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qui veut sortir de l'obésité avec moi ?

Communauté et échange Recherche de binôme pour avancer Ensemble
09 mai 2012 à 00h

A force de faire des régimes alors que je n'avais que quelques rondeurs pas si mal venues que cela, je suis devenue franchement grosse. 


Jusqu'à l'âge de 40 ans, j'ai quand même réussi à me contenir dans les limites du surpoids. 

 

Depuis 6 ans, j'ai perdu le contrôle. Malgré mes tentatives de plus en plus désespérées — nutritionniste du GROS, psychothérapie, etc. — je me suis installée dans l'obésité "sévère", voire "morbide", je ne sais plus, mais en tout cas ça n'est pas joli-joli, tout ça. 

 

Le pire, c'est que je ressens exactement la même chose avec mes 40 kg en trop que ce que je ressentais avec mes 4 kg en trop ! 

 

Sauf que là, ma santé à terme et ma mobilité sont en jeu. A l'approche de la ménopause, il me semble urgent de "faire quelque chose". 

 

J'ai démarré le programme il y a un petit mois, mais je n'ai pas tout fait tout de suite, j'en suis actuellement à terminer mon carnet d'EME. 

 

Est-ce que ça tente quelqu'un de faire un bout de chemin ensemble pour sortir de l'obésité ? 

 

Ah, j'oubliais ma fiche signalétique : 46 ans, institutrice, mariée, 3 grands enfants (seule la dernière est encore à la maison), Parisienne. 

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44 commentaires

Super, Poneyville ! 

 

Alors, on se donne rendez-vous pour traverser la zone "obésité modérée", et on se retrouve quand on sera passées en "surpoids", c'est ça ? 

Bonjour aux futuresancien(e)s obèses,

Ta traversée de ligne ressemble aux passage du cap horn ou autres trucs de ce genres wink

C'est amusant, cela a un coté aventuriersmiley

J'ai 62 ans et entre 30 et 40 kg à oublié sans remordsindecisionsi possible (103kg pour 1m77 )

le yoyo je l'ai commencé vers 45ans 7ans après le cumul : arrêt du tabac sans aide, diminution d'activité physique brusque et changemnt  de stress(+)crying

Je voudrai bien passer ce cap horn (et zut à l'orthographe) avec vous.

Ah mais bien sur qu'on va passer en surpoids ! (sorti du contexte ça peut être drôle, "génial je suis en surpoids!")

 

Bonjour à toutes.
 
Je me reconnais un peu dans chacune de vous... Je suis en train d'écrire mon parcours pour le mettre dans mon profil mais j'avoue que ça me demande pas mal d'efforts pour formuler tout ça comme je le veux. En plus mes deux petits (de 4 et 6  ans)  sont en vacances à la maison avec moi donc ce n'est pas évident de se concentrer...
 
En bref j'ai fait mon premier régime (suivi en milieu hospitalier) vers 6 ans, je me souviens de la hantise chaque année d'aller à la visite médicale pour entendre que j'étais en surpoids ... car inutile de préciser que même ce premier régime draconien n'a fait qu'empirer les choses... Petits mots doux à l'école : "mémère 1000  kg" à 7 ans... Le "c'est bon pour ce que tu as" est aussi un familier... Ma grand-mère (qui à 86 ans a toujours sa silhouette de 20 ans, limite parfaite) faisait des gâteaux agrémentés de noix et de tous les ingrédients les plus riches qu'elle trouvait et nous la donnait (sans en manger elle -même bien sûr) en nous disant de ne pas en manger trop car ce n'était pas bon pour ce qu'on avait. Si ce n'est pas de la malveillance ça !
 
Donc depuis mes 6 ans j'alterne les périodes de régime, stabilisation, reprise plus ou moins rapide, régime... Qui ont donné aujourd'hui (j'ai 38 ans) à 100 kg pour 1m70, une BMI de 35 donc à la limite de l'obésité morbide, le fameux pli sous le ventre....  
 
Et étonnement je suis parallèlement très heureuse ! Je me retrouve dans d'autre sujets comme celui de se sentir mince ! (Rikki :)) Je vis entourée d'amour et de respect. Je m'estime en tant que personne.
 
Il n'y a que mon reflet que je n'aime pas, et tous ces vêtements que j'aimerai pouvoir porter, ce sport que je voudrais faire sans devenir rouge comme une tomate et transpirer tellement que j'en ai honte...
 
