverai en effet pas à perdre du poids et à ne pas en reprendre tant que je cherche à perdre du poids, sans passer par l'étape acceptation. Il est vrai que, tant que je cherche à modifier mon corps, j'ai des pensées du type "ce soir, exceptionnellement, j'ai bien le droit à..." qui portent en elle le germe de l'échec, à court terme (ne pas perdre de poids) ou à moyen terme (en reprendre). Je comprends aussi que, si je ne cherche plus à perdre de poids, ET que en même temps j'apprends à respecter mes sensations alimentaires, je ne mangerai plus au delà de ma satiété sous prétexte que "ce soir, c'est autorisé", ou par culpabilité. Je pourrai en effet "simplement" respecter mes sensations. Et donc, curieusement, je perdrai sans doute du poids. Ok, donc je perdrai sans doute du poids si je ne cherche pas à en perdre. Intellectuellement ça n'est pas évident, mais je comprends. Là où je suis perdue : comment fait-on pour arrêter de vouloir quelque chose ? Suffit-il de le décréter ? Ça fait 30 ans, en gros, que je ne m'accepte pas et que je cherche à modifier ce corps. Comment faire, aujourd'hui, pour l'accepter ?? Je veux dire : bien sur que je peux prétendre "ok, c'est cool, je ne cherche pas du tout à perdre de poids, je m'accepte". Mais c'est juste un jeu de cache-cache avec moi-même, dans le fond rien n'a changé... et je cherche toujours à perdre du poids... Comment m'en convaincre ??

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Comme vous, les filles, j'ai vraiment l'impression que la clé est là, dans l'acceptation de soi.

Depuis un moment, je n'arrive plus à faire les exos du parcours alimentaire, qui me provoquent EME sur EME.

Parfois dans la rue, je croise des femmes plus rondes que moi que je trouve tout à fait jolies, ou encore, je regarde tous ces physiques "imparfaits", mais avec beaucoup de bienveillance. Un jour, j'ai vu une femme avec un bon popotin, et j'ai trouvé qu'elle avait beaucoup de charme, alors qu'elle, si ça se trouve, elle complexe à mort sur son derrière. Moi, j'ai vu son ensemble, et je n'ai pas cherché à la juger.

Ca a fait une sorte de déclic en moi: je me suis dit que je devais me voir avec autant de bienveillance. je me suis regardée dans la glace, et j'ai dit "bon ok, je n'aime vraiment pas ce bidon, j'ai à moitié l'air enceinte alors que ce n'est pas le cas", je suis focalisée là dessus, mais si ça se trouve, dans l'ensemble, ce n'est pas si mal: la preuve, mon amoureux a toujours envie de moi, alors que je voudrais parfois me cacher, quel gachis!! ;-)

Et bien, j'ai passé une journée entière à être bienveillante sur mon physique, même à "me la péter" un peu, si, si, trop drôle, j'ai même adopté la démarche mannequin pour aller vider les poubelles, j'étais toute seule, ça me faisait marrer, et je me suis sentie bien, vraiment bien!!

Le lendemain, j'avais perdu 400g!! Je sais, c'est ridicule comme perte, mais j'y crois à ce lâcher prise!

C'est vrai! Imaginons qu'on soit moche, vraiment moche: est-ce qu'on vivra mieux en se pensant moche toute la journée, en n'osant pas lever les yeux parce qu'on est moche, sans sourire à personne, en mode déprimé?  Ou alors, ok, j'accepte d'être moche, mais j'ai quand même le droit de me marrer dans ma vie en faisant abstraction de ça!!

Bon, je sais j'exagère un peu, mais l'idée est là. Perso, je ne suis pas un canon de beauté, mais je suis persuadée qu'être bien dans sa peau, ça donne un charme fou, alors je vais tenter de réitérer le "jeter de poubelle en démarche mannequin", dans d'autres endroits que mon jardin, et on verra ce que ça donne!!!

