Les goûts et les envies changent avec la dégustation ?
Depuis le début de LC, je reprends goût à cuisiner et surtout à déguster certains aliments. Je me suis aperçue que certains aliments qui était tabous pour moi ne le sont plus aujourd'hui, enfin beaucoup moins.
Comme par exemple, les barres mars. J'en ai acheté l'autre jour pour faire une recette de riz au lait au mars (oui une envie comme ça) et comme il en restait en trop dans le paquet, je les aient donc gentiment rangées dans le placard.
Je me rends compte aujourd'hui que je n'y ai pas touché. J'ai essayé l'autre jour d'en prendre une mais la dégustation des ces barres ne m'a pas plus, je les trouvent trop sucrés en goût. Je me dis qu'auparavant j'en mangeais pourtant facilement et même plusieurs d'affilé ; je crois que je ne faisais même pas attention à leur goût.
De même je me surprends aujourd'hui à avoir une marque de beurre préféré (avant pour moi du beurre était du beurre point barre) car à la dégustation de mes tartines le matin je préfère tel ou tel beurre avec tel ou tel pain (oui le pain-beurre est mon péché mignon :)).
Et vous, avez-vous vous aussi ressenti une différence dans le fait d'apprécier ou de ne plus apprécier certains aliments une fois dégustés avec attention ?
PS : Je n'ai pas trouvé mieux comme titre pour essayer d'exprimer cette question qui me triture les neurones :).
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Bien d'accord avec ça, l'autre jour je mangeais une barre de Lion, je trouvais ça tellement sucré, bof... Avant c'était ma barre préférée. Idem pour les kinders des enfants : c'est très très très sucré!
Comme Liegama, je préfère de loin les préparations maison, on sent le vrai goût des ingrédients, les oeufs par exemple. Allez, aujourd'hui, atelier cuisine avec mon fils! On va faire des speculoos.
Mes goûts changent aussi. Le chocolat reste pour moi un aliment que je savoure mais je n'aime que les chocolats très fort en goût, plus les kinder que je trouve trop lacté. De manière générale, je préfère manger épicé alors qu'avant j'aimais mettre de la crème partout. J'ai parfois une grande envie d'un fruit en particulier (par exemple l'ananas) alors qu'avant, je n'avais jamais envie de fruits.
Chouette si c'est un signe positif !!!

Dans un registre salé, avant je suivais la méthode Montign*c, et de ce fait j'avais introduit les lentilles vertes dans mon alimentation. Je précise que je n'avais pas du tout l'habitude d'en manger.
Je les ai donc accomodées de multiples façons, et pas une semaine ne se passait sans que j'en mange.
Après avoir commencé LC, j'ai refais un plat de lentilles, que j'ai mangées avec faim, lentement, et ... je n'ai plus trop aimé ça ... Ca m'a interpellée, et la conclusion que j'ai tirée c'est qu'avant, je me dépêchais de les avaler et ne sentais pas leur goût ...
A défaut d'une nouvelle recette qui m'attire, je ne suis pas prête d'en cuisiner à nouveau ;-)
Par contre, je n'ai jamais eu un goût immodéré pour les pommes-de-terre. Donc ne plus en manger avec la méthode Montign*ac ne me pesait pas outre mesure.
Depuis LC, j'ai redécouvert ce féculent, et j'A-D-O-R-E!
Bref ... je réponds oui à la question du post!
exactement l'inverse de toi, Savi, pour moi les lentilles c'était un plat plutôt ennuyeux, genre de "devoir" (surtout que je suis végé, alors les lentilles c'est un peu notre viande, faut pas oublier d'en manger.... ça me barbe)
et puis un jour j'ai goûté les lentilles que je faisais à ma fille et puis en fait j'ai adoré..... comme je les cuisine moi, pas celles en boite bien entendu
c'est vrai qu'on peut avoir de belles surprises
même d'un jour à l'autre, nos goûts changent en fonction de ce qu'on a besoin
pour moi surtout choc noir ou au lait, je n'ai pas toujours la même envie et un choc que je trouve bon un jour me semblera quelconque le lendemain parce que je n'ai pas besoin de ce qu'il contient
c'est fascinant le goût
Bon et bien je ne suis pas la seule dont les goûts changent :)
Sur le chocolat, même chose; avant j'étais plus adepte de chocolat lait noisette et autre mets trés sucrés, aujourdhui je redécouvre le plaisir du chocolat noir. Bon pour le coup mon tiroir est plein de sortes différentes de chocolat noir mais selon les humeurs et les envies j'aime déguster tel ou tel chocolat (j'ai un faible pour celui à la pointe de sel et celui avec des éclats de framboises).
Pareil pour les céréales en tout genre que ma diététicienne me conseillait de manger (pas de pomme de terre selon elle ni de jambon ni de choux -> régime pratique quand on vit en Bretagne en plus :)). Bref, désormais je n'y touche plus, non je n'aime pas le boulgour et je n'ai pas envie d'en manger ! :).
Tout ça pour dire que ça fait du bien (et en même temps je trouve ça assez perturbant) d'affiner ses goûts !
Je suis d'accord avec vous.
Moi c'etait les cookies granolat, je n'ausais même plus en acheter, car je mageais le paquet en une fois.
Puis avec la dégustation j'en mangeais 4 si j'avais faim et seulement 2 si c'était une envie sans faim.
Et bien maitenant je trouve que c'est des gateaux sans saveur juste avec un goût trop sucré, écoeurant.
Ca m'a fait la même chose avec les kinder délice. Avant je me faisais violence pour ne pas en acheter, car tabou, maitenant je n'en ai pas envie. Je l'ai trouve sans intérêt gustatif.
oh que oui les goûts changent ! et je dirai même qu'ils se consolident "en mieux". par exemple, avec la dégustation sur 4 jours du Gruyère, je l'aime toujours autant mais j'en mange nettement moins et avec plus de satisfaction.
je ne mange plus ce que je "croyais" aimer (mais en fait c'était des aliments régime) , c'-est-à-dire le fromage blanc beurkkk !!! la viande séchée, les yaourts et autres préparations à zéro, les surimis, berk, berk.....en fait, je pense que vous avez deviné que je mangeais ces choses en suivant le régime d'un certain D*k*n !!
j'ai redécouvert les fruits et généralement tous les aliments que j'achète sont de première qualité.
je suis devenue une mangeuse difficile au restaurant. je suis très critique. par exemple, vendredi soir, je me réjouissais de découvrir un resto dont on m'avait dit que du bien. et j'ai été très déçue surtout par le foie gras qui n'avait le goût de rien (malgré ma grande concentration à sa dégustation)