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Défi : bonne faim

Se réconcilier avec ses sensations alimentaires Trouver et aimer la bonne faim
Animatrice forum En or (1004) Très actif (30)
01 nov 2014 à 11h

Allez, vous ne seriez pas contre un petit défi

 

comme plusieurs parmi nous, j'ai toujours tendance à "oublier" la bonne faim   et me précipiter à manger  dès que j'ai une "petite" faim  (surtout si c'est l'heure!!!!)

 

or récemment j'ai essayé de me recaler avec ma bonne faim et je me suis aperçue que c'est beaucoup mieux,  en terme de gout, de satiété (et de perte de poids!)

 

alors comme j'ai quand même du mal à aller la chercher, la bonne faim, avec l'estomac qui tire,  j'ai envie de faire un défi collectif

une ou plusieurs "bonne "  faim par jour

 

qu'en dites-vous?

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923 commentaires

chocoboum je te rejoins dans la frustration d'avoir l'impression que l'on perd ses acquis dès que le stress entre dans notre vie. 

J'ai l'espoir qu'à force de me confronter à ma peur de la faim et à ressentir les signaux, j'arriverai un jour à avoir ce que Zermati appelle "être inconsciemment compétent", c'est à dire ne plus être dans l'attention et l'effort de l'attention qui est pesant à la longue. 

Pour l'instant je suis consciemment incompétente mais j'avance. 

Pour moi ce matin pas faim vu qu'hier soir après les brocoli c'est un peu parti en EME avec du far au pruneau en moyenne quantité. Mais je suis fière d'avoir réussi à me servir une petite portion d'un pdj et de n'avoir mangé que 3 bouchées pour accompagner mon thé. Maintenant je me sens plus à l'aise d'attendre la bonne faim de nouveau.

Il est 13h20 et je ressens les signaux de la bonne faim du midi, léger mal de tête, faiblesse, tête qui tourne un peu, salivation et creux à l'estomac et je sens que je m'énerverai si on me disait qu'il faille attendre encore 2h avant de manger.

Je suis assez étonnée d'avoir "tenue" tout ce temps depuis mon levé, soit 6h sans manger ou 3 bouchées ce matin. Si ces quantités sont vraiment celles qui me conviennent je me dis que je vais beaucoup maigrir à manger tellement moins.

J'ai finalement mangé avec une bonne faim, après PC de 5 mn, en dégustant mais sans me forcer à déguster (ce qui fait une grande différence pour moi), car la dégustation vient tellement plus naturellement avec la bonne faim (enfin c'est ce que j'ai compris depuis peu). 

J'ai enfin compris ce que veux dire : se centrer sur ce qui se passe en bouche. 

J'ai dégusté mon plat et un peu de choc en dessert et pris du plaisir et tout ceci me rassure sur ma capacité à m'écouter. 

J'ai aussi ressentie des émotions et fait des liens avec mon passé. Ai réalisé que la sensation de faim était depuis toujours liée à du stress, de l'anxiété, de la peur de manqur, d'être privée. soit du à tous les régimes où je me suis affamée et où à chaque fois que j'avais faim mais que je ne pouvais pas manger (à cause du régime) je subissais cette sensation comme une énorme punition pour ma nullité totale à perdre du poids.

Le stress lié aux sensations de faim provenait également des repas où, quand enfin je me mettais à table, je n'avais pas l'assurance de manger à ma faim, les autres mangeait parfois plus vite que moi et il n'y avait plus de nourriture, et l'ambiance était toujours très tendue.

Bref, de la même manière que l'EME-zen m'avait permis de prendre conscience des associations que j'avais fait entre certains aliments tabous (comme le Nutella ou chocolat) et la tristesse et le réconfort qui les accompagnaient quand j'en mangeait. Une fois ces aliments dégustés dans un contexte émotionnellement neutre et avec appétit me suis rendue compte que je ne les aimais pas et j'ai arrêté de compulsé dessus. C'est les associations qu'il me faut casser pour me libérer.