Ca va être mon prochain exo,car c'est le seul moment de la semaine où je me suis sentie bien, alors que dès que je reprends les exos alimentaires, ça redevient dans le but de mincir, donc d'améliorer ma silhouette que je n'aime pas, et hop, le stresseur poids est de retour, c'est le cercle vicieux, je ne m'en sors pas!!!

Allez, on y croit, vive l'acceptation de soi!!! ;-)

Et bien, quelle découverte, Maggy, cela fait plaisir a lire  et encore plus plaisir d'imaginer comme tu t'apprécies!!

 

Bonne fin de journée, bonne continuation

Merci Karolann. L'EMDR j'en ai fait un peu, sur un autre sujet et j'avais trouvé ça assez bluffant. C'est peut-être une idée, de retourner voir le thérapeute pour bosser sur l'acceptation...

Je veux, je veux, je veux ! À force de le vouloir très fort, cela viendra-t-il ? Mais vouloir, ce n’est pas pouvoir.  J’ai en moi, des désirs, des pensées du genre « je voudrais ceci, cela… », et des pensées comme « il faut absolument que… » et je sais, pour l’avoir appris à mes dépens, que ces pensées me conduisent dans des impasses.  Si de telles pensées prennent possession de moi, c’en est fait de moi. Je serai alors possédé(e) par mes pensées, elles seront moi et je ne serai plus moi. Alors, je les laisse passer, sans lutte, car lutter avec ses pensées, c’est leur conférer de la puissance, c’est finalement être possédées par elles. Mes désirs et mes pensées, que je luette avec eux.

Je vous propose de voir vos pensées automatiques comme des démons du Moyen-âge : les démons sont tentateurs. Ils nous demandent s’ils peuvent entrer en nous, et nous tentent en nous racontant toutes sortes d’histoires. Si nous leur donnons notre accord pour qu’ils entrent en nous, alors ils se substituent à nous et pensent à notre place. Nous sommes possédés par eux.

Nous ne pouvons pas empêcher les démons d’exister et de chercher à nous tenter. Mais nous pouvons les laisser causer dans le vide, du moment que nous les avons identifiés en tant que démons, même s’ils sont cachés derrière des masques enjôleurs. Cause toujours, mon démon, tu es repéré !

 « Je désire maigrir », dites-vous. Plus que tout! Le plus court chemin pour maigrir, c’est de ne pas manger. Ou, un peu moins dur que ça, ne manger que des choses pas nourrissantes. Mais je l’ai déjà emprunté, ce chemin, et je sais qu’il s’agit d’une impasse. Alors, j’y renonce. On me propose maintenant un autre chemin : écouter ses sensations alimentaires dans la bienveillance. Il me semble que ce n’est pas une ligne droite, ça, comme chemin. C’est un chemin qui tournicote, qui monte, qui descend. Et même, par moments, j’ai le sentiment que de chemin m’éloigne de mon but. Mais peut-être ce chemin, après tous ces détours, débouche-t-il finalement sur quelque chose ? Suis-je prêt à prendre ce risque-là, à jouer ce jeu-là ? Si oui, alors, tournons le dos à la ligne droite et engageons-nous sur ce chemin de terre. En route pour l'aventure.

Merci à toutes du fond du coeur, j'aodre ce forum...

Capuccino, merci pour ce très beau témoignage, très encourageant. Je note en particulier :  "L'acceptation, c'est un deuil à faire, c'est le deuil de ses illusions. C'est se retrouver face à soi, face aux autres tel que l'on est vraiment là aujourd'hui. C'est arrêter de croire que notre bonheur est lié à notre poids. C'est accepter d'admettre qu'on s'est trompée tout au long de ces années, qu'on a courru après des chimères.  C'est arrêter d'attendre pour vivre. C'est oser vivre là, tout de suite avec ce que l'on a, avec ce que l'on est..."

 

Ariane Nounette : c'est très marrant, ce que tu écris. Parce que c'était ce que je me disais pas plus tard que ce matin (devant mon grille-pain...).

