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Vous avez commencé en août-septembre

Communauté et échange Présentation : apprenons à mieux nous connaître !
Animatrice forum En or (1004) Très actif (30)
15 Aoû 2011 à 00h

Venez vous présenter ici aux personnes qui comme vous démarrent le programme en cette deuxième moitié d'été!

L'été est toujours un excellent moment pour prendre du recul, prendre du temps pour soi, et commencer à modifier ses habitudes !

Cette rubrique est l'opportunité pour chacun de se présenter, et pour tous de faire connaissance.

Vous allez suivre des cheminements proches et parallèles, pour mieux y réussir, échangez avec des personnes qui en sont au même stade que vous.

Nous comptons sur chacun pour être le soutien de l'autre dans cette aventure, car les premiers mois de ce programme ont montré à quel point ce soutien aide à progresser!

N'oubliez pas d'aller aussi chercher un(e) ami(e) aidant sur la rubrique du forum "trouvez un binome"

Pour toute question, n'hésitez pas à contacter votre coach.

Bon coaching et bel été!

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105 commentaires

 

Bonjour à toutes,

 

Je suis Line, j'ai 32 ans, je vis en région parisienne (mais pas dans le 77, contrairement à ce que mon pseudo pourrait indiquer! ;)) Je me suis inscrite en début de semaine.

Je ne sais pas par où commencer... expliquer son rapport à la nourriture, c'est presque raconter l'histoire de sa vie...

J'étais une enfant plutôt bien portante, sans être en surpoids du tout. Ma mère m'a toujours dit que j'avais quelques kilos à perdre "rien de catastrophique, mais tu serais si bien si..." Je n'ai jamais vraiment fait de régime durant mon enfance et mon adolescence, sauf peut-être une fois, j'avais dû perdre deux kilos... j'ai grossi modérément, jusqu'à ce que je quitte la maison pour les études. Découverte de la vie d'étudiant, de la fête, de pleins d'aliments que je ne trouvais pas à la maison... au fond de moi, j'étais persuadée d'être déjà grosse, donc je ne voyais pas pourquoi je pourrais pas prendre un peu de réconfort dans la nourriture. J'ai grossi de façon nettement plus significative.

J'ai donc pris du poids... pris du poids... jamais de régime par contre!  J'ai continué à grossir, je me trouvais dans une situation personnelle et professionnelle pas facile qui a sans doute contribué à cette prise de poids. Et puis un jour, je suis tombée sur des photos de moi ado. Je pensais voir une enfant grasse et boudinée, j'ai découvert une une ado mince, avec des formes, mais mince. Ca m'a fait un choc énorme, ça a remis beaucoup de choses en question.J'ai réussi à parler de tout cela avec ma mère. On en a discuté ensemble et cela m'a beaucoup apaisée. Elle  s'en voulait beaucoup, elle ne pensait pas que ses commentaires m'avaient authentiquement fait croire que j'étais grosse, qu'elle avait déformé ma vision de moi-même à ce point... (note : ma mère a toujours voulu le meilleur pour ses enfants, il n'y a jamais eu de pressions de sa part ni rien... elle pensait juste bien faire, elle s'inquiétait pour moi). Il m'a fallu des années et cet "électrochoc" des photos pour me rendre compte qu'elle avait une vision déformée de la minceur (elle trouve les mannequin de lingerie "grosses"... "mais t'as vu les bonnes cuisses qu'elle a sur cette photo?"). Paradoxalement, ça m'a donné confiance dans le fait de pouvoir être "bien" et "belle" sans pour autant rentrer dans ses critères. Sachant bien que je n'avais ni la morphologie, ni le mode de vie nécessaire (ni l'envie d'ailleurs) pour être Kate Moss, ça m'a apaisée. Je dois préciser encore une chose : pour diverses raisons, la vie a été plutôt douce pour moi. On traverse chacun son lot d'épreuves, bien sûr, mais j'ai été une élève brillante, en couple très tôt (et toujours en couple avec la même personne), très entourée pr des amis fidèles, et si mes jobs ont parfois été durs, je n'ai pour ainsi dire jamais été au chômage... Socialement parlant, tout était donc au beau fixe. Y a un truc que je ratais dans ma vie : mon poids. C'était le truc sur lequel je n'étais pas parfaite. Et le truc qui se voyait le plus. Pour quelqu'un qui comme moi a toujours peur de ne pas être à la hauteur, qui attend le moment où les choses vont mal tourner et où les gens vont découvrir qu'en fait je ne suis pas à l'a hauteur de mon image, je doute que ce soit innocent. Une façon de dire "vous voyez qui je suis en fait? Pas quelqu'un de si "bien" que ça!".

