Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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merci beaucoup Izabelle , j'ai bien détecté ça , qu'il enfouissait son émotion à lui et cela "le dérange" que moi je n'arrive pas à faire pareille mais de toutes façon je ne peux pas et j'en ai pas envie ! être moi même oui, bien sur et j'essaie de plus en plus mais je t'assure c'est dur parce que je me prend des "coups" c'est la raison pour laquelle quand je me sens pas capable d'en recevoir et bien je ne dis rien
j'ai déjà fais mais alors c'est incroyablement douloureux parce que plus on s'ouvre et plus ça fait mal , ensuite je comprends bien le pourquoi de son malaise, de son refus et de ses réactions mais n'empêche que moi je me retrouve en petits morceaux et qu'il faut reconstruire encore et encore pour être debout !
l'autre jour quand j'étais mal il m'a dis :" va voir Chandra ou va voir intel " mais pas parle, dis moi , ça il ne peut pas, me renvoyer à moi-même ou me diriger vers une autre personne , il se débarrasse du problème et en quelque sorte retrouve sa paix à lui ou son semblant de paix !mettre la poussière sous le tapis c'est plus confortable et on a l'impression qu'il n'y plus de poussière !on se frotte les mains en quelque sorte !
Chandra est un prof de yoga, je suis allée à ses cours durant 2 ans 1/2 mais je ne pouvais plus supporter son discours "spirituel" et surtout, pour moi, très culpabilisant genre si t'es mal c'est de ta faute ! un peu le discours de mon mari rude et raide avec un joli sourire , mon mari continue avec lui et ça lui va très bien ,
pas facile à vivre mais être de plus en plus moi même je le fais et il y a des avancés , des petites choses qui bougent lentement mais qui bouge et me font comprendre quand je suis dans le juste ou pas , anecdote , l'autre jour une souris se balade dans la maison , elle se cache, sort la nuit et grignote tout ce qui lui fait envie ! je planque tout au maxi et comme je connais "ses goûts" je n'avais pas caché des avocats dans une coupe , elle n'y touche jamais et là , il n'y avait que ça à se mettre sous la dent donc elle à attaqué ! le matin je dis :"zut" elle à grignoté un avocat ! réponse du Monsieur :" à ça je m'en doutais !" avant j'aurais rien dit , d'ailleurs c'est souvent sa réaction ! je m'en doutais ! je lui dis alors si tu t'en doutais pourquoi n'avoir pas agit préventivement ?
t'as rien fais alors ne dis rein après c'est absurde , du coup le soir il a fait le tour lui aussi pour tout planquer avant il m'aurait envoyé bouler et fait la tête pour ces paroles
donc ça avance mais quelle patience et quel travail!
Fred, tu m'as fait rire parce que je me pose souvent ce genre de questions et j'ai un mal fou à me décider tellement je triture les choses dans tous les sens. Mais si on se dit qu'on a le droit de se tromper et de prendre son temps pour prendre une décision importante, ça va mieux.
J'ai un ami qui disait "des fois il vaut mieux prendre une mauvaise décision que pas du tout." A voir quand tu prends la décision, qu'est-ce que ça fait si c'est la mauvaise, si tu peux corriger ton erreur, ce n'est pas grave. Peut-être que tu vas pas faire le truc le plus urgent en premier, mais si après, tu t'en rends compte et tu le fais quand-même c'est pas grave.
Après la question ça peut être: qu'est-ce que j'ai envie de faire? Qu'est-ce qui va nourrir une de mes valeurs à ce moment-là? Parce que les "il faut", "je dois" on a pas trop envie de les faire, mais des fois si ça vient nourrir une valeur ou un besoin, ça motive. Comme moi, ces derniers jours, je me suis collée à mes papiers, c'est pénible, mais c'est important si je veux toucher des sous!;) Ou alors avec l'"ami" avec qui je me suis disputée, je déteste, mais je tenais à me défendre. cela nourrit mon besoin de justice et d'affirmation.
