Découvrez les témoignages de nos membres
Le parcours alimentaire est très bien car je vais à mon rythme, c'est-à-dire pas très vite. Il me faut du temps pour assimiler tout ce que l'on nous dit et me l'approprier. Alors j'ai décidé de passer le temps qu'il faut sur les différentes étapes du parcours. J'ai moins utilisé le parcours forme car je vais dans une salle de sport au moins 3 fois par semaine pendant 1h30 environ.
Martine, 54 ans, Alsace.
Au début du parcours alimentaire je suis allée très vite, cela me semblait nécessaire. Je prends plus mon temps aujourd’hui, je profite de mon nouveau rapport à ma nourriture, à mon corps. Je suis aussi moins assidue sur mon parcours forme qu'au début mais j’ai réintroduit le sport au moins une fois par semaine. Je reprendrai cet hiver, je préfère profiter de l’extérieur. Par contre je trouve un peu surestimées les capacités supposées en fonction du questionnaire d'entrée du parcours forme.
Cathy, 42 ans, Strasbourg.
Jusqu’à aujourd’hui, le fait de poser par écrit chacun de mes repas fait office de « supervision personnelle », de prise de conscience… En fait, le parcours alimentaire n’est guère contraignant. Seul le travail sur la faim et le sentiment relatif favorise et engendre la prise de conscience de son propre fonctionnement. Quant au parcours forme, il est parfait, bien adapté !
Claude-Alain, 60 ans,
Suisse
J’aime bien ces étapes pas trop longues. J’aime remplir les carnets même si c’est un peu contraignant, ça aide aussi à ne pas faire n’importe quoi de savoir qu’on va l’écrire, le lire, le regarder. Je mange beaucoup moins. J’ai beaucoup moins de compulsions. Je mange quand j’ai faim, je ne mange que ce que j’ai envie de manger. J’ai encore des soucis avec la satiété, mais rien à voir avec « avant ». Je suis bien plus tranquille, ma colère, mon dépit, mes frustrations ne sont plus cachées derrière du chocolat. Pour le parcours forme, je m’en suis servie beaucoup le premier mois, moins ensuite dans la mesure où j’ai plutôt essayé de marcher vraiment davantage. Et je vois que ça marche, je suis moins essoufflée quand je grimpe la méchante côte du parc à côté de chez moi.
Nathalie, 47 ans, Paris.
Le parcours alimentaire est la clé. Il propose des exercices réguliers, qui permettent de prendre conscience en pratique de certaines choses. Quand on lit qu’il faut manger quand on a faim, cela parait évident et on ne voit pas très bien où on veut en venir. Mais faire l’exercice et ressentir les différents degrés de faim, ça c’est parlant. Je n’ai pas du tout fini, car j’en suis à l’étape de la dégustation (trois bouchées). Le parcours forme m’a relancé au niveau physique, sans que cela me mette en difficulté. D’ailleurs, j’ai repris le fitness, je fais aussi du yoga et du badminton de temps en temps. Je pèse aujourd’hui 87 kg, mais les gens ont l’impression que j’en ai perdu beaucoup plus car le sport affine.
Marina, 33 ans, Sarthe
On mange « trop » pour une raison qui n’a rien à voir avec la nourriture mais plutôt pour une autre cause : le stress, une raison affective, les protocoles, les mauvaises habitudes «sociales » etc. La méthode Linecoaching nous fait identifier un certain nombre de ces raisons pour nous ouvrir les yeux. Le parcours alimentaire m’a énormément aidé puisqu’il repose sur un postulat simple : manger quand on a faim et s’arrêter de manger à satiété ! Or, souvent, nous mangeons par habitude suivant un protocole : entrée / plat / fromage / dessert / café … sans avoir faim ! Retravailler ses sensations de faim est pour moi la clef du succès dans toute démarche de perte de poids. Le parcours forme fait de vidéos / de questionnaires de suivi est très bien construit et adapté au niveau qu’on déclare avant de démarrer le programme. Il a agi sur moi comme un électrochoc ! En effet, ne faisant plus de sport depuis 2005, quand j’ai vu que j’avais quelques difficultés à faire certains exercices de base du programme, je me suis dit qu’il était temps de réagir ! J’ai donc ressorti mon ancien « kimono » pour me remettre à refaire du sport ! Je joue le jeu sur les questionnaires et quand c’est dur, je l’indique en toutes lettres. C’est là aussi l’intérêt de la méthode : elle tolère enfin qu’on échoue un jour pour mieux rebondir le lendemain. Oui, le droit à l’échec existe et je le revendique ! C’est même dans les échecs qu’on apprend le plus ! A 95 Kgs, j’avais mal aux genoux ! Là à 85, je n’ai plus mal ! J’ai repris le sport et je me sens plus serein et zen qu’avant ! Du coup, au travail, je suis aussi plus efficace…
Eric, 41 ans, Etaples-sur-Mer
Le parcours alimentaire m’a guidé dans ma propre réflexion. Il permet de faire un certain nombre d’expériences concrètes autour de l’alimentation qui nous interpellent, et font vaciller un certain nombre de certitudes. Il m’a permis de remettre en cause toutes les mythologies alimentaires apprises depuis l’enfance en ayant la preuve évidente que tout cela était faux : non, sauter un repas ne fait pas grossir. Non, ce n’est pas grave de ne pas manger le matin si on n’a pas faim. Non, une pomme ne fait pas maigrir, et non, le chocolat, le saucisson et le parmesan ne font pas grossir ! Réapprendre à manger, sans compulsion ni culpabilité, tous ces aliments tabous interdits depuis l’enfance, a été une grande libération !
