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Un fil pour les "pas grosses mais..."

Communauté et échange Recherche de binôme pour avancer Ensemble
21 Aoû 2014 à 08h

J'espère que mon titre ne choquera personne, mais c'est le mieux que j'aie trouvé...!

 

J'avais envie d'ouvrir un fil pour les linecoaché(e)s qui, comme moi, ne sont pas en surpoids, mais ont néanmoins des problèmes à régler avec leur façon de se nourrir ;-)

 

Je traine sur LC depuis trèèèès longtemps, donc j'ai déjà papoté avec pas mal d'entre vous. Je mepermets quand-même de me présenter rapidement: j'ai 33 ans, je vis en Suisse, je suis à moitié suisse et à moitié italienne.

Je n'ai pas de problème de poids réel (environ 64kg pour 1m68) mais je suis une grosse mangeuse émotionnelle...

Je peux perdre 1 kg en deux jours juste par stress ou peur, et je prends du poids (mais jamais beaucoup) quand je calme et anésthésie mes émotions avec des cochonneries...

Je n'ai jamais fait de régime, mais j'ai eu quelques grosses variations de poids dans ma vie: à 18 ans, j'ai pris 5kg parce que je ne me sentais pas bien dans ma vie, grosse timidité à l'époque, qui me gâchait la vie. Puis à 20 ans, première histoire d'amour, ça m'a tellement bouleversée qu'en quelques mois j'ai perdu 10kg, les émois amoureux me coupaient l'appétit!

Après je suis gentiment revenue à mon poids de croisière, qui se situait vers 57-58kg à l'époque (mais maintenant que j'y repense, j'ai certainement "gagné" 1kg à ce moment-là, mon corps a dû réagir comme si j'avais fait un régime)

Ensuite je suis restée stable quelques années vers 58-59, puis on découvre que ma mère a un cancer, je me mets en couple, et là je passe les 60kg... Puis l'état de ma mère s'aggrave, en 2 mois à partager ma vie entre boulot et hôpital, je perds 5kg, incapable de manger quoi que ce soit... Directement après je pars 3 mois en Nouvelle-Zélande, mon mec m'ignore et moi je ne vis que pour le moment où enfin je pourrai aller skyper avec ma famille pour avoir des nouvelles de ma mère... Reprise des 5kg...

Puis retour en Suisse, 6 semaine après ma mère meurt, un mois plus tard mon mec me quitte... ça fait 4 ans, j'ai encore pris quelques kilos, là je ne me pèse plus trop mais je tourne autour des 64kg je pense...

 

Je me rends compte que je suis une mageuse régulée depuis toujours, mais que je gère mes émotions soit en ne mangeant plus, soit en bouffant plus que de raison...

Je n'ai jamais perdu de poids avec LC, tout au plus compris ce qu'il m'arrive... Mais je pratique régulièrement la RPC, pour travailler sur mes émotions justement, sans effets pour l'instant sur mon poids... Sinon je suis capable de jeter de la nourriture, de ne pas terminer mon assiette et je sais reconnaître ma satiété, avec des aliments faciles, comme le fromage par exemple...

Oui je sais reconnaître et appliquer tout ça, la base de LC, mais pas toujours... PArce que dès que je ne gère plus mes émotions tout fout le camp...

Du coup je trouve difficile de continuer ce programme, et je me sens souvent illégitime par rapport aux personnes ayant un surpoids important...

Je sais qu'il y a parmi vous des personnes ayant un poids "normal"... Alors peut-être auriez-vous aussi envie de partager sur ce fil, peut-être pourrieons-nous trouver des moyens de nous encourager ;o)

 

Voilà, je lance la discussion, on verra bien!

Bonne journée!

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97 commentaires

[quote=izabelle]

chaque émotion est utile, et elles nous aident à réagir au monde

la colère nous apprend qu'on nous a manqué de respect et qu'il est temps de rétablir une limite

la tristesse nous aide à accepter ce qui ne peut être changé

la peur nous prépare à relever des défis

sur toutes ces émotions, la défusion ne s'applique pas, car ce sont des émotions pures, sans pensée

 

la défusion n'est intéressante que pour nous aider à donner moins d'importance à  certaines pensées, liées à certains ressentis, eux-mêmes liés à des familles d'émotions

ça aide surtout à faire en sorte que l'histoire de la nulle, de la bouteille de perrier (je me souviens!!), de la fille seule ou de la fille non reconnue dans son travail   ne nous occupent plus l'esprit  A CE POINT LA

[/quote]

Oui, oui, MERCI Izabelle pour ta patience. Et ce que tu dis là vient de faire tilt, parce que je mélangeais jusqu'à présent pensées et émotions. Je SAIS très bien que ce n'est pas la même chose, mais là, avec ce que tu viens de détailler là-haut, je crois que je viens de comprendre.