Je ne sais pas si je suis bien claire, en tout je m'éclaircis moi-même en l'écrivant. Lol
Mon inconfort, c'est toujours le coup vache. Je continue à fulminer, ruminer, l'injurier dans ma tête. J'ai travaillé pendant 3 ans avec cette personne, qui a eu ce travail grâce à moi, on s'est bien entendu, cela fait 23 ans à peu près que je la connais, mais pas de manière intime, il est vrai. Je ne comprends pas son comportement,c 'est ça qui me choque. Et c'est un gros macho, et il faut bien dire je déteste les machos. Je me suis sentie attaquée en temps que femme. Il voulait un bouc-émissaire et comme je suis douce et gentille, il ne s'attendait pas à ce que je le rembarre. Du coup, il n'a pas supporté que je ne sois pas douce. Lol
Il est de la mauvaise foi la plus totale, il fait un coup vraiment tordu et après il m'accuse alors que je n'ai rien fait. C'est pathologique.Ma mère m'a mis le doigt sur le fait que c'est quelqu'un qui est fragile psychologiquement (mis à la retraite anticipée à cause de ses problèmes psy) et avec les attentats, à tous les coups, il a pété les plombs. Je comprends le pourquoi mais je suis quand même en colère et je ne comprends pas pourquoi. Je pardonne à mon ex qui a des troubles psy ce qu'il a fait (mille fois pire), mais ce copain qui fait exactement pareil, avec qui j'ai senti la projection et l'essai de manipulation mentale, je ne l'accepte pas et je n'ai pas envie de lui pardonner. Je ne comprends pas pourquoi cela me blesse autant alors que cette personne en elle-même m'indiffère et que j'ai bien vu que c'était pathologique. Quelque part, cela me fait peur, qu'on puisse connaître quelqu'un depuis aussi longtemps et de se rendre compte qu'elle n'est pas comme on croyait, qu'elle a une face hideuse cachée, cela m'insécurise je crois.
Et ce qui me trouble, c'est qu'il m'a renvoyé en miroir exactement les mots que je pensais de lui et de ce qu'il a fait, c'est étrange ce phénomène psychique (culpabilité inconsciente?), c'est un peu comme si il me volait mes mots, ma colère. Je ne peux pas avoir raison face à lui vu qu'il est en délire. Au moins, je peux me mettre à l'écoute de ce que moi je ressens.
Mais j'ai bien conscience que je réagis trop violemment face à ses situations, je les prends trop à coeur, comme je suis traumatisée. Je manque effectivement de douceur, avec un peu plus de doigté et de savoir-faire pour esquiver, ne pas rentré dans son jeu pervers, j'aurais pu éviter que cela s'envenime à ce point. Constater ma rudesse, cela fait aussi partie de mon inconfort.
Désolée pour ce pavé! Au plaisir de vous lire.
Salut tout le monde, mon inconfort depuis hier soir: être coupée du monde... c'est comme si on me retirait une partie de moi!!!! (oui ma valeur partage, connexion aux autres...)
depuis hier, plus de tel, plus d'internet... grrrrrr ça y est c'est revenu, mais je me suis sentie crispée, agitée... impuissante...
Là j'ai commeun soulagement, le type du 1014 m'a conseillé deéteindre et de rallumer la box et hop ça remarche!!!! loooool
comment JE faisais avant???? loooooolllllll du coup là j'ai de la lecture!!!!
et merci Izabelle pour ta réponse, là encore ce n'ets pas de ma faute!!!!
vraiment très mal , sauf en salle de sport ce matin un cours d'abdos et fessiers très intense mais tellement bon , on en sort "cassés" mais ça fait du bien , je retourne en soirée pour un body pump et ça va aussi déménager ! ce sont les seuls moments ou je me sens vivante , autrement je plonge dans la dépression , gout à rien larmes et les idées en vracs que je n'arrive plus à rassembler mes actes ni mes pensées, je fais une chose et oublie , je vais ailleurs faire autre chose et reveins dans la pièce ou j'étais et constate que j'ai laisser en plan une activité! ce soir j'ai répététion de théâtre et ne retient rien du texte que je lis , depuis une semaine je suis toute déboussolée et ça me fait un peu peur
je ne sais pas quoi faire pour me sortir de ça , je me sens très seule avec ça !il faudrait que je sois toujours avec du monde autour, que je puisse parler mais là je suis seule et si je sors "en ville" et bien je culpabilise parec qu'il y a du travail à la maison et je dois le faire
je pense que je lutte contre cet état de déstabilisation mais je devrai plutôt le regarder et le laisser passer comme au bord d'une rivière en crue et voir les tourbillons furieux que cela provoque , mais si je pense à ça j'ai envie de me jeter dans le tourbillon et j'ai peur de ces pensées parce que je les ai déjà eu à une sale époque et que je n'osais même pas traverser un pont toute seule tant j'avais peur de me jeter du pont !je dois me resaisir mais là je ne sais plus comment
Bonjour Yoyo,
je pense à toi.