En commençant la méthode, je me suis inscrite dans le même temps dans une salle de sport. Je n’ai donc pas suivi le parcours forme proposé par le site. Par contre, j’y ai comptabilisé, au début, toutes mes séances de sport. J’ai essayé de tenir compte de ce que j’apprenais sur le parcours alimentaire au cours de ces séances de sport. Les séances de respiration en pleine conscience, le body scan m’ont servi pour essayer d’identifier mes douleurs musculaires, penser à mon souffle, supporter l’inconfort, notamment pendant les séances d’étirement. Petit à petit, j’ai pris goût à ces exercices sportifs. Pour la première fois de ma vie, je me suis mise à courir jusqu’à courir mon premier 10 km en compétition il y a quelques jours. Au-delà du sport, et de l’exercice physique, c’était aussi un défi important lié à l’image de mon corps : accepter de courir devant les autres, par exemple, a été difficile au début. Dans le parcours alimentaire, il y a un défi qui ressemble à celui là : il s’agit de marcher tête haute dans la rue et d’affronter sans honte le regard des autres. Et bien, courir, pour moi, c’était la même chose : ne plus avoir honte.
Lily, 40 ans, Lille
Les exercices m'ont paru assez faciles à suivre (y compris ceux de Guillaume et de son équipe sportive), car j'ai la chance (?) de vivre seule.
Marie-Christine, 64 ans, région parisienne
Le parcours alimentaire est très bien fait, il donne des idées et aide à réfléchir, puis à agir aussi.
C'est très bien d'avoir inclus le parcours forme dans le programme, voire indispensable. Les choses sont interconnectées et le corps a besoin de "soins" aussi. J'ai fait très peu de ce parcours puisque j'ai une allergie très personnelle par rapport à l'enseignement du sport, et j'ai trouvé depuis quelques mois un nouveau sport d'endurance quotidien (la marche rapide) qui me convient très bien.
Lissiboa, 46 ans, Yvelines
Le parcours alimentaire est très progressif et très bien fait. Il faut vraiment s’y investir.
Le parcours forme est également bien fait. Il m’a été moins utile, car les vidéos ne passent pas très bien ici du coup j’ai laissé tombé cet aspect de Linecoaching. Mais je m’occupe bien de mon corps toute seule.
Annette, 39 ans, Nouméa
Le parcours alimentaire m'a permis de découvrir la sensation de faim. Maintenant je mange lorsque j’ai faim et je déguste. D’ailleurs j’ai l’impression de faire comme mon fils de 1 an, qui découvre l’alimentation solide depuis 6 mois de façon autonome et consciente.
Déborah, 36 ans, Chambourcy
Le parcours alimentaire est très bien. Il y a certaines étapes qui étaient très faciles car j’avais déjà passé ce cap (c’était un peu comme des révisions). Il m’a permis d’aller un peu plus loin dans ma réflexion. Il aurait fallu que je poursuive car je me suis arrêtée là où ça commençait à coincer. Je pense que j’y retournerai plus tard. J’ai besoin de temps, d’être plus disponible à ce stade.
Le parcours forme est très bien. Il m’a permis de faire des exercices tous les jours, et je continue encore. J’avais déjà repris le sport depuis 3 ans, donc aucune difficulté pour moi. Grâce à Linecoaching, j’ai eu un parcours complet (alimentation/sport). J'insiste également sur l’importance du sport pour retrouver ses sensations corporelles. Beaucoup de gens en surpoids mettent le sport entre parenthèses, alors qu’on peut prendre du plaisir à en faire. Ce n’est pas qu’une contrainte, mais une façon d’habiter son corps et de s’affirmer.
Julie, 35 ans, Montpellier
Le parcours alimentaire se déroule étape par étape, expérience après expérience. Au fur et à mesure, j'apprends à mieux sentir mon corps, à mieux reconnaître mes sensations.Je réintroduis progressivement des aliments honnis, maudits et presque oubliés, tout cela en perdant du poids.