J'ai eu une période de grande colère envers mon ami, et tous les soirs, je faisais la vaisselle en ruminant des pensées négatives ("pourquoi c'est à moi de faire ça, moi aussi j'ai bossé toute la journée, patati patata....") et la défusion a super bien marché sur ces pensées, et en plus j'ai fini par ne plus être en colère. J'ai dû inconsciemment en conclure que défusion = plus de colère, or pas du tout!!!!

A chaque fois que j'essaie aussi d'appliquer la défusion quand je pars "en vrille" et que la tristesse m'envahit par exemple, ça ne fonctionne pas. Je crois qu'Izabelle, tu me disais dans un autre post, qu'il fallait alors se centrer sur ses sensations dans son corps.

C'est drôle, tout ce que tu dis, toi tu l'as compris (et tu le ressens), c'est clair et limpide, mais moi c'est comme s'il fallait que je mette les bouts d'un puzzle dans le bon sens pour que que ça finisse par avoir du sens pour moi.

Je fais aussi cette erreur de vouloir "faire taire " mes émotions. Je suis une personne qui a régulièrement le "vague à l'âme", et au lieu de l'accepter et de le vivre, je me dis "oh non, ça revient, cette déprime..".

J'ai récemment réussi à ne plus prendre mes moments de fatigue pour une fatalité (après plusieurs jours où fillette me réveille la nuit, par ex), en me disant: je constate que je suis fatiguée, je peux quand même vivre cette journée, même avec la fatigue auprès de moi. Bien sur, la fatigue n'est pas une émotion, mais j'aimerais  réussir cette acceptation avec la tristesse: ok, je suis triste et mélancolique, je peux quand même vivre cette journée!!!

Voilà pourquoi je n'arrive pas encore à me désabonner: je louperais ce genre de discussion passionnante!!!!!!!! ;-)

oh ben moi j'étais comme vous, tout simplement

et parce que j'ai lu ICI  (sur les tchats du mercredi)  à peu près 100 fois que le problème n'était pas les émotions, mais le fait de ne pas les tolérer  qu'au bout du compte ça a pu faire sens peu à peu

ensuite après avoir beaucoup pratiqué l'acceptation émotionnelle, je me suis aperçue que c'était déjà écrit dans  "maigrir sans regrossir, est-ce possible"  et que pourtant je n'avais pas vraiment tilté à l'époque

donc ça ne me dérange pas de "redire"  parce que je sais très bien que pour sortir d'un fonctionnement comme la lutte émotionnelle, qui est si ancrée que c'en est devenue un REFLEXE (pour moi c'était le cas depuis plus de 30 ans),   il faut le temps que  "ça rentre", ça fasse son chemin

de plus, je sais qu'il y a toujours quelqu'un d'autre qui va lire ça, et à qui ça va servir,  ladite personne pouvant être nouvelle et ne pas avoir lu les milliers de fils du forum

 

ensuite pour passer de la théorie à la pratique, y'a pas de mystère, faut se lancer....   faut mettre les mains dans le cambouis, accepter de vivre des expériences émotionnelles désagréables en pleine conscience

ce n'est qu'en s'y confrontant, en le vivant qu'on finit par se rendre compte qu'on se battait vraiment contre soit des moulins à vent (les histoires), soit nos meilleurs amies (les émotions)

 

 

Violette, quand tu penses à maigrir 10 fois par jour, c'est parce que pour ton cerveau, ça serait un moyen de "controle", genre  "si je maigrirs, tout le monde m'aimera et plus jamais je ressentirais ces trucs désagréables" (le cerveau n'st en fait pas très malin des fois.... ;-)

entrer dans l'action, pour toi, ça va être surtout t'autoriser à ressentir avant tout

moi j'ai vraiment commencé le jour où j'ai commencé à réellemetn déguster avec mes papilles gustatives sans rien m'empecher de ressentir,  grace à un défi de Fadinarde, je crois bien!!!!  (tu vois, je te suis redevable)