Ce matin petite faim mais j'ai accompagné mon mari avec une tranche de pain beurrée. 

Dans la mâtinée, 11h, gros gargouillis mais j'ai laissé passé. 

Vers 12H45 je pense que j'avais une bonne faim mais j'aurai pu attendre, toutefois j'ai préféré (encore une fois) manger petitement pour la convivialité mais également car mon enfant faisait la sieste et c'est une denrée rare que de pouvoir manger au calme alors j'en ai profité. J'ai pas eu envie de dessert mais d'une bouchée rafraîchissante avec 1/2 mandarine. Je ne crois pas avoir mangé 1/2 mandarine seulement et avoir eu envie (je dis bien envie) de laisser l'autre moitié car je n'en avais plus envie justement. 

pour moi pas trop faim ce matin, mais on avait de la compagnie au petit dej, donc je me suis laissée tentée....

de plus je vais au sport, donc.....  franchement j'aurais pu ne rien prendre aussi, mais bon  vive la souplesse.....

ce matin une petite faim mais je préfère garder le plaisir convivial du pdj, j'ai mangé plus petitement que d'habitude. Me suis activée physiquement (déménagement de cartons de stock) toute la mâtinée et à 11H30 je commençais à avoir les gargouillis et les premières sensations de faiblesse.

j'ai finalement mangé à 13H, un peu vite et sans trop faire hyper attention mais en prenant du plaisir, laissant la tête de côté en écoutant mes appétits.

Je commence à me sentir un peu mieux dans mes pantalons, ce qui est bon signe et me confirme l'importance (une fois la majorité des EME gérées) de respecter la bonne faim.

Ce matin petite faim, j'ai consciemment décidé de ne manger qu'une petite tartine au lieu de deux. Mais ça m'a tenu jusqu'à 13H00. Ca me rassure un peu plus chaque jour de voir que je n'ai pas besoin des quantités que je mangeais jusqu'ici mais aussi de voir à quel point je mangeais trop pour mes besoins. 

Ce midi une vraie bonne faim (chouette), mais une fin de repas avec une EME dû à l'énervement que je ressentais face à une situation sur laquelle je n'avais pas de maîtrise. Heureusement je suis sortie de table avant d'entamer ma 3ème tranche de pain beurré avec fromage. 

Ce soir, vu l'EME de ce midi, petite faim de rien du tout, je prend un petit bol chinois de soupe de courge histoire de ne pas me frustrer (je me rappelle que la souplesse m'apportera plus sur le long terme que la rigidité) ce qui entraîne des EME. 

Cette semaine d'attention particulière à la bonne faim m'aide beaucoup.

ce matin pour moi une bonne faim, mais pas trop intense

j'étais un peu perturbée de ne pas petit-déjeuner seule !

voilà un repas que je prends habituellement seule et dans le silence

coucou

Je viens d'expérimenter la faim : attendre pour manger d'avoir faim - en fait j'ai du mal à savoir si j'ai faim ou non - du coup j'ai perdu 1kg pdt l'expérience - 

je trouve que c'est difficile qd on attend de ressentir la faim, de faire la distinction entre la "vraie faim physique" et celle qu'on croit avoir parce qu'on y pense -

bref, je crois que j'ai vraiment parfois attendu trop lgtps, jusqu'à avoir les oreilles qui bourdonnent et mal à la tête... c'est pas malin ! Mais depuis, je suis contente, parce qu'il me semble maintenant mieux sentir la "bonne faim" : creux à l'estomac ??? c'est ça - 

mais je me rends compte qu'alors, je me mets à manger mais qu'une très petite quantité me suffit - je suis calée tout de suite

pour répondre à Odimio, pour moi  entre la petite faim et la bonne faim, c'est variable, mais de 1 à 2h environ

parfois plus en fait

c'est vrai qu'au bout d'un moment la petite faim, on la zappe, je pense que c'est normal

 

de mon côté  : bonne faim hier soir  (assez rare le soir)

ce matin ET maintenant, ce midi

je suis même assez affamée (et un peu trop speed)