J'ai commencé ce programme mercredi dernier et j'en suis très heureuse ! J'espère me débarrasser à jamais de cette dictature, me sentir bien dans mon corps, être fière de mon apparence. Et si je peux trouver des personnes qui ont un parcours et une démarche similaire ce ne sera que plus agréable ! Je suis dans l’euphorie du début et je sais que la route est longue et confrontante mais c’est la première fois que je rencontre une méthode si respectueuse de la personne !
Bonjour à toutes.
 
Je me reconnais un peu dans chacune de vous... Je suis en train d'écrire mon parcours pour le mettre dans mon profil mais j'avoue que ça me demande pas mal d'efforts pour formuler tout ça comme je le veux. En plus mes deux petits (de 4 et 6  ans)  sont en vacances à la maison avec moi donc ce n'est pas évident de se concentrer...
 
En bref j'ai fait mon premier régime (suivi en milieu hospitalier) vers 6 ans, je me souviens de la hantise chaque année d'aller à la visite médicale pour entendre que j'étais en surpoids ... car inutile de préciser que même ce premier régime draconien n'a fait qu'empirer les choses... Petits mots doux à l'école : "mémère 1000  kg" à 7 ans... Le "c'est bon pour ce que tu as" est aussi un familier... Ma grand-mère (qui à 86 ans a toujours sa silhouette de 20 ans, limite parfaite) faisait des gâteaux agrémentés de noix et de tous les ingrédients les plus riches qu'elle trouvait et nous la donnait (sans en manger elle -même bien sûr) en nous disant de ne pas en manger trop car ce n'était pas bon pour ce qu'on avait. Si ce n'est pas de la malveillance ça !
 
Donc depuis mes 6 ans j'alterne les périodes de régime, stabilisation, reprise plus ou moins rapide, régime... Qui ont donné aujourd'hui (j'ai 38 ans) à 100 kg pour 1m70, une BMI de 35 donc à la limite de l'obésité morbide, le fameux pli sous le ventre....  
 
Et étonnement je suis parallèlement très heureuse ! Je me retrouve dans d'autre sujets comme celui de se sentir mince ! (Rikki :)) Je vis entourée d'amour et de respect. Je m'estime en tant que personne.
 
Il n'y a que mon reflet que je n'aime pas, et tous ces vêtements que j'aimerai pouvoir porter, ce sport que je voudrais faire sans devenir rouge comme une tomate et transpirer tellement que j'en ai honte...
 
J'ai commencé ce programme mercredi dernier et j'en suis très heureuse ! J'espère me débarrasser à jamais de cette dictature, me sentir bien dans mon corps, être fière de mon apparence. Et si je peux trouver des personnes qui ont un parcours et une démarche similaire ce ne sera que plus agréable ! Je suis dans l’euphorie du début et je sais que la route est longue et confrontante mais c’est la première fois que je rencontre une méthode si respectueuse de la personne !
Bonjour à toutes.
 
Je me reconnais un peu dans chacune de vous... Je suis en train d'écrire mon parcours pour le mettre dans mon profil mais j'avoue que ça me demande pas mal d'efforts pour formuler tout ça comme je le veux. En plus mes deux petits (de 4 et 6  ans)  sont en vacances à la maison avec moi donc ce n'est pas évident de se concentrer...
 
En bref j'ai fait mon premier régime (suivi en milieu hospitalier) vers 6 ans, je me souviens de la hantise chaque année d'aller à la visite médicale pour entendre que j'étais en surpoids ... car inutile de préciser que même ce premier régime draconien n'a fait qu'empirer les choses... Petits mots doux à l'école : "mémère 1000  kg" à 7 ans... Le "c'est bon pour ce que tu as" est aussi un familier... Ma grand-mère (qui à 86 ans a toujours sa silhouette de 20 ans, limite parfaite) faisait des gâteaux agrémentés de noix et de tous les ingrédients les plus riches qu'elle trouvait et nous la donnait (sans en manger elle -même bien sûr) en nous disant de ne pas en manger trop car ce n'était pas bon pour ce qu'on avait. Si ce n'est pas de la malveillance ça !
 
Donc depuis mes 6 ans j'alterne les périodes de régime, stabilisation, reprise plus ou moins rapide, régime... Qui ont donné aujourd'hui (j'ai 38 ans) à 100 kg pour 1m70, une BMI de 35 donc à la limite de l'obésité morbide, le fameux pli sous le ventre....  
 
