Plus de 55 ans
Bonjour à toutes,
Voilà je suis nouvelle depuis le 24 mai dernier. Je n'ai pas l'habitude des forum. Est-ce du à mon âge ? Je n'en sais rien mais je me dis que je dois faire un effort si je veux continuer dans la durée ce programme.
Je pense que se sentir soutenue est très important.
Si j'ai fais ce nouveau post c'est que je me sens un peu perdue au milieu des autres. Beaucoup de jeunes avec des enfants. Moi, je n'ai plus d'enfants à la maison, ils sont tous mariés et parents également.
Je sais que vu mon âge, j'ai beaucoup plus de mal à perdre du moids .... par contre pour en prendre pas de soucis :-)
J'en suis au carnet EME à remplir.
Y a t'il d'autres personnes qui en sont au même point que moi et qui voudraient m'accompagner sur ce chemin ?
PS : mêlme si vous êtes plus jeunes vous êtes évidemment les bienvenues :-)
A bientôt j'espère
Bisous à toutes et bon courage
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Bonjour,
Je ne vois pas, Moniel, pourquoi tu te sens nulles ou inférieure nous avons toutes des hauts et des bas et si nous sommes là c'est bien que nous n'avons pas su résoudre seule notre problème face à la nourriture.
Personnellement je suis surLC depuis juin 2012, je crois !
en bref j'ai fait plusieurs fois la pause et même la très grande pause encore actuelle en ce qui concerne le parcourt forme
il faut dire que je me bouge un peu par moi même et que je suis encore en rééducation pour ma rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite ; d'ailleurs en ce moment même elle se rappelle à mon bon souvenir
le programme est faisable, en théorie, en 6 mois je crois avoir déjà pris 50% de rab et encore je dois en être au 2/3 du programme mais je me dis que j'ai le temps surtout si cela reste acquis définitivement ce que j'espère bien !
Vas à ton rythme c'est le bon !
A+
moi aussi :)
Il y a, me semble-t-il une constante pour nous qui appartenant au genre féminin, c'est le temps. Il me semble que nos compagnons de service ne sont pas autant soumis à chronos. Nous sommes petites filles et puis il nous arrivent des règles qui nous font basculer dans le monde des ados capables théoriquement d'enfanter. Impossible de revenir en arrière. Puis c'est le premier rapport sexuel, il nous marque dans notre corps et là aussi, impossible de revenir en arrière. Oui, je sais il y a l'opération de reconstruction de l'hymen, mais la marque intérieure de la première défloration, qui peut l'effacer. Nous devenons adultes et il faut env 9 mois de gestation pour qu'un enfant naisse, qq mois pour le nourrir de lait (maternel ou non) et là aussi, c'est comme une voiture sans marche arrière. Arrive, la ménopause et re-belote chronos nous rattrape. Est-ce pour cela, que nous les femmes, sommes tellement aptes à nous rappeler les dates d'anniversaire, de naissance, de mariage, de décès ? alors que "nos" hommes se souviennent plus des n° d'immatriculation de leur voiture ?
Et pour moi, j'ai un tempérament qui m'incline à la patience, l'excessive patience qui a pu être prise pour de la passivité. Un jour, j'ai trouvé un proverbe indien (paraît-il) :
"Quand l'élève est prêt le maître arrive."
Et finalement des maîtres on en trouve partout : dans la patience des graines, dans la fleur qui déploie ses pétales parce qu'elle est fleur et que c'est ainsi mais en tout cas pour satisfaire son égo, ni pour la récompense. Dans l'animal femelle qui prend soin de ses petits.
La patience des graines qui les fait se laisser lentement transformer, par la terre, la pluie, l'animalcule qui la dérange, la change de place, le ver de terre qui aère son terreau, son enveloppe qui peu à peu se fissure, libère le coeur qui deviendra, fleur, fruit ou... mauvaise herbe, non, pas mauvaise herbe mais herbe indésirable.
Mais pourquoi, diable, est-ce que je vous écris tout ça ?
bizatoutes
je ne sais pas pourquoi tu écris ça, mais j'adore......
Merci
Bonjour à toute,
Je vous remercie de votre compréhension.