Puis est arrivé un grand changement de vie. J'ai quitte ma région, quitté mon job qui me minait pour rejoindre mon ami en Ile de France. Ce tournant  été bénéfique : j'ai trouvé un nouveau job dans lequel je me suis épanouie, j'ai commencé à consulter pour des problèmes d'anxiété qui commençait à me miner et qui devenaient incontrôlables (consultations profitables quoiqu'émotionnellement terribles, ça a duré environ un an, et cela m'a permis de lâcher du lest sur pas mal de choses, et me regarder avec plus d'indulgence...), et... commencement d'un régime weight watchers. Pour diverses raisons, je me trouvais trop grosse (jamais pesé plus qu'à ce moment) et surtout, avec le changement de vie, je craignais de perdre tout contrôle sur mon poids.

J'ai beaucoup perdu (largement au-delà de mes objectifs) en 8 mois, honnêtement sans aucun effort et même avec un certain soulagement mental. Je me suis maintenue sans vraiment y mettre de l'énergie pendant 2 ans. Lé régime me soulageait : je n'avais plus à penser àç ce que j'allais manger, j'avais la certitude que tant que je respectais le compte des points, tout allait... Par contre, grosso modo en même temps j'avais "rencontré" les théories des docteurs Z. et A., et il y a pleins de trucs chez weight watchers auxquels je n'ai pas adhéré... je crois que j'essayais de rajouter certaines notions de "zermatage" sans trop le savoir. Donc le régime a marché du feu de dieu : j'ai remangé des choses que je m'interdisais depuis des années, j'ai pu reprendre mes casseroles sans scrupules (je n'osais plus cuisiner alors que j'adore ça). Voilà les bons points. Les mauvais, c'est que bien sûr j'étais (suis) en pleine restriction. Sauf que... sauf que, je suis une fille qui par chance a des goûts "diététiquement correct" : j'adore les légumes, je ne suis pas du tout sucrée (mais alors pas du tout. Du coup quand une envoie irrépréssible de patisserie me prend, je la mange sans aucun remords ni hésitation, régime ou pas régime. Ca doit arriver 5-6 fois par an... donc quand j'en ai envie c'est que quelque chose en moi le veut vraiment).  Mais pour vous dire combien mon cas est désespéré, je déteste les macarons (pitié, non, pas les coups! ;)) Du coup, je pense que c'est pour cela que la restriction a mis du temps à s'installer et à se manifester : finalement, question gras et salé j'y trouvais bien mon compte. Mais au bout de 2 ans et 8 mois, les choses ont changé.