 

au fait Fadinarde, oui, félicitations!!  je suis super contente pour toi

 

Cilou, oui, se recentrer sur ses sensations corporelles, pour moi c'est aussi LE truc qui m'a permis de sortir du controle des émotions par le mental  (parce qu'il était bien bien ancré le controle)  donc je suis contente que ça te réussisse aussi

[quote=izabelle]

Violette, quand tu penses à maigrir 10 fois par jour, c'est parce que pour ton cerveau, ça serait un moyen de "controle", genre  "si je maigrirs, tout le monde m'aimera et plus jamais je ressentirais ces trucs désagréables" (le cerveau n'st en fait pas très malin des fois.... ;-)

entrer dans l'action, pour toi, ça va être surtout t'autoriser à ressentir avant tout

moi j'ai vraiment commencé le jour où j'ai commencé à réellemetn déguster avec mes papilles gustatives sans rien m'empecher de ressentir,  grace à un défi de Fadinarde, je crois bien!!!!  (tu vois, je te suis redevable)

[/quote]

Tu as raison, Izabelle, le cerveau n'est pas très malin! Mon cerveau continue à associer des choses complètement irrationnelles, sans aucune relation entre elles: minceur = intelligence (on voit à quel point il n'est pas malin, ce cerveau!), minceur = volonté, minceur = dynamisme, minceur = bonheur, etc....

Attention, ne vous méprenez pas, ce n'est pas du tout ce que moi je crois, mais j'ai l'impression que mon inconscient s'accroche à ce genre de croyances.

Je me suis rendue compte de ça récemment: quand je vois ma voisine mince, tout de suite, je me sens "moins". Moins quoi? C'est une bonne question. J'associe carrément la minceur avec les valeurs, c'est plus "si je maigris, j'aurais enfin les bonnes valeurs pour vivre ma vie" (et tout le monde m'aimera, et  la vie ne sera plus désagréable, bien sur!! :-D)

On est d'accord, c'est du grand n'importe quoi!!! (petite réflexion qui surgit en passant, quand j'étais mince, je me sentais déjà "moins", je crois que j'en reviens au problème d'estime de soi)

Je vais essayer de m'autoriser à ressentir....

[quote=Violette28]

 Mon cerveau continue à associer des choses complètement irrationnelles, sans aucune relation entre elles: minceur = intelligence (on voit à quel point il n'est pas malin, ce cerveau!), minceur = volonté, minceur = dynamisme, minceur = bonheur, etc....

[/quote]

ce sont des associations qui se sont créées au rythme de la société, des inquiétudes que tu as eu enfant et celles de tes parents, de ta conscience du regard des autres et comment faire en sorte que ce regard soit positif

du moment que tu en as conscience et que tu ne "rentres" pas dans ce bateau, mais que tu regardes ça d'un oeil distrait, amusé, cela devrait prendre de moins en moins de place peu à peu

[quote=Violette28]

Je fais aussi cette erreur de vouloir "faire taire " mes émotions. Je suis une personne qui a régulièrement le "vague à l'âme", et au lieu de l'accepter et de le vivre, je me dis "oh non, ça revient, cette déprime..".

J'ai récemment réussi à ne plus prendre mes moments de fatigue pour une fatalité (après plusieurs jours où fillette me réveille la nuit, par ex), en me disant: je constate que je suis fatiguée, je peux quand même vivre cette journée, même avec la fatigue auprès de moi. Bien sur, la fatigue n'est pas une émotion, mais j'aimerais  réussir cette acceptation avec la tristesse: ok, je suis triste et mélancolique, je peux quand même vivre cette journée!!!

[/quote]

J'aurai pu écrire la même chose, Violette! Merci! smiley

Depuis LC (avec les forums et les blogs, surtout) et la RPC, pratiquée quasi tous les jours, j'aime être dans l'action. Mais quand je n'y suis pas, notamment parce que pas envie, eh ben quoi? Le vague à l'âme...et là, depuis qq temps seulement (c'est vraiment pas vieux), je commence à accepter ces coups de moins bien, qui ne signifient pas que je suis nulle ou que l'énergie ne reviendra plus jamais (ce fonctionnement en tout ou rien).