Quand je me suis relue je me suis trouvée un peu nombriliste 
d'autant plus que moi aussi certaine semaine je n'arrivais pas a écrire parce qu'absorbée par mon parcourt personnel
mais j'ai parfois besoin, même à mon âge 
, de me sentir pardonnée de mes maladresses verbales dont je n'arrive pas à me départir
. Qui sait en continuant le psy et la pleine conscience ? je finirais bien par progresser
J'ai eu beaucoup de mal à m'astreindre a faire correctement la semaine de découverte de la saciété, mais au fûr et à mesure que la semaine avance on se sent progresser et ça c'est génial ! 
D'ailleurs, pour moi, ce principe est vrai pour tout le programme LC :
- Devant chaque étape je doute, je ne suis pas sûr d'y arriver...
- quand je m'élance je me fustige de ne certainement pas faire parfaitement
- puis je me dit que finalement ce n'est pas si compliqué
- je suis fière d'y arriver
- et à la fin je vois que j'ai progressé (je commence enfin à me départir d'un peu de mes rembourrages)
De plus votre présence sur les forum m'aide à relativiser et me donne des idées de livres ou de CD qui amplifient le processus
J'ai vraiment l'impression que je vais enfin arriver à voir la vie en rose
A+
coucou Liza
Tu avais simplement envie d'avoir des contacts avec celles qui écrivent sur ce forum.
Je te comprends bien car j'ai le même genre de réaction fasse à toute nouvelle étape du programme. Suovent je mets un jour à me décider à commencer. Je suis dans l'expérimentation de la bonne faim.Ne pas petit déjeuner me faisait peur ( ouf j'arrive à admettre ce sentiment ) mais j'ai réussi à commencer . J'ai fait 3 jours il me reste demain.
Et puis vous avez toutes l'air de tellement bien réussir dans le programme que "je me sens un peu nulle". même si je sais que j'ai commencé il y a trop peu de temps ...
merci aussi Marie de nous développer ta réflexion, même si tu ne sais pas pourquoi
bises
A+
Monielle
T'inquiète pas Monielle, c'est le parcours qui est intéressant, non le temps que l'on met à le faire, ni l'impression que l'on peut donner. Impression qui n'est pas la réalité parce qu'une impression n'est jamais la réalité.
Personnellement, je suis restée presque deux mois comme un cheval rétif devant l'épreuve de la dégustation. Elle me semblait sans intérêt, compliquée à souhait, et j'avais peur de la vivre pensant que si j'apprenais à déguster ce que je mange, à lui trouver du goût, c'en était fini pour moi, j'allais tomber encore plus dans l'attrait de la nourriture.
Comme un cheval rétif, je refusais d'avancer en terrain inconnu, comme un enfant qui dit : j'aime pas ça avant d'avoir goûté. C'est l'inverse qui s'est produit. Presqu'aussitôt, mon corps avec son intelligence a découvert, qu'il lui en fallait peu pour être heureux de manger. Ce fut comme un éblouissement car jamais je crois je n'avais découvert qu'il était bon et agréable de manger. Jusque là, j'engouffrais. L'estomac calé et sur-calé me donnait une euphorie de plénitude artificielle avec en arrière plan une culpabilité de m'être laissée aller une fois de plus.
Il est possible que de temps en temps, me reviennent des compulsions. On verra ou plutôt, je verrai. En attendant, un pas a été fait et j'ai tendance à penser qu'il sera sans marche arrière.
Marie, je suis comme toi, j'arrive pas avec la dégustation.Faut dire que je suis en plein syndrôme grippal, alors je ne sens rien. Je vais attendre calmement,car tu me promets des miracles!
Monielle, en voilà une idée... porquoi donc serais tu nulle?
je suis comme toi, chaque novuelle étape, je bloque un peu
et il en est de même pour beaucoup de choses dans ma vie...
un nouveau morceau de piano, et je bloque
un dossier à faire et je bloque...
je dois me pousser du coude, me donenr des coups de pieds parfois pour commencer
mais une fois que c est commencé, comme je suis contente
et ensuite quand j'ai terminé, je ne te dis pas.. mais c'est reparti pour un blocage autre...
:) :)
bisous à toi