Et étonnement je suis parallèlement très heureuse ! Je me retrouve dans d'autre sujets comme celui de se sentir mince ! (Rikki :)) Je vis entourée d'amour et de respect. Je m'estime en tant que personne.
 
Il n'y a que mon reflet que je n'aime pas, et tous ces vêtements que j'aimerai pouvoir porter, ce sport que je voudrais faire sans devenir rouge comme une tomate et transpirer tellement que j'en ai honte...
 
J'ai commencé ce programme mercredi dernier et j'en suis très heureuse ! J'espère me débarrasser à jamais de cette dictature, me sentir bien dans mon corps, être fière de mon apparence. Et si je peux trouver des personnes qui ont un parcours et une démarche similaire ce ne sera que plus agréable ! Je suis dans l’euphorie du début et je sais que la route est longue et confrontante mais c’est la première fois que je rencontre une méthode si respectueuse de la personne !
Bonjour à toutes.
 
Je me reconnais un peu dans chacune de vous... Je suis en train d'écrire mon parcours pour le mettre dans mon profil mais j'avoue que ça me demande pas mal d'efforts pour formuler tout ça comme je le veux. En plus mes deux petits (de 4 et 6  ans)  sont en vacances à la maison avec moi donc ce n'est pas évident de se concentrer...
 
En bref j'ai fait mon premier régime (suivi en milieu hospitalier) vers 6 ans, je me souviens de la hantise chaque année d'aller à la visite médicale pour entendre que j'étais en surpoids ... car inutile de préciser que même ce premier régime draconien n'a fait qu'empirer les choses... Petits mots doux à l'école : "mémère 1000  kg" à 7 ans... Le "c'est bon pour ce que tu as" est aussi un familier... Ma grand-mère (qui à 86 ans a toujours sa silhouette de 20 ans, limite parfaite) faisait des gâteaux agrémentés de noix et de tous les ingrédients les plus riches qu'elle trouvait et nous la donnait (sans en manger elle -même bien sûr) en nous disant de ne pas en manger trop car ce n'était pas bon pour ce qu'on avait. Si ce n'est pas de la malveillance ça !
 
Donc depuis mes 6 ans j'alterne les périodes de régime, stabilisation, reprise plus ou moins rapide, régime... Qui ont donné aujourd'hui (j'ai 38 ans) à 100 kg pour 1m70, une BMI de 35 donc à la limite de l'obésité morbide, le fameux pli sous le ventre....  
 
Et étonnement je suis parallèlement très heureuse ! Je me retrouve dans d'autre sujets comme celui de se sentir mince ! (Rikki :)) Je vis entourée d'amour et de respect. Je m'estime en tant que personne.
 
Il n'y a que mon reflet que je n'aime pas, et tous ces vêtements que j'aimerai pouvoir porter, ce sport que je voudrais faire sans devenir rouge comme une tomate et transpirer tellement que j'en ai honte...
 
J'ai commencé ce programme mercredi dernier et j'en suis très heureuse ! J'espère me débarrasser à jamais de cette dictature, me sentir bien dans mon corps, être fière de mon apparence. Et si je peux trouver des personnes qui ont un parcours et une démarche similaire ce ne sera que plus agréable ! Je suis dans l’euphorie du début et je sais que la route est longue et confrontante mais c’est la première fois que je rencontre une méthode si respectueuse de la personne !
Bonjour à toutes.
laugh
 
Je me reconnais un peu dans chacune de vous... Je suis en train d'écrire mon parcours pour le mettre dans mon profil mais j'avoue que ça me demande pas mal d'efforts pour formuler tout ça comme je le veux. En plus mes deux petits (de 4 et 6  ans)  sont en vacances à la maison avec moi donc ce n'est pas évident de se concentrer...
 
En bref j'ai fait mon premier régime (suivi en milieu hospitalier) vers 6 ans, je me souviens de la hantise chaque année d'aller à la visite médicale pour entendre que j'étais en surpoids ... car inutile de préciser que même ce premier régime draconien n'a fait qu'empirer les choses... Petits mots doux à l'école : "mémère 1000  kg" à 7 ans... Le "c'est bon pour ce que tu as" est aussi un familier... Ma grand-mère (qui à 86 ans a toujours sa silhouette de 20 ans, limite parfaite) faisait des gâteaux agrémentés de noix et de tous les ingrédients les plus riches qu'elle trouvait et nous la donnait (sans en manger elle -même bien sûr) en nous disant de ne pas en manger trop car ce n'était pas bon pour ce qu'on avait. Si ce n'est pas de la malveillance ça ! angry
 
Donc depuis mes 6 ans j'alterne les périodes de régime, stabilisation, reprise plus ou moins rapide, régime... Qui ont donné aujourd'hui (j'ai 38 ans) à 100 kg pour 1m70, une BMI de 35 donc à la limite de l'obésité morbide, le fameux pli sous le ventre....  
 