Je n'ai pas effectué le parcours forme car je fais déjà pas mal de sport par moi-même.
Clémentine, 35 ans, Mulhouse.
Le parcours alimentaire m'a été très utile parce qu'il permet de mettre en pratique concrètement les éléments à travailler pour procéder à une réelle rééducation alimentaire. J'aurais eu beaucoup plus de mal à évoluer dans ce sens avec uniquement les concepts de la méthode.
Je n'ai pas utilisé le parcours forme car je faisais du sport depuis 3 ans tous les jours... Mais je le faisais pratiquement uniquement pour maigrir (ou pour ne pas grossir plus), bien que cela me faisait grand bien. J'ai tout arrêté en arrêtant la restriction. Tranquillement, je referai quelques activités pour le plaisir et pour me sentir bien avec mes amis et ma famille, mais plus jamais comme un régime.
Marie Josée,
41 ans, Québec
Je suis scrupuleusement le parcours alimentaire. C’est mon fil conducteur. Les bilans sont bien faits. Je me sens accompagnée. Pédagogiquement parlant, il est très bien construit. Tout ce qui concerne «le comment manger» est mis à plat et permet une expérimentation à son rythme. Le parcours forme est extrêmement bien conçu avec des exercices très simples, vraiment bien expliqués et des niveaux différents permettant une progression. Je le pratique de manière irrégulière par manque de temps. Pourtant c’est une superbe idée pour griller quelques calories et aider à se muscler.
Fabienne, 50 ans, Millau
Le parcours alimentaire est très bien organisé, on a le temps de faire ses expériences et d'y revenir, elles sont ensuite approfondies, on intègre les nouveaux comportements progressivement, qui finissent par devenir naturels. J'ai enfin un outil efficace et puissant (et mobilisable à chaque instant!) pour lutter contre mes compulsions!
Violaine, 32 ans, Nord
Le parcours alimentaire est nécessaire pour suivre la méthode, pour analyser nos sentiments, nos sensations lors de la prise d’aliments. J’ai apprécié aussi de recevoir un mail lorsque je décrochais un peu, un doux rappel à l’ordre.
Je ne suis pas le parcours forme, mais je viens de voir que je pouvais rajouter des exercices libres, comme la marche, le jogging et le vélo. Pour l'instant je ne m'y suis pas attelée.
Valérie, 42 ans, Bruxelles
Le parcours alimentaire est bien détaillé, c'est une approche graduelle qui m'a permis de prendre plus de temps pour manger. Maintenant je déguste, et j'arrive à limiter mes grignotages, sans trop de difficulté ni de frustration.
Je n'ai pas commencé le parcours forme car je me suis surtout appliquée à travailler sur mon comportement alimentaire.
Maby, 68 ans, Pirey
Grâce au parcours alimentaire, j’ai pris conscience de ma façon de me nourrir. Je n’avais jamais faim avant de manger car j’avais peur d’être confrontée à la faim. Je ne dégustais rien. Toujours occupée ou simplement dans mes pensées, je mangeais machinalement et sans plaisir. Mon comportement alimentaire a vraiment changé.
Je n'ai pas commencé le parcours forme. Mais grâce à Linecoaching, je prends plus de temps pour moi. J’aime marcher dans la nature et je m’accorde de plus en plus de temps pour le faire.
Angélique, 36 ans, Wattrelos
Le parcours alimentaire contient beaucoup d’activités qui font prendre conscience du pourquoi l’on mange trop, à quel moment l’on craque et sur quoi. Je n'ai en revanche pas aimé la pleine conscience, cette technique m'horripile.
Le parcours forme est très utile et sympathique! Je l'adore et je prends 20 minutes chaque matin en semaine (hé oui le week-end c’est relâche) à suivre les exercices et cela, sans jamais déroger. Je complète même par 10 minutes d’autres exercices sur une plateforme vibrante (sans compter mes 5 étages à monter et mon trajet pour aller au travail à pied 50 minutes aller/retour).
Sylvie, 39 ans, Cergy
Les témoignages présentés sont des expériences individuelles. Comme pour tout programme de perte de poids, les résultats qui peuvent être obtenus varient notamment en fonction des caractéristiques génétiques et constitutionnelles de chacun.
Votre bilan gratuit en 3 min
Vous êtes maintenant décidé à retrouver votre poids d'équilibre. Réalisez votre bilan gratuit en toute simplicité !
Transverse - Arguments programme
-
Un parcours adapté à votre problématique
-
Un coach du comportement alimentaire à votre écoute
-
Une communauté pour partager
-
09 81 41 35 22 - Du lundi au samedi de 10h à 19h