Le sport te fait du bien car il secrète des éléments qui justement font du bien. Tu peux essayer d'en faire une séance chaque jour pendant un moment.
Il faut que tu arrives à te dire que tu prend soin de toi, de ta santé en faisant du sport,
C'est comme dans une entreprise, si le salarié est malade, parfois une dépression,, un grippe...etc, le travail reste là ou est confié momentanément à d'autres pendant son absence. la priorité semble être de te soigner.
Avec le sport, tu évacues une partie du stress mais ce n'est pas suffisant.
Il faudrait aussi que tu trouve un lieu ou une personne qui te permette d'évacuer cette souffrance, cette tristesse. Cela devrait être une personne qui sait écouter, même un professionnel comme un psy. Courage!
merci Colombie , oui je vais chaque jour en salle et aujourd'hui m^eme 2 fois pour des cours très intenses , je fais attention effectivementfais attention à mon alimenation et à mes gestes , ne pas me faire mal est ma priorité et être en bonne santé physique pour pouvoir continuer cet entrainement assez intensif , c'est ma survie !
parler bien sur mais mais en plus j'accompagne une personne qui est au bout du rouleau après une vie terrible perte de 2 enfants de 2 maris et maintenant à 84 ans seule et délaissée
c'est dur mais l'air de rien cela nous aide toutes les 2 je la comprend au delà des mots
ensuite je voudrai trouver une oreille effectivement parce que je connais mon point faible , alors je me cramponne mais c'est fragile et difficile
merci de tous vos bonnes pensées elles sont réconfortantes
Yoyo 32
Peut être essayer des phrases positives qui te réconforteraient ou des mots : remplacer tristesse par joie, peur par confiance,
Mes pensées de réconfort t'accompagnent.
Bonsoir,
je viens un peu me "vider" ici au lieu de me remplir l'estomac... le vendredi soir, ce moment toujours tant attendu mais souvent celui du relachement de la semaine. J'ai mal au dos, je suis fatiguée. J'ai envie de regarder quelque chose de distrayant mais je ne trouve rien. Je me dis qu'il faudrait que je bouquine, je n'ai envie de rien... Je suis juste fatiguée et mes pensées, mes émotions sont confuses. C'est un état de vulnérabilité ou j'ai du mal à discerner les choses, le moment ou je peux vite glisser vers le palcard, le moment où il faut du courage, une prise de conscience.
Coup de blues, solitude, fatigue, ennui mêlés... accepter, se dire que demain, ca ira mieux.
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[quote=FRED73]Comment savoir quoi faire ? Je m'explique entre les "je dois",les "il faudrait "et les "j'ai envie " mais surtout les "j'ai pas envie" que faire ? Je me pose cette question tout le temps quand j'ai un moment de libre. Et vous comment faites-vous ?[/quote]
moi c'est simple, je ne fonctionne plus que quasiment au "j'ai envie"
ça doit être pour ça que mon potager est envahi par les ronces, car j'ai plus envie d'aller jouer de la zik avec mes amis que de débroussailler...
eh bien ce matin, voilà que j'ai envie de débrousailler, car j'ai envie que mon potager ne soit plus un no man's land, qu'il soit joli, de pouvoir continuer à cueillir les groseilles et les raisins....
ensuite pour le boulot c'est différent, il y a effectivement des choses que l'on "doit" faire
mais j'ai la chance d'avoir des choses à faire parfois compliquées, mais en définitive stimulantes