Et étonnement je suis parallèlement très heureuse !  Je vis entourée d'amour et de respect. Je m'estime en tant que personne. Je me retrouve dans d'autre sujets comme celui de se sentir mince ! (Rikki wink) Et ça c'est bizarre, quels sentiments contradictoires !! Dans ma vie de jeune adulte on m’a toujours dit que je portais bien mes kilos, que j’avais un corps harmonieux, j’ai même eu pas mal de succès, et cela m’a certainement aidée à augmenter mon estime de soi…  
 
Il n'y a que mon reflet que je n'aime pas, et tous ces vêtements que j'aimerai pouvoir porter, ce sport que je voudrais faire sans devenir rouge comme une tomate et transpirer tellement que j'en ai honte...
 
J'ai commencé ce programme mercredi dernier et j'en suis très heureuse ! J'espère me débarrasser à jamais de cette dictature, me sentir bien dans mon corps, être fière de mon apparence. Et si je peux trouver des personnes qui ont un parcours et une démarche similaire ce ne sera que plus agréable ! Je suis dans l’euphorie du début et je sais que la route est longue et confrontante mais c’est la première fois que je rencontre une méthode si respectueuse de la personne !
 
Ha ha! Moi qui voulais être brève je viens de vous écrire un roman !!
Pour conclure : je suis très heureuse de faire votre connaissance !

Bonsoir à toutes,

Juste un petit coucou pour dire MERCI à LC. En effet, je suis contente car je ne me stresse plus pour la nourriture. Je mange de tout sans me goinfrer:) Si j'ai envie de craquer, je le fais en mangeant un carré de chocolat et puis c'est tout:) Je ne fais toujours pas ma RPC mais je "déguste" tranquillement cette nouvelle phase de calme :)

J'espère que tout le monde avance à son rythme:)

Bonne soirée:)

Misia

Bienvenue à Misia et Enciel. 

 

Je me demandais : comment avez-vous vécu cette entrée dans l'obésité ? En ce qui me concerne, je suis persuadée que j'ai pris une dizaine de kilos dès que j'ai su que j'étais obèse. Le mot m'était si douloureux que quand j'ai vu que mon IMC entrait dans cette catégorie, le stresseur poids a été multiplié par un million ! 

Je suis entrée assez tôt dans l'obésité ( à 13 ans, je pesais déjà 73 kilos pour 1m50).

Je pense également que le stresseur poids joue énormément dans l'augmentation de la surcharge pondérale.

Pendant mon enfance et mon adolescence, je pense que  "l'acharnement" de mes parents (qui pensaient et voulaient bien faire) m'a fait prendre du poids...

Etant un peu ronde dès mes 2 ans, mes parents ont essayé de palier les prises de poids. Je me rapelle qu'à certains goûters, j'avais le droit à des fruits ou même des carottes pendant que mon frère allait manger un pain au chocolat en cachette pour ne pas me donner envie. Je ne ferai pas la liste exhaustive des mots blaissants, des insultes et autres gentillesses... ni des regards malveillants, ni les propos de mon père notamment : "C'est bon pour ce que tu as..." quand j'allais courir le dimanche matin avec lui pour perdre du poids... bref, tous ces mots/maux m'ont fait porter un regard, sur mon corps puis sur mon être, très méprisant... et ne m'ont pas permis d'avoir un comportement alimentaire sain...

... Tout ça pour dire que lorsque l'on s'acharne à perdre du poids absolument, quand on entre dans la "case obésité", quand on n'arrive pas ou plus à s'accépter tel que l'on est... on multiplie les risques de prise de poids et de compulsions.

Pour moi, l'obésité m'est tombé dessus tranquillement... entre 11 ans et 15 ans, j'ai pris 40 kg et personne n'a rien vu hormis la charmante pédiatre de 3ème qui m'a dit "vous êtes obèse!" J'ai aussi eu les mots méchants et j'ai appris à être très mauvaise pour que mes jeunes comparses aient peur de moi:)) Je précise le tout sans violence juste celles des mots...