J'ai changé de job pour un nouveau poste, envers lequel j'entretiens des sentiments ambivalents : le job paie bien, il est en cdi, il est valorisant et avec des responsabilités, c'est mon domaine... mais il est extrêmement stressant, souvent pour des mauvaises raisons, je dois faire beaucoup d'heures et participer au "cinéma" que se font beaucoup de gens quand ils montent haut dans la hiérarchie (manipulations, combats de clans...) Dur. Ca, plus la fatigue mentale et la lassitude extrêmes qui se sont installées après presque 3 ans de weight watchers. Depuis 6 mois je grossis, et pour la première fois, je lutte. J'ai la sensation d'être sur un tapis roulant qui va de plus en plus vite, et je m'épuise à essayer de courir en rythme. La chute semble inévitable. Car les compulsions sont revenues. Je n'en ai quasiment pas eu les 3 années écoulées, mais là elles sont de retour. Rétrospectivement, je me rends compte que j'en ai fait pendant toute mon jeune âge adulte, et qu'il n'y a que pendant la période bon job + début ww que celles-ci se sont calmées. De plus, je travaille dans un métier et un secteur pro où les apparences sont extremement importantes : j'ai pu le constater de visu lorsque j'ai perdu du poids, le regards pro sur moi a complètement changé. Certaines choses sont devenues plus faciles, et je sais que pour certains interlocuteurs je suis devenue plus crédible. Terrible, non? Et je ne parle pas du boost d'égo prodigieux produit par le regard des hommes... (je ne fais pas partie des filles qui ont peur de maigrir par peur de devenir séduisantes - j'adore ça! et je sais que c'est narcissique et une faiblesse, et j'essaie de travailler dessus - mais bon dieu que ça fait du bien de voir des regards appréciateurs vous suivre! surtout quand on s'est persuadée dès l'adolescence d'être complètement transparente en terme de séduction). La peur, et une sensation de perte de contrôle imminente et complète m'ont poussée à chercher une solution.

Donc me voici déboulant sur LineCoaching. Depuis 6 jours maintenant. J'essaie de manger plus lentement (je suis une goulue qui gobe tout, les anglais disent "to wolf down food", avaler la nourriture avec la voracité d'un loup, ça me définit très bien), d'écouter ma faim et ma satiété, de ne pas culpabiliser... c'est dur, car si je sens bien la faim (et encore), la satiété c'est autre chose. En fait je mange 3 bouchées et j'ai l'impression d'être calée. Et deux heures après j'ai faim. En fait j'ai la sensation d'avoir faim tout le temps du coup ^^;; alors que pour le coup, je mange des trucs autrement plus caloriques que mon "régime" habituel. Mais plus étonnament, hier, je n'ai pas du tout senti ma faim (estomac qui crie famine...) alors qu'en fait je devais être très enfoncée dans la grande faim : migraine, grande fatigue... je me disais que je devais être en train de tomber malade, j'ai croqué sans trop savoir pourquoi un abricot à moitié pourri et j'ai cru tomber dans les pommes tellement c'était bon, tellement ça me faisait du bien... et tellement la faim s'est réveillée. Bizarre non? moi qui sens lemoindre gargouillis d'estomac, ne rien avoir senti du tout, ne pas avoir identifié la faim... étrange...

Bref! Ce pavé pour vous dire que je suis ravie d'être là, et que même si je reprends du poids suite à ce coaching (je préfèrerais pas, mais on ne choisi pas...) je veux avant tout avoir une relation apaisée avec les aliments, ne plus avoir peur de grossir (ma graaande crainte, évidemment), ne pas me demander sans cesse combien je pèserai le mois prochain, où j'en serai dans 1 an... c'est épuisant, et je n'en peux plus. Je suis vraiment lasse. Je rêve de manger comme on respire. Je n'en suis qu'au tout début, et je ne sais pas si je réussirai face aux compulsions. En tout cas je suis persuadée d'avoir fait le bon choix. Lire tous vos témoignages m'a émue et je me retrouve souvent dedans. Alors je contribue et amène ma petite pierre à cet édifice qui, j'espère, nous permettra de nous éléver et de dépasser nos problèmes!

Alors me voilà! :) désolée pour le pavé!

 

bonjour,

Eh oui je suis un homme! J'ai 39 ans et je suis papa de deux jolies petites princesses.
A priori nous ne sommes très nombreux mais cela ne me dérange pas du tout. Je me suis inscrit il y a deux jours car j'ai énormement de poids à perdre et après avoir essayé une multitude de régime, je me demande si réapprendre à manger correctement et sans frustration supplémentaire ne serait pas la réponse à mon problème. Seul bémol, nombreuses d'entre vous ont l'aire de se servir de cette méthode pour perdre que quelques kilos ou stabiliser leur poids...
Doutes....je suis en vacance en ce moment et je vais profiter de cette periode pour faire des efforts. Nous verrons bien à la rentrée.

