Aller au contenu principal
Accueil forum       Retour à liste des sujets

Il manque quelque chose mais quoi?

Maigrir sans régimes : La méthode Linecoaching La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
27 déc 2011 à 10h

Bonjour chers experts, chers Linecoachingniens,

Tous les soirs (et parfois aux autres repas aussi), je finis mon repas, je n'ai plus faim, mais il manque quelque chose..... mais le soucis c'est que je ne sais pas quoi! et je reste sur une note négative. une frustration.

Cette idée qu'il manque un aliment à mon repas, sans savoir lequel m'obsède jusqu'à ce que je mange un truc, qui ne répond pas à mon besoin, puisque je n'arrive pas à le trouver.

Comment c'est possible?

En ce moment, j'ai besoin de pain/ beurre salé. je suppose que c'est un appétit spécifique, donc j'y réponds en en mangeant avec une bonne faim. Et c'est délicieux. Ensuite je complète avec autre chose. Mais il manque un aliment. Souvent sucré en fin de repas.

Mais lequel? rien ne me fait envie. c'est comme si, j'avais un appétit spécifique pour un truc sucré, sans entendre lequel.

Mon corps m'envoit des signaux codés ou quoi?

Je suis dans l'incompréhension et finalement la frustration, même si je n'ai plus faim.

Alors si ça s'trouve j'ai envie d'une pomme! mais comme ça signifie régime finir sur un fruit, je bloque l'idée?

ça me vient en vous écrivant cette idée, je n'y avais pas pensé, c'est possible ça?

Tout comme les envies de légumes la semaine dernière que je ne voulais pas entendre?

Ah la la!!!! j'ai le sentiment d'être super compliquée quand même....

merci de vos conseils.

Voir le dernier message

Répondre
29 commentaires

Comme ça me parle, tout ça ! La certitude de n'avoir plus faim, mais l'insatisfaction, l'envie d'un petit truc en plus, mais quoi ? et l'image du lion en cage...

 

est ce que ça te parle?

 

 

Mais peut-être manque-t-il quelque chose d’autre, qui n’est pas forcément un aliment ? Une forme de réconfort, un apaisement ? Une parole gentille ?

Merci d'avoir remonté ce fils sur l'insatisfaction de fin de repas... 

 

Je ressens tout à fait ça. A la fois l'envie que ça ne soit pas fini, et l'impression que c'est un peu frustrant, il manque un petit quelque chose, alors je vais prendre un carré de chocolat, mais ça ne suffit pas, alors je retourne en prendre un autre, puis un autre... et la frustration est toujours là. 

 

Arriver à "maîtriser" ou à "contrôler" ça ne me semble pas une solution possible, au vu de la tension que ça demande. Alors, arriver à... heu... ben, à respirer, je suppose ! On en revient toujours là...

 

pour ma part je ressens ça encore régulièrement, surtout le soir....

en ce moment je me demande si ce n'est pas une EME dûe à la peur de maigrir....   bon je m'interroge

je ne cherche pas non plus à contrôler, mais à faire durer plus longtemps mon carré de chocolat pour en tirer le plus de satisfaction possible

c'est important de se poser ces questions, car je suis persuadé qu'il y a là une clé fondamentale, liée aux EME de fin de repas

J'ai toujours aussi besoin de finir mon repas sur une note sucrée.

Je ne sais pas s'il s'agit d'une habitude où un besoin plus physiologique pour dire à mon organisme que le repas est fini maintenant (où les deux peut-être).

Souvent, j'essaie de finir mon repas (et avec le temps cela se cale plutôt bien) avec un carré de chocolat simplement à déguster pour ressentir cette note sucrée; comme dirait ma grand-mère j'essaie de garder de la place pour le dessert même tout petit.

Avant LC je prenais souvent un yaourt ou un fruit ou un gâteau pour cette fin sucrée mais sans réélement l'apprécier.

Du coup j'ai tout une gamme de chocolat à la maison pour varier les plaisirs ! Avant cela aurait été impensable d'avoir ce genre d'aliments dans mes tiroirs car j'aurais craqué dessus au moindre coup de fatigue et à la moindre contrariété ! Cela fait rire mes invités quand je sors la boîte avec toutes les tablettes !

Avec le temps et la dégustation j'affine mes goûts et parfois l'on se fait même plaisir avec du chocolat de chocolatier ou pareil l'on déguste carré par carré en appréciant les saveurs parfois étonnantes (bon ok, on a de la chance d'avoir sur Brest un des meilleurs chocolatiers de France :)).

Et avec le temps je me rends compte aussi de cette différence où lorsque j'ai dépassée ma faim en fin de repas, la dégustation du chocolat est moins agréable et parfois (de plus en plus souvent) je n'en prends pas (je temporise avec mon thé ou mon café par exemple lorsque je ne sais pas trop si j'ai encore faim ou non).

Pour ce qui est des envies spécifiques j'ai trouvé (ma) solution : je les écoutent :). Si ce soir je n'ai envie que de raviolis et pas du reste, banco. Si ce soir aprés un apéritif dinatoire je n'ai envie que d'un (trés) grand bol de céréales et pas de me faire un repas plus classique, c'est parti. Je ne sais pas si je suis dans le vrai mais à force de respecter mes envies, mes repas s'équilibrent sur la longueur avec parfois des lubbies passagères en ce moment ce sont les figues (figues frâiches, séchées, confiture sur le pain, avec du fromage, etc.). Ecouter ses envies c'est la meilleure technique que j'ai trouvé pour ne pas être frustrée et déclencher des EME je crois :).