Je pensais effectivement à cette phrase "pour trouver l'amour, il ne faut pas le chercher"... Et je me disais que je suis en train de tricher : j'essaie de prétendre ne pas vouloir perdre de poids... dans l'objectif de perdre (magiquement, sans doute !) du poids... ce qui évidemment est la négation du début de la phrase !

 

J'entends bien vos réponses, sur le centrage sur "ici et maintenant". Complètement d'accord, et ça va avec le besoin de me poser, de souffler, de lâcher-prise... Laureline, au passage : oui, je souscris à 100% au fait que pour une fois, je n'ai pas envie d'aller vite dans une démarche. Ca traine un peu, c'est pas grave !

 

Je sens bien que + de sport, et la PC, tout ça va m'aider lentement à être plus connectée à mon corps. Lorraine, le retour au corps, tu as raison, bien sûr.

J'ai tellement d'années de coupure entre mon corps et ma tête, comme si mon cerveau était une sorte d'entité vaporeuse planant au dessus de ce corps encombrant... Dans une séance de PC récente, j'en avais les larmes aux yeux, de penser à tous les mauvais traitements que j'ai infligé à ce corps... alors que c'est le mien, que je n'en ai qu'un...

La sortie de la restriction est bien moins simple qu'il n'y paraît, enfin pour moi. Comme d'habitude, ma tête a tout compris et pense qu'il suffit de comprendre pour appliquer ! Eh bien non... Dans le fond, j'intellectualise toujours ce que je mange, je n'arrive pas à faire confiance à mes sensations (que je sens à peine... car déconnexion tête / corps), et je décide, avec ma tête, de manger ou pas.

Bien sûr, il faut persévérer. Je vais lire les références que vous me donnez.

Karolann, est-ce que quelque chose t'a aidée dans cette acceptation ?

Bonne journée à toutes !

Ce qui m'a aidé c'est un travail avec un thérapeute (technique EMDR)...

Aussi se reconnecter corps-esprit , le plus souvent "l'esprit mouline à vide"

ex: ce soir je mange tout ce que j'aime car demain je commence un nouveau régime et si je m'y tiens bien je vais perdre 500g par semaine donc en X semaines je serais à mon poids idéal mais si je limite un peu plus je vais perdre 700g/semaine et... tout en se baffrant car demain j'arrête et je fais la dernière débilité vue dans les bouquins de régime  et le lendemain vers 18h je craque alors c'est reparti en se disant allez demain et voilà comment on peut reprendre 20kg en très peu de temps... J'ai fait cela chaque jour pendant des mois, des années et des années et je me suis retrouvée avec un poids à  3 chiffres en me disant tous les jours : DEMAIN en essayant tous les régimes en perdant du poids avec reprise toujours supérieure...et moral toujours plus bas... perte de l'estime de soi... honte de soi...culpabilité...

c'est avec notre propre esprit que nous nous leurrons le plus...

Karolann

Mon expérience est un peu contraire...

Depuis le début de l'année j'ai fait un travail d'acceptation de moi au poids où j'étais qui ne me convenait pas du tout... et à partir de ce moment là j'ai commencé à perdre du poids... alors qu'avant j'étais dans la luttte avec moi-même l'hyper contrôle permanent... avec le cycle infernal (écarts->restriction plus forte pour me punir d'avoir fait des écarts->puis ne pouvant pas tenir->méga bouffe-méga culpabilité et détestation de soi)... plus de 30 ans comme ça j'étais totalement épuisée et en surpoids...

Aujourd'hui je ne me fixe plus d'objectif ni de perte de poids ni de poids idéal, j'accepte jour après jour et quand je ne perdrais plus de poids cela sera ok, parce que je ne veux plus vivre dans l'obsession de la bouffe et du poids parce que ce n'est pas une vie c'est un enfer.

Je suis beaucoup plus sereine en accord avec moi et ça c'est le plus important....

