Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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Aujourd'hui je me sens fatiguée :
=> trois jours passés dans ma belle-famille dont la communication est essentiellement basée sur la rigolade et la dérision sur tout et rien, c'est agaçant et épuisant à la longue...
=> mon organisme est fatigué de 3 jours d'excès alimentaires, .dans le non-repect de mes sensations...
- genou qui craque et mal à la hanche gauche => vais me mettre de la chaleur dessus pour détendre le muscle.
- grande lassitude physique et psychique...
- moins fatiguée qu'hier, mais peu de tonus...
- et toujours cette satanée ampoule qui ne guérit pas et m'empêche de sortir pour faire mes 30 mn de marche quotidiennes => si c'est pour revenir le pied en sang, non merci !
- me dire que les vacances de mon conjoint touchent à leur fin et que nous n'avons pratiquement pas bougé de la maison depuis notre retour du Grau du Roi, me culpabilise un peu, mais bon...
- EME ce midi, sans pouvoir l'identifier précisément : fatigue générale et douleurs, angoisse de la nouvelle année qui s'annonce avec ma reprise du travail début février, après 3 ans de longue maladie ?
Grognon depuis plusieurs jours, même si un peu moins ce soir.
Plusieurs contrariétés ces derniers jours:
-quand je suis allée à l'appart de mon ex chercher des papiers et je me suis rendue compte combien il était moins autonome que je le pensais,
-je me suis disputée avec mon frère,
- et je rage à l'idée que les vacances sont bientôt finies: j'ai réussi à faire un peu ce que je voulais mais pas autant que j'aurais voulu, et je suis déjà fatiguée d'avance de tous les allers-retours qui m'attendent...
- Et une migraine de plus qui s'est pointée en cette fin d'après-midi du 1er de l'an !
- Avoir bien trop mangé et bu pour le réveillon, en dégustant certes, mais sans percevoir la satiété !
Je crains que la dépression saisonnière ne me guette => fatigue, pas envie de bouger, irritabilité, etc. Peut-être aussi que la phase une peu "euphorique" du début de programme commence à s'estomper et la motivation avec, déjà, parce que pour ça je suis fortiche ! Bon, il va falloir que je m'accroche, c'est décidé.
Grosse et longue période d'inconfort : l'avant-fêtes et les fêtes ont été calamiteuses pour moi et je n'arrivais même pas à l'écrire.
J'ai commencé, 1 semaine avant, par de fortes douleurs dans le bas-ventre. Je suis allée faire cours quand même, en essayant de ne pas me plier en deux et de ne pas lâcher de cris à chaque mouvements… La veille de l'échographie pelvienne demandée par mon médecin, à 5h du matin : urticaire géant de la tête aux pieds. Je n'avais pas assez de mains pour me gratter. Le 21 décembre, en allant à l'échographie, crise d'angoisse dans la voiture, j'ai cru que je n'arriverais pas à respirer. L'échographie n'a rien donné, je me suis sentie soulagée, les démangeaisons se sont calmées et il ne restait plus que les plaques rouges, mais c'est reparti de plus belle dans la nuit.
Verdict du médecin : pas d'urticaire allergique, mais dû au stress. Stress d'avoir la maison pleine à Noël et de savoir qu'après je ne pourrais pas du tout me reposer mais qu'il me faudrait me remettre au boulot (copies à corriger, cours du 2ème semestre à préparer dont plusieurs nouveaux, …), stress dû à la venue de mes parents et notamment de ma mère qui a toujours des remarques qui font mal. Quand je lui ai dit que j'avais un urticaire dû au stress, elle a eu un petit rire et a répété "au stress ??? Ah bon ??" comme si c'était une chose absolument incroyable, comment je pourrais être sujette au stress, franchement, je fais tellement peu de choses !… A peine installée à table en face de ma fille ado, elle la regarde et lui dit : "oh, tu as plein de boutons, dis donc !" devant tout le monde évidemment ! … Je ne vais pas vous les faire toutes … mais ça fait mal.
Comme si ce n'était pas suffisant, la chaudière a fait des siennes et nous sommes restés 5 jours dans chauffage et sans eau chaude.
Hier, lendemain du réveillon, je me sentais hyper mal. Mon chat est en sursis, je sais qu'à priori nous allons le perdre en 2017, donc ça ne va pas être une bonne année et je n'arrive pas à penser à autre chose. J'ai beaucoup de mal à m'imaginer que 2017 pourrait être une année douce. Et j'ai l'impression que je ne vais pas y arriver côté boulot, alors j'ai enchaîné les crises d'angoisse, gros poids sur la portrine, difficulté à respirer, sensation de me noyer … J'ai pensé fort à Izabelle et j'ai essayé d'accueillir tout ça, de ne pas lutter, mais de faire de la place à ce mal-être. Dur d'affronter ça !
Côté LC : c'est au point mort depuis … plus d'un mois, peut-être même deux. Je ne sais même pas si j'ai vraiment été là au début quand je faisais les exercices. Je serais incapable de dire les étapes par lesquelles je suis passée et quand je vais voir le sommaire de mon parcours, c'est comme si c'était quelqu'un d'autre qui l'avait fait. Je me sens très découragée. Cela fait des semaines que je me dis que je devrais écrire à une coach, que je devrais redémarrer au début ou presque, mais je n'arrive pas à le faire. Je suis comme paralysée. C'est un peu comme si je regardais passer et s'éloigner un train dans lequel j'aurais dû monter et dans lequel je ne suis pas montée et que je me sens incapable de le rattraper. Voilà … Et là, je me dis qu'au lieu d'écrire tout ça, je devrais être en train de corriger mes copies et je culpabilise …
Bref, tout va tout va tout va bien !… 
Mais je vous souhaite du fond du coeur une très belle année 2017 !
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m'être pris un impact sur mon pare-brise, en plus face conducteur, et ce au même endroit exactement de l'autoroute que la dernière fois, sauf que cette fois il est 4 fois plus gros
bon en même temps ce n'est pas si grave, mais c'était la contrariété du jour!