Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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bien sûr, mais en prenant conscience que c'est difficile pour nous, on devient mieux à même d'y faire face je trouve
c'est à dire que tant que je me culpabilisais de ne pas être plus souple sur mon emploi du temps, je mangeais à peu près deux fois plus sur ce genre de truc
mais il se trouve que j'ai un métier où l'emploi du temps change beaucoup et je ne peux rien y faire, je n'ai pas des horaires de bureau (et qq part tant mieux)
ce nest que récemment que j'ai compris à quel point cette imprévisibilité était dure pour moi, et depuis que je l'ai compris et accepté, j'arrive beaucoup à m'adapter, et surtout sans manger
car je m'accorde le droit de ne pas être à l'aise avec ça, et de ne pas me fustiger
au contraire, je prends conscience que ce n'est pas évident pour moi
alors je suis armée pour les multiples changements de planning
encore une fois, c'est la "conscience" du ressenti qui permet d'acquérir une certaine liberté
Je suis entièrement d'accord avec toi, Izabelle, la conscience du ressenti est importante, tout aussi importante que la compréhension et l'acceptation de la situation qui te mettait dans un état d'EME. Ce n'est qu'à partir de ce moment que l'on peut arriver à s'adapter, c'est à dire que le changement peut avoir lieu.
Bonne soirée à toi.
merci, je le travaille aussi beaucoup avec ma fille, qui commence à beaucoup se stresser avant d'aller à l'école, à cause de l'imprévu
ce matin, je lui ai mimé ça avec des marionnettes et j'ai dédramatisé ce besoin de prévoir, ce qui a permis qu'elle arrête de stresser et qu'elle accepte simplement que ce n'était pas confortable pour elle mais que ce n'était pas non plus insurmontable
que j'aurais aimé pouvoir le savoir à son âge..... j'étais en pleine inconscience de tout ceci
mon inconfort, je viens d'envoyer à une collègue un texto pour mon travail, ( c'est une collègue gentille avec moi)
et depuis 50 mn je sens une grosse angoisse qui monte, et les autos commentaires qui vont avec
je commence à me sentir mal.
Alors là Izabelle ton commentaire sur les fluctuations d'agenda et la faim qui risque de poindre et de l'inquiétude que ça peut engendrer.
Justement mon inconfort du moment, c la quasi angoisse à l'idée d'avoir très très très trop trop cro cro cro faim en quittant le bureau et d'avoir à faire mes p'tits 8 kms pour retrouver une amie, et avec qui je vais rester encore 1 - 2 heures et ensuite re-rentrer en vélo...SANS MANGER.
En l'écrivant, je réalise bien que c'est ffou de raisonner ainsi : que j'ai des réserves, qu'y a des boulangeries sur le trajet, que mon amie ne me laisserait pas tomber dans les pommes ... mais voilà, au lieu d'accueillir le ressenti, j'suis en intellectualisation d'un simple ressenti, mpffff
Bon en tout cas, ça va bien mieux en le disant.
mon inconfort, une sorte de distraction triste, surtout depuis mon appel à une collègue( hier soir ), elle était assez courtoise, mais immédiatement , j'ai commencée à me sentir angoissée, c'est remonté immédiatement à la surface, mon ami a été témoin de mon changement d'attitude, il s'en est inquiété,
j'ai décidé d'aller nager un peu à midi, une copine devait venir elle ne viendra pas, c'est la deuxième fois qu'elle se désiste, j'en suis un peu agacée,
ce qui m'ennuie un peu c'est que ça tombe pile poil au moment du repas, et comme je vais faire un peu de sauna, je suis déjà en plein auto commentaires,et si je fais une hypo, et si je ne m'hydraté pas assez, ce qui m'énerve ce sont ces foutus auto comm, ha la vie serait tellement plus belle sans eux,
donc pour calmer un peu le feux roulant de mon cerveau , je viens de faire 20mn de body scan
je suis légèrement apaisée, mais pas comme je le souhaiterais .
mon inconfort: l'impression d'être une cocotte minute. Je me suis bloquée sans savoir pourquoi, et du coup je contiens tout, je n'arrive pas à me lâcher. Je n'arrive pas à prendre du temps pour moi, à me faire plaisir. Je suis incapable de broder ou de coudre (activités qui me font du bien pourtant), de prendre rendez-vous chez le coiffeur (pourtant là ça devient urgent), d'aller faire du shopping.
Ca finira bien par passer je suppose, mais c'est très inconfortable
mon inconfort: l'impression d'être une cocotte minute. Je me suis bloquée sans savoir pourquoi, et du coup je contiens tout, je n'arrive pas à me lâcher. Je n'arrive pas à prendre du temps pour moi, à me faire plaisir. Je suis incapable de broder ou de coudre (activités qui me font du bien pourtant), de prendre rendez-vous chez le coiffeur (pourtant là ça devient urgent), d'aller faire du shopping.
Ca finira bien par passer je suppose, mais c'est très inconfortable
mon inconfort: l'impression d'être une cocotte minute. Je me suis bloquée sans savoir pourquoi, et du coup je contiens tout, je n'arrive pas à me lâcher. Je n'arrive pas à prendre du temps pour moi, à me faire plaisir. Je suis incapable de broder ou de coudre (activités qui me font du bien pourtant), de prendre rendez-vous chez le coiffeur (pourtant là ça devient urgent), d'aller faire du shopping.
Ca finira bien par passer je suppose, mais c'est très inconfortable
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Lideseyne, tu es une sage! C'est encore un problème pour moi,ça, comme pour Izabelle: arriver à accepter l'imprévu, les bouleversements de dernière minute, l'emploi du temps qui se charge alors que c'était déjà bien suffisant à mon goût...
Mon inconfort du moment, n'est pas de cet ordre là pourtant. 8 jours de toux, un épuisement qui me gagne après des nuits complètement hachées, un traitement qui vient d'être changé (pourvu que ça marche, ce coup ci)... et l'impression que la semaine va être dire à traverser.