Karolann

 

 

Merci Mavo d'avoir posé cette question : comment accepter son corps ? Je me la pose aussi. J'aime beaucoup les réponses, et surtout la tienne Ariane Nounette (qui a réussi à m'arracher un rire après une journée grinçage-de-dents !).

LC, c'est une des rares approches que j'ai rencontrées où je me dis que le temps va être bénéfique : plus ça va et plus ça s'enrichit. C'est pas comme les régimes où chaque jour était une éternité pénible, et où j'avais hâte de passer à autre chose. 

Je crois que nous pouvons avoir confiance dans le fait que cette acceptation va gagner du terrain jour après jour ! Et pourquoi ? Parce que le travail sur les sensations alimentaires permet un dialogue avec ton corps qui t'aide à mieux le connaître petit à petit. C'est pas une acceptation a priori, pas un concept ; ce sont toutes les petites expériences qui y amènent. C'est une acceptation qui vient de petits "raccordements" quotidiens. Je trouve que le body scan y contribue aussi, et le sport, la rpc, les étirements ou la marche en pleine conscience...

En fait plus ça va et mieux je comprends les personnes qui disent qu'elles considèrent que la perte de poids sera au final secondaire au principal : le bien être, le mieux s'aimer... Avant je ne les croyais pas vraiment, et je ne me voyais pas lacher l'objectif poids. Ca bouge doucement...

Bonsoir,

je suis dans une interrogation similaire, Mavo.

Je vois d'autres LCoachées perdre kg après kg, je suis un peu crispée de voir que je ne décroche pas. Ok, ça ne fait pas longtemps que je suis là et mon 1er bilan indiquait que j'allais d'abord me stabiliser avant de perdre du poids.

N'empêche, en écoutant ma faim et pas les logiques d'horaires et d'équilibre nutritionnel (3 repas par jour, tous les groupes d'aliments, 5 fruits et légumes, etc.) je mange nettement moins qu'avant. Je pensais que j'allais naturellement et doucement perdre du poids.

Erreur. Rien du tout. J'ai posé la question à la coach, qui m'a expliqué (je schématise) que c'était un changement de mode de vie et m'a conseillé d'espacer les pesées. Mais je ne me pèse pas souvent ... seulement je m'habille tous les jours, et le pantalon est aussi rempli que le mois précédent.

L'idée que mon poids actuel, qui est le plus haut que j'aie jamais atteint sans être enceinte, puisse être mon setpoint me plonge dans des abîmes d'angoisse et de détresse. Rien que de l'écrire je me sens oppressée. Et révoltée. C'est pas juste. Pourquoi ? J'ai des pbs de thyroïde, ok, j'ai fait des régimes, ok, mais quand même ? j'avais bien réussi à stabiliser à 12kgs de moins avant ma première grossesse ...

Et je ne suis pas du tout prête à entendre parler d'acceptation de moi telle que je suis aujourd'hui. J'ai des amies très minces, un compagnon qui n'est pas fan des femmes trop rondes ...

Alors faire le deuil de mon désir de maigrir, là tout de suite avec les ressources intérieures dont je dispose ... je ne vois pas du tout comment, et pour être honnête je n'ai pas envie d'y penser. Je veux bien renoncer à revenir au poids d'avant mes grossesses, mais garder cette bouée sur le ventre je ne suis pas prête à l'envisager.

 

Une fois que j'ai dit ça et que tout le monde a compris que je suis en panique totale wink

je vais te dire que je n'aborde pas les choses comme tu le fais.

 

Tu veux perdre du poids c'est pour ça que tu es là. Bien, c'est légitime. Je peux comprendre, j'ai fait pareil.

Ce n'est pas parce que tu vas cesser de vouloir en perdre que tu vas en perdre. C'est un peu de l'ordre de la pensée magique ça.