Pareil pour la fatigue: avant impossible d'envisager de vivre sereinement une journée fatiguée donc gros stress pour me coucher tôt et bien dormir (ce qui produit bien sur tout le contraire....)smiley

Merci à Izabelle, aussi, pour le truc de recentrer sur ses sensations corporelles, quand on sent que l'esprit part à la dérive, quand on se dit "ok, je ne pense plus à ça mais alors je pense à quoi?". Je l'avais lu de nombreuses fois mais ça n'avait jamais fait tilt. Je pratique depuis 3 semaines et ça commence à devenir automatique et surtout ça fait beaucoup de bien!

J'ai failli oublier: félicitations Fadinarde!! Je suis très contente pour toi et pour ton nouveau job! Depuis que je suis sur LC et que je te lis, on sent chez toi cette aspiration à autre chose, à un nouveau travail et parfois ton découragement de ne rien trouver. Et là, ça y est! Donc je suis vraiment contente pour toi, ça me fait plaisir!!!

izabelle, j'espère que tes réponses ci-dessus seront utiles à fadinarde, mais en tout cas, pour moi, certaines phrases font tilt. Cette nuit, je lisais ton fil sur la défusion, apprendre à accepter ce qu'on ne peut changer (une relation sentimentale quii s'effiloche contre mon gré), tristesse et colère à la fois, mais je crois, en y réfléchissant bien, que je suis en colère contre moi parce je n'arrive pas à l'accepter et à faire avec, justement. Lorsque je lis dans tes propos que  "la tristesse nous aide à accepter ce qui ne peut être changé", j'ai l'impression que je tourne en rond sad

[quote=Kaylee]

apprendre à accepter ce qu'on ne peut changer (une relation sentimentale quii s'effiloche contre mon gré), tristesse et colère à la fois, mais je crois, en y réfléchissant bien, que je suis en colère contre moi parce je n'arrive pas à l'accepter et à faire avec, justement. Lorsque je lis dans tes propos que  "la tristesse nous aide à accepter ce qui ne peut être changé", j'ai l'impression que je tourne en rond sad

[/quote]

mais dans les relations sentimentales, il y a tellement de choses mêlées....

des choses qu'on peut changer et des choses qu'on ne peut pas

(la seule chose qu'on peut changer, ce sont ses actes, et son positionnement intérieur)

 

la tristesse, oui, elle sert à accepter ce qui ne peut être changé, mais elle prend son temps

elle est très utile lors d'un deuil, mais on n'est pas triste 10 min et puis c'est bon

on est triste pendant longtemps

j'imagine que ça peut être similaire quand une relation s'effrite

pour ma part je ressens la même chose quand mes amis s'en vont et m'échappent

c'est vrai qu'on ne peut changer une chose, c'est que l'autre veuille être avec vous, qu'on l'intéresse

 

mais de là à se mettre en colère contre soi, ça me semble un peu exagéré 

tu es triste que cet homme ne soit pas plus présent dans ta vie (ou sur le point de s'en aller) et c'est normal

tu es peut-être en colère contre lui de te faire ressentir des choses désagréables sur toi-même, comme le fait d'être non-aimable ou non interessante  et c'est normal

mais être en colère contre toi je ne vois pas pourquoi

si tu n'arrives pas encore à accepter eh bien c'est simplement qu'il faut laisser du temps

et autoriser la tristesse à être là pour faire aussi son oeuvre

c'est vrai que si on la bloque, elle ne peut travailler aussi efficacement que si on la laisse exister

 

ce qui est important avec les émotions, c'est de se mettre à leur tempo

la tristesse prend du temps

si pour l'instant tu es triste et en colère, c'est que ce travail est en cours

c'est vrai que dans ce moment-là ce n'est pas très agréable à vivre, mais c'est bien ce qui nous permet au final, de passer à autre chose, de s'orienter vers ce qui est bon pour nous, ce qui nous convient, d'aller vers d'autres types de personnes

en tous cas j'ai envie de te dire : sois bienveillante avec toi-même et laisse-toi le temps

il est normal que cela soit difficile de terminer une relation qui compte

 

[quote=Chléa]

Ca me rend folle de ne pas réussir à faire en sorte que "ça " s'arrete...et c'est totalement insupportable pour moi d'imaginer vivre avec ça pour toujours ( et là je suis en plein dans le complexe de la , en plus, fille seule )