J'apprécie ce que tu écris Mais,j'aimerais savoir,depuis quand es tu sur LC,car tu sembles bien maitriser la méthode,sans culpabiliser,et as tu perdu du poids? Moi,je me rends compte que j'ai beaucoup réduit les quantités,depuis 2 mois,j'ai perdu 5 kgs,mais je culpabilise quand je prends mon petit chocolat en fin de repas le midi. Pourtant,j'en ai envie,mais je me dis que ce besoin de douceur est une concession à une EME,je cherche à prolongeŕ un moment agréable ,le repas,mais je ne peux affirmer que c'est parce que je n'ai pas assez mangé

J'ai commencé à l'automne 2011 donc ça commence à faire un bout de chemin :).

J'ai effectivement perdu pas mal de poids mais j'ai surtout gagné un autre rapport à la nourriture, plus sain.

Les EME n'ont pas encore totalement disparues et je pense qu'elles seront toujours présentes quelquepart, qu'on finisse par manger ou non. Je sais que mon caractère s'est construit avec la nourriture comme moyen de palier aux émotions et cela me prendra beaucoup de temps pour ne plus avoir ce réflexe malgré moi.

La grosse différence pour moi surtout c'est que je m'écoute et que je fais confiance à mon corps sur son ressenti de faim ou non, sur ses envies. C'est trés reposant comme méthode au final :).

La méthode prend du temps (enfin moi j'ai eu besoin d'un déclic sur ma peur de maigrir par exemple) et n'est pas toujours facile en chamboulement d'habitude mais je suis contente d'être passée par ici en tout cas.

Je ne sais pas si c'est un bon conseil mais pour moi la dégustation du chocolat fait vraiment la différence, c'est un moment à part pour conclure le repas. Prendre le temps d'apprécier les parfums et au final se rendre compte parfois qu'un demi-carré suffit à son envie et parfois ce sont plusieurs carrés (pour goûter plusieurs parfums). Parfois je doute alors je prends ma tisane ou mon thé ou café d'abord et je me rends compte que l'envie n'est parfois plus là après 5 mn. Au départ j'avais tendeance à prendre un carré à chaque fois (surtout que j'ai souvent terminé de manger avant mon ami donc le labs de temps entre le café pris en commun et la fin de mon repas était sujette à des EME). Je pense qu'avec le temps tu vas trouver ton équilibre :)

Je culpabilise encore lorsque je dépasse ma faim ou que je n'arrive pas à bien gérer les repas conviviaux (les apéros dinatoire sont parfois source d'EME) mais de moins en moins avec le temps; je ne suis pas rapide à la détente mais je fais mon bout de chemin en somme :). Rien ne m'empêche de me prendre un goûter si j'attends d'avoir faim pour manger le dîner a été un peu long à comprendre pour moi (le goûter est pourtant mon repas préféré :)). Et puis même si je mange sans faim (invitation à des repas chez des amis ou autre) j'attendrais d'avoir faim le lendemain.

En tout cas, une chose m'aide pas mal pour les EME de fin de repas, c'est de me rappeler que mon dessert/chocolat/fromage ou autre est bien meilleure en ayant fin qu'en ayant pas faim :) (cet exercice de dégustation en début et fin de repas a été assez instructif pour moi !) donc en toute gourmandise, j'attends pour que ce soit encore meilleur :).

Cela me rappelle un conseil d'une diététicienne pour ne pas craquer au restaurant, il s'agissait de manger avant d'y aller pour ne pas être tentée. Elle conseillait de se faire une soupe ou des oeufs durs. Bon déjà moi faire une soupe me prend du temps et les oeufs dur comme ça je n'aime pas particulièrement et quel est l'intérêt de manger avant d'aller profiter d'un bon repas ? (bon sauf si le restau est mauvais :)). Mais voilà en gros moi mon moteur est le plaisir de manger :).

 

Pareil ! Fatigue et EME s'entendent visiblement très bien...

Je viens mettre mon petit grain de sel !!!

Je me couche tard moi aussi, je n'arrive pas à me coucher plus tôt malgré la fatigue, et de plus, je me réveille tôt, quelque soit l'heure à laquelle je me couche. Donc j'ai des périodes comme ça où je suis crevée, et c'est vrai que ça détraque un peu mes sensations de faim.

Je pense que je traîne comme ça pour ne pas me coucher parce que je crois que le soir, tout le monde dort, alors je suis sûre que je serais tranquille, personne ne viendra m'enquiquiner, même pas par téléphone. C'est mon espace de liberté.

Alors malgré la fatigue et bien je ne vais pas me coucher ...

Bonjour Nouvomoi 

peut etre as tu,( ou pourrais tu decider de ) l'opportunité de faire des mini pauses dans la journée? a une periode de ma vie,  je cumulais etudes  boulot et enfants, et du coup j'ai du apprendre a faire des pauses, genre dormir 3 minutes , 10 minutes assise, pour recuperer des que je le pouvais, c'est au final tres utile

je suis capable de commencer une phrase et de m'endormir en disant le dernier mot

ça fait rire ma famille, mais je me repose