(Ca me fait penser aux célibataires à qui on explique qu'elles trouveront l'amour au moment où elles ne s'y attendent pas, genre, quand tu crèves de solitude tu as un jour de distraction et paf ! l'amour ... ou aux femmes qui veulent tomber enceintes et à qui on dit, tu y penses trop ça arrivera quand tu arrêteras d'y penser - genre, on y pense le matin le midi le soir à chaque fois qu'on voit une publicité familiale, qu'on croise une femme enceinte ou une poussette mais faut se dominer pour arrêter d'y penser parce que c'est ça qui bloque ?)

 

Et donc ...

Tu peux continuer à  y penser.

Voilà, j'espère que je t'ai libérée !! smiley

(je rigole toute seule)

Sérieusement, le fait que tu y penses ou pas n'a pas d'impact en soi. Centrer ton énergie pour ne pas le vouloir serait une forme de contrôle et de restriction, et même une négation de toi. (Dis toi que si pour commencer à t'accepter tu te mets à rejeter une partie de tes pensées et de tes désirs, ça paraît mal barré cheeky)

Comme le pointe Izabelle, la démarche c'est de te concentrer sur d'autres sujets, de découvrir l'ici et maintenant, d'apprendre à vivre l'instant présent, de trouver d'autres réponses aux émotions, de te reconnecter à toi-même, à tes sensations etc. En plus ça peut prendre plein de place dans ta tête, et te faire oublier que, au fait, tu voudrais bien perdre une ou deux tailles.

Et si ce sujet-là te tient à coeur eh bien sois indulgente et bienveillante avec toi-même, pas de raison de te censurer. Accueille cette pensée, ce souhait comme une partie de toi (plus tu vas lutter plus ça va revenir), ici et maintenant, on verra bien de quoi demain sera fait.

Dit la nana qui pour l'instant a un peu du mal à se concentrer sur l'ici et maintenant (dites moi que je vais être moins serrée dans mon pantalon le mois prochain)  ... ça ne m'empêche pas de suivre le programme très consciencieusement. Avec encore des progrès à faire sur plein de sujets, hein, ça c'est la bonne nouvelle. Et un rapport à la nourriture déjà plus détendu, ça c'est l'autre bonne nouvelle ...  Comme disait Snoopy, le pire n'est jamais certain et on n'est pas à l'abri d'un coup de bol !

Pardon message un peu décousu mais il est tard ! Bon courage à toi je ne sais pas si je t'ai éclairée avec mes divagations, en substance : c'est pas grave d'y penser. Tu vas apprendre à penser à toi, aussi, autrement ...

[quote=Ariane Nounette]

Je vois d'autres LCoachées perdre kg après kg, je suis un peu crispée de voir que je ne décroche pas. Ok, ça ne fait pas longtemps que je suis là et mon 1er bilan indiquait que j'allais d'abord me stabiliser avant de perdre du poids.

[/quote]

Effectivement, on peut commencer  à perdre du poids de suite ou pas, ça dépend de l'histoire que l'on a vécu avec son corps. Ca dépend si on est beaucoup sujet aux EME. Et il peut y avoir des phases de plateau, de stabilisation plus ou moins longues. Elles sont importantes à vivre car ça permet au corps d'intégrer le fait qu'on ne tente pas de le priver.

J'ai perdu 5 kg en 6 mois, puis après j'ai mis la méthode entre parenthèse car d'autres soucis plus importants à gérer m'attendaient. J'en ai repris un assez rapidement puis mon poids s'est stabilisé bien que je ne suive plus la méthode. Ceci dit, je continuais d'essayer d'appliquer les principes de base, plus ou moins parfaitement. Le poids n'a pas bougé jusqu'à ce que je me réinscrive pour continuer, aujourd'hui ça repart mais tout doucement.

Un an après le début, je ne vois pas la perte de poids comme l'objectif numéro 1. Juste agir différemment, sortir des diktact "il faut faire X repas par jour, il faut manger ceci celà..." et essayer de s'écouter me parait plus important.