A bientôt j'espère

 

Bienvenue à tous les derniers arrivants ! C'est vrai que c'est dommage qu'il n'y ait pas de forum pour les aoûtiens ;) mais y a toujours le salon de thé pour y bavarder un brin... 

Line77, j'ai été scotchée par ta présentation, qui m'a beaucoup parlé, alors que pourtant nos parcours n'ont pas trop de points communs. Je pense que c'est parce que tu écris très bien ;) Le coup du "j'aimerais manger comme on respire", c'est ça, quoi, exactement ça !

 

Merci beaucoup pour ton accueil Poopsy! :)

Je vais effectivement faire un saut au salon de thé! Même si on n'a pas forcément le même parcours, je pense qu'on est tous là plus ou moins pour les mêmes raisons... et qu'il est important d'en parler pour mieux comprendre. Merci! :)

 

Bonjour à toutes et tous

 

J'ai 43 ans, je suis mariée et j'ai deux enfants, j'habite près de Thionville en Moselle.

J'ai aussi un parcours régimesque assez long. Premier "régime" à l'adolescence, avec une mère diabétique qui nous surveillait, ma soeur et moi, de peur de nous voir développer la maladie. J'ai donc été élevée dans un diététiquement correct omniprésent et obsédant.

pas de chocolat ou du chocolat de régime, pas de BN au choco, pas de frites, pas de Nut*, peu de gâteaux, bcp de légumes, de la soupe de légumes chaque soir, même en été, du poisson 2 fois par semaine

bref, une alimentation des plus "santé" mais aussi tellement frustrante pour moi. A cela, j'ajouterai une mère dépressive, une famille dans laquelle on ne s'exprime guère. Et les compulsions ont vite fait leur apparition. Je me souviens de ces après-midis où je m'enfermais dans ma chambre, au moment de la sieste obligatoire, pour manger des tablettes entières de chocolat noir aux noisettes que je m'étais achetées avec mon argent de poche et en culpabilisant bcp. Et ces retours du collège où je m'arrêtais à la boulangerie, choisissant des pains au chocolat, des croissant ou des beignets à la confiture que j'engouffrais sur le chemin de la maison. Sans apprécier vraiment, engluée que j'étais dans ma culpabilité.

Quand je suis partie de chez mes parents pour vivre avec mon mari, je me suis trouvée devant une liberté totale. Plus personne ne contrôlait ce que je mangeais. Et je me suis mise à manger, à manger...et à grossir...

après bien des années et des régimes, j'ai découvert Zermati puis Apfeldorfer, et j'ai essayé de suivre leurs principes depuis 2005, sans succès sur le poids. Pour ce qui est du mental, c'est mieux, je culpabilise moins lorsque je mange des choses "grossissantes" mais j'ai continué à prendre du poids. En 2008, j'ai perdu ma maman, j'ai mis du temps à m'en remettre, aujourd'hui encore, même si la douleur est moins forte. Et depuis 2008, j'ai encore pris 6kg, 6kg de chagrin, de manque, de culpabilité aussi de ne pas avoir tout fait comme il faut.

Bref, je suis aujourd'hui à la croisée des chemins. J'ai passé la quarantaine, mes enfants grandissent, même si je ne suis pas encore vieille, je me vois vieillir et je me dis que je ne peux pas continuer à être obsédée par le poids, la nourriture, la balance.

Il faut que je me libère. Et même si je sais que ce ne sera ni facile, ni rapide, j'ai décidé de m'impliquer dans ce programme qui, pour moi, reste la seule solution pour retrouver la sérénité.

Bonjour à toutes,

je m'appelle sophie, j'ai 31 ans et comme beaucoup d'autres ici, je souhaiterais enfin avoir un rapport apaisé à la nourriture.