[/quote]

un an c'est pas pour toujours.....

ce n'est pas toi qui fera que ça s'arrête, mais si tu autorises tes émotions à être plus présente,  tu seras plus à même, en te donnant le temps, de faire face à cette situation

c'est important de lacher le controle, pour les émotions, leur faire confiance,  au lieu de vouloir les arrêter

c'est elles qui "font le job",  et en les écoutant, on a des infos précieuses

c'est souvent amer, difficile mais salvateur

 

 

pardon d'avoir dévié sur le sujet de base.......  mais c'est plus simple de répondre dans le fil où les questions sont posées

 

peut-être qu'on devrait ouvrir plus de fils sur l'acceptation émotionnelle car finalement c'est un peu le "noeud" du problème pour pas mal de gens (en tous cas pour moi)

[quote=izabelle]

peut-être qu'on devrait ouvrir plus de fils sur l'acceptation émotionnelle car finalement c'est un peu le "noeud" du problème pour pas mal de gens (en tous cas pour moi)

[/quote]

ll y a un très bon parcours alimentaire, sur ce site. Le parcours sportif, je ne sais pas trop, j'ai assez vite laissé en plan. Mais pour le "parcours émotionnel", heureusement qu'il y a le forum. Je suppose que c'est nettement moins simple d'élaborr un "parcours émotionnel", ou même pas possible.

Je me disais aussi qu'il y a beaucoup de chat avec les docteurs ou les coachs pour aider à débuter, mais aucun dans le groupe des experts. Après, je ne sais pas ce que j'en attendrais (sinon, je pense que j'aurais soumis l'idée dans le fil des idées d'amélioration). Rien qui parle de balance ou de faim, en tous cas.

[quote=Pattie]

ll y a un très bon parcours alimentaire, sur ce site. Le parcours sportif, je ne sais pas trop, j'ai assez vite laissé en plan. Mais pour le "parcours émotionnel", heureusement qu'il y a le forum. Je suppose que c'est nettement moins simple d'élaborr un "parcours émotionnel", ou même pas possible.

Je me disais aussi qu'il y a beaucoup de chat avec les docteurs ou les coachs pour aider à débuter, mais aucun dans le groupe des experts. Après, je ne sais pas ce que j'en attendrais (sinon, je pense que j'aurais soumis l'idée dans le fil des idées d'amélioration). Rien qui parle de balance ou de faim, en tous cas.

[/quote]

c'est très vrai ce que tu dis

je pense que c'est en effet assez dur d'aborder des problématiques émotionnelles par un "parcours", ou un truc trop cadré qui nous fait passer essentiellement à coté de la profondeur de l'émotion

le forum permet d'échanger, et là en échangeant je trouve en effet que ça apporte ce coté là,  plus plein, plein de la richesse de l'échange et des résonances émotionelles entre nous

pour le groupe des experts, il y a le tchat du quotidien, et on peut se programmer des discussions entre nous, ou alors passer voir "s'il y a quelqu'un"  moi je passais à une époque et y'avait jamais personne!!!!  donc j'ai arrêté

mais pour ma part  le tchat à 4 ou 5, je trouve ça dur à suivre, j'ai tendance à préférer le forum

mais ça peut être intéressant que tu creuses un peu pour savoir ce qui pourrait nous aider, à progresser sur le domaine émotionnel, y'a peut-être des choses qu'on peut faire, soit dans le forum, soit dans les groupes

 

le forum permet d'échanger, et là en échangeant je trouve en effet que ça apporte ce coté là,  plus plein, plein de la richesse de l'échange et des résonances émotionelles entre nous

pour le groupe des experts, il y a le tchat du quotidien, et on peut se programmer des discussions entre nous, ou alors passer voir "s'il y a quelqu'un"  moi je passais à une époque et y'avait jamais personne!!!!  donc j'ai arrêté

mais pour ma part  le tchat à 4 ou 5, je trouve ça dur à suivre, j'ai tendance à préférer le forum

mais ça peut être intéressant que tu creuses un peu pour savoir ce qui pourrait nous aider, à progresser sur le domaine émotionnel, y'a peut-être des choses qu'on peut faire, soit dans le forum, soit dans les groupes

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Moi ça m'intéresserait bien de tchater mais comment fait-on ? C'est en journée ?

BISOUS A TOUTES