Plus de 30 ans plus tard, j'ai appris à calmer mes mots (maux) mais mes 40 kg sont toujours là!

Bonjour Enciel,

Je suis très touchée par ton témoignage car j'ai l'impression d'avoir vécu un peu l'inverse, ce qui, de toute façon, nous a conduit toutes les deux dans l'obésité. Je m'explique. Moi, étant petite, j'étais très fine. Mes parents et autres membres de la famille (grands-parents et oncle notamment) me harcelaient en disant que j'étais trop maigre et m'obligeaient à manger. J'ai également entendu des choses très agréables du style : "mange, t'es maigre comme un clou, t'aura jamais aucun garçon qui voudra de toi", ou "tes jambes sont fines comme des baguettes, ce n'est pas beau" etc... j'en passe... D'un autre côté, ma mère qui a passé sa vie à faire des régimes, venait avec ses principes : on doit bien déjeuner le matin - moi le matin, je n'avais pas faim et on m'obligeait à avaler un bol de lait et à manger au moins une tartine... Interdiction de quitter la table sans avoir terminer son assiette, même si on n'a plus faim (on ne gaspille pas NON MAIS!!!). Sans compter que si on  ne se resservait pas chez la grand-mère, elle se vexait et interprètait : ce n'est bon (hou la culpabilité).

Bref fallait que je grossisse. Et dans mon esprit, manger signifiait : faire plaisir à maman, à papa, à la grand-mère, et aussi pour éviter les sarcasmes de mon oncle etc... et sans doute que je cherchais à être reconnue, acceptée, aimée tout simplement.

Mes kilos se sont installés quand j'ai quitté la maison pour vivre avec mon mari et surtout après les grossesses et engrenage régime etc...

Le pire, c'est que maintenant, je reçois des critiques des mêmes personnes (sauf ma grand-mère qui n'est plus de ce monde) pour l'effet inverse : je suis la grosse de la famille... pas bien... "tu pourrais faire attention"..."t'as vu comme tu es devenue!"  toujours ces paroles blessantes!! Ce qui n'aide pas.

Pas facile à gérer toutes ces blessures.

Mais on va s'accrocher et surtout ENFIN penser à nous, à s'accepter, à s'aimer et se respecter (soi-même ainsi que faim et satiété) - vaste programme. Il va en falloir du temps.

Courage à toutes et tous.

[quote=wouchi]

Le pire, c'est que maintenant, je reçois des critiques des mêmes personnes (sauf ma grand-mère qui n'est plus de ce monde) pour l'effet inverse : je suis la grosse de la famille... pas bien... "tu pourrais faire attention"..."t'as vu comme tu es devenue!"  toujours ces paroles blessantes!!

[/quote]

Putain, mais y a des gens quand même !!!!!!!!

Pardon pour cette vulgarité, mais je suis outrée.

Tu vois encore ces proches qui te font tant de mal ?

Quand quelqu'un est si malveillant avec moi (ou disons maladroit de façon persistante et en dépit de tout ce que je peux lancer comme signaux de détresse), je cesse toute relation, famille ou pas.

Alors je ne veux pas me mêler des tiennes et rompre n'est pas si facile à faire qu'à dire ; mais tu peux en tout cas noter, il me semble, que ces mots sont injustes et n'ont pas à t'être dits, et que tu peux donc les retourner (gentiment ?) à ceux qui te les envoient. Je ne sais pas comment le faire avec superbe (perso, je viens de te le dire : dans pareil cas je choisis plutôt la rupture, d'autres diraient la fuite, estimant que de telles personnes sont toxiques pour moi) ; mais réfléchis-y, ils ne peuvent pas continuer à te maltraiter comme ça.

As-tu déjà dit, par exemple, un dimanche à table où toutes ces personnes qui te veulent du bien sont réunies, que tu as quelque chose de très étonnant à leur annoncer : ce n'est pas pour leur faire honte que tu as grossi, et ce n'est même pas fait exprès alors même qu'ils t'en ont sommée pendant toute ton enfance. Incroyable hein ?

Ceci est un message d'encouragement, j'espère pas trop maladroit. Peut-être un des psy-coaches aura-t-il une astuce à te suggérer pour faire comprendre à ta famille qu'elle te torture (ce qui ne veut pas dire que tu dois la tenir pour seule responsable de ton poids, sans quoi il ne te sera pas possible de le perdre, une fois encore c'est mon avis absolument pas autorisé).

Bonne nuit. Haut les coeurs.