Petite, le pédiatre disait à ma mère qu'il fallait que je fasse attention parce que j'avais une "tendance à l'embonpoint". Et pour être certain de bien marquer le coup, il l'a écrit à plusieurs reprises dans mon carnet de santé. Donc à partir de 8 ans environ, il a fallu faire attention, avec les rappels constants de ma famille (parents, oncles et tantes, grands-parents). Mon frère et ma soeur ayant toujours été régulés, j'ai trouvé que c'était une profonde injustice. A la fin de l'adolescence, je suis tombée sur une photo de moi quand j'avais justement autour de 8 ans et j'ai découvert que je n'étais pas grosse. Ma courbe de poids était dans la partie haute de la zone "normale", mais ma taille aussi. Et maintenant je pense que si on n'avait pas fixé mon attention sur cette "tendance à l'embonpoint", je n'en serais pas là.

Comme beaucoup également, j'ai commencé à vraiment prendre du poids au moment de la puberté - passage que j'ai détesté. J'ai commencé à perdre confiance en moi, alors que jusque là j'avais un caractère plutôt affirmé et que le regard des autres ne m'importait pas tellement. Depuis je me suis enfermée dans ma bulle et j'ai encore beaucoup de mal à m'en sortir. Cela ne m'a évidemment pas aidé à nouer des relations amoureuses, ce qui en retour n'a pas amélioré mon image de moi pendant l'adolescence, bref, cercle vicieux.

J'ai rencontré celui qui est maintenant mon mari il y a 9 ans et à ma grande surprise, cela n'a pas eu d'effet sur mon poids (ni dans un sens ni dans un autre). J'imaginais quand j'étais célibataire que c'était parce que j'étais seule que je n'arrivais pas à maigrir, mais il faut croire que le problème n'est pas là.

Mon rapport à mon poids est plus difficile depuis 3 ans environ, je me bats sur deux fronts : mon environnement professionnel qui n'est pas facile, peu de reconnaissance et quelques échecs ; et contre mon mari sur le sujet des enfants. Il en veut bien mais pas tout de suite, et moi j'aimerais qu'il se décide avant qu'il ne soit trop tard. On bloque là-dessus depuis 3 ans donc et j'avoue que ça m'empoisonne l'existence. Ne pas avoir à lutter aussi contre la nourriture et contre moi-même serait un grand bénéfice.

J'ai beaucoup lu les messages sur ce forum et je suis étonnée de voir à quel point les parcours des unes et des autres peuvent se ressembler et aussi l'impact que peuvent avoir quelques "conseils" gentiment distillés par nos chères familles. Quelques petits mots qui n'ont l'air de rien et qui peuvent nous suivre toute notre vie !

Je me rends compte que le ton de ce message est globalement un peu triste, mais si on avait toutes des parcours sans souffrance, on ne serait pas ici :)

Bon courage à toutes !

 

Bonjour,

J'ai fait le pas de m'inscrire, c'est un peu un cadeau que je m'offre en espérant arriver à faire la paix avec la nourriture et ne plus l'utiliser comme outils pour gérer les émotions, les conflits, le stress, etc. Je suis maman, j'ai 50 ans et je fais du télétravail à la maison.

Je me réjouis de vous découvrir mieux petit à petit.

j

Bonjour à tous,

Je suis inscrite depuis le 3 août et j'espère trouver ici une aide pour continuer un parcours commencé à la lecture des livres de Z. et A.

Il y a beaucoup de choses qui ont déjà changé dans mon rapport à la nourriture et donc dans mon rapport à la vie tout court. Cependant je suis parfois encore submergée par mes émotions et je dois "travailler" là-dessus.

à bientôt sur le forum

Pat

Bonjour à toutes les trois,

 

Je m'appelle Elodie et c'est mon premier jour :). Je suis impatiente de découvrir le programme, les exercices et tutti quanti. J'ai envie de sortir de ma bulle et me pencher un peu sur moi. Je suis disponible pour des petites discussions du